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  • av Frederic Le Play
    357,-

    " L¿Empereur a daigné me consulter, en 1858 et en 1868, sur le ma- laise et l¿antagonisme qui envahissent, depuis 1830, les ateliers de travail de l¿Occident. Chaque fois il a fixé son attention sur le même fait :il a été heureux d¿apprendre que le bien-être et l¿harmonie se conservent dans une foule d¿établissements français ou étrangers; que dès lors, en imitant ces modèles, on peut sûrement guérir le mal, sans recourir aux panacées des réformateurs contemporains. L¿Empereur voit la véritable organisation du travail dans la Coutume, constituée par la pratique même de ces ateliers modèles (§§ 19 à 25). Mais, en se référant à l¿avis des légistes et à l¿opinion dominante du pays, il conserve des doutes sur les causes du mal actuel (§§ 26 à 32) et sur les moyens de réforme (§§ 33 à 37). Il verrait donc avec satisfaction que la libre discussion vînt lever les objections opposées à la réforme, et résoudre les difficultés de l¿exécution."

  • av Alexis Carrel
    357,-

    " Les pages qui suivent méritent un avertissement au lecteur contemporain. Bien qüelles furent écrites par l¿une des grandes figures de l¿histoire des sciences occidentales, lauréat du Prix Nobel de Médecine en 1912, l¿idéologie que cet ouvrage sous-tend par certains de ses aspects doit aujourd¿hui, de façon tout à fait légitime et sans aucun détour, être pointée du doigt et remise en cause. Alexis Carrel y défend en effet l¿eugénisme et plus généralement une vision racialiste de l¿évolution humaine qui n¿est plus acceptable. À une époque où le racisme n¿était pas un délit et faisait l¿objet d¿un large consensus, y compris dans les cénacles intellectuels, les scientifiques ont reproduit le préjugé selon lequel un individu déviant socialement qüil soit jugé fou, délinquant ou nuisible à la société ne pouvait être qüun individu anormal biologiquement. Ce postulat eut des conséquences très graves avec notamment la mise en place au début du XXème siècle aux États-Unis d¿une politique de stérilisation massive des déviants. Encore plus tragique, l¿Allemagne nazie, dans son entreprise de « purification ethnique » pratiqua l¿euthanasie de centaines de milliers de délinquants, malades mentaux, prostituées et clochards."

  • av Simone Weil
    623,-

    " Écrite à Londres durant l¿hiver 1943, pendant l¿exil de Simone Weil alors engagée dans la France Libre, cette oeuvre resta inachevée. La célèbre philosophe fut en effet emportée trop tôt par la tuberculose, à l¿âge de 34 ans, le 24 août de cette même année. La première édition du texte, publiée post-mortem en 1949, fut dirigée par Albert Camus. Il faut ainsi préciser que les écrits de cette auteure à la pensée si singulière comptèrent énormément dans sa vie intellectuelle, des écrits dont Camus aimait à rappeler publiquement combien ils étaient importants à ses yeux. Lors de l¿attribution de son Prix Nobel à Stockholm, en réponse à la question sur les auteurs qui l¿avaient le plus influencé, Camus prononça ces paroles : « Simone Weil, car il y a des morts qui sont plus proches de nous que bien des vivants »."

  • av Hyppolyte Hemmer
    291,-

    " La Doctrine des Douze Apôtres est le plus ancien texte chrétien en dehors du Nouveau Testament. Elle est contemporaine de celui-ci et, si elle n'a pas les apôtres pour auteurs, elle n'en contient pas moins une tradition apostolique propre à l'Orient et notamment à la Syrie, où elle a été vraisemblablement écrite dans la seconde moitié du Ier siècle. Elle se présente comme un manuel catéchistique, qui comprend un recueil de préceptes moraux d'une part, et un ensemble de règles liturgiques et disciplinaires pour les Églises naissantes d'autre part. Ces règles intéressent le baptême, le jeûne et la prière, le repas eucharistique, les apôtres itinérants, les prophètes, les docteurs, l'hospitalité chrétienne, la synaxe dominicale, la hiérarchie locale des évêques et des diacres, la correction fraternelle et l'attente eschatologique qui était celle des premiers chrétiens. Le texte perdu pendant de longs siècles a été retrouvé en 1873, et il n'a cessé depuis lors de susciter la curiosité et l'intérêt des historiens et des théologiens."

  • av Paul Valery
    291,-

    " N ous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommesmor telles.Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d¿empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins; descendus au fond inexplorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées ; avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l¿épaisseur de l¿histoire, les fantômes d¿immenses navires qui furent chargés de richesse et d¿esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n ¿étaient pas notre affaire."

  • av Dion Fortune
    357,-

    " It is with a sense of the seriousness of the issues involved that I set myself to the task of writing a book on psychic äack and the best methods of defence against it. ¿e undertaking is beset with pitfalls. It is hardly possible to give practical information on the methods of psychic defence without at the same time giving practical information on the methods of psychic äack. It is not without reason that initiates have always guarded their secret science behind closed doors. To disclose sufficient to be adequate without disclosing sufficient to be dangerous is my problem. But as so much has already been made known concerning the esoteric teachings, and as the circle of students of the occult is becoming rapidly wider every day, it may well be that the time has now come for plain speaking. ¿e task is not of my seeking, but as it has come into my hands, I will do my best to discharge it honourably, making available the knowledge which has come to me in the course of many years' experience of the strange by-ways of the mind which the mystic shares with the lunatic. "

  • av Leon Tolstoi
    357,-

    " Pour vivre heureux, l'homme doit savoir ce qu'il peut et ce qu'il ne peut pas faire. Et seule la foi le lui apprend. La foi indique ce qu'est l'homme et pourquoi il est sur la terre. Cette foi a toujours existé et existe chez tous les hommes doués de raison.En quoi consiste la véritable foi . Afin de vivre d'une vie heureuse, l'homme doit comprendre ce qu'est la vie, ce qu'il peut et ce qu'il ne peut pas faire. Ceux qui furent les meilleurs et les plus sages parmi tous les peuples l'enseignèrent de tout temps. Toutes les doctrines de ces sages se rejoignent par leur base. Et c'est cet ensemble des doctrines, révélant le but de la vie humaine et la conduite à observer, qui constitue la véritable religion."

  • av Baltasar Gracian
    357,-

    " L¿admiration que l¿on a pour la nouveauté est ce qui fait estimer les succès. Il n¿y a point d¿utilité, ni de plaisir, à jouer à jeu découvert. De ne se pas déclarer incontinent, c¿est le moyen de tenir les esprits en suspens, surtout dans les choses importantes, qui font l¿objet de l¿attente universelle. Cela fait croire qüil y a du mystère en tout, et le secret excite la vénération. Dans la manière de s¿expliquer, on doit éviter de parler trop clairement ; et, dans la conversation, il ne faut pas toujours parler à c¿ur ouvert. Le silence est le sanctuaire de la prudence. Une résolution déclarée ne fut jamais estimée. Celui qui se déclare s¿expose à la censure, et, s¿il ne réussit pas, il est doublement malheureux. Il faut donc imiter le procédé de Dieu, qui tient tous les hommes en suspens."

  • av Georges Sorel
    623,-

    « Depuis longtemps, j'ai été frappé de voir que le déroulement normal des grèves comporte un important cortège de violences ; quelques savants sociologues cherchent à se dissimuler un phénomène que remarque toute personne qui consent à regarder ce qui se passe autour d'elle. Le syndicalisme révolutionnaire entretient l'esprit gréviste dans les masses et ne prospère que là où se sont produites des grèves notables, menées avec violence. Le socialisme tend à apparaître, de plus en plus, comme une théorie du syndicalisme révolutionnaire, - ou, encore, comme une philosophie de l'histoire moderne en tant que celle-ci est sous l'influence de ce syndicalisme. Il résulte de ces données incontestables que, pour raisonner sérieusement sur le socialisme, il faut avant tout se préoccuper de chercher quel est le rôle qui appartient à la violence dans les rapports sociaux actuels. Je ne crois pas que cette question ait été encore abordée avec le soin qu'elle comporte ; j'espère que ces réflexions conduiront quelques penseurs à examiner de près les problèmes relatifs à la violence prolétarienne »

  • av Anonyme
    291,-

    "Giotto est considéré comme l'artiste précurseur de la Renaissance, il est né en 1267. Cet artiste a révolutionné l'art médiéval, et est une partie im- portante de l'histoire de l'art, car il est l'un des premiers peintres à travailler avec la perspective.La chapelle Scrovegni, dans la ville de Padoue en Italie, présente une série de fresques de l'artiste.Dans ces peintures, il est possible de voir que Giotto a commencé à utiliser des tons de couleurs et des contrastes pour créer une certaine profondeur dans ses ¿uvres"

  • av Hector Durville
    291,-

    " Le Destin (du verbe destiner) est, selon les fatalistes, l'enchaînement nécessaire et inévitable des événements qui se succèdent sans interruption.D'après les anciens, le Destin donne à chaque individu, au moment de sa naissance, la part de bien ou de mal qui lui revient, sans change- ment possible. Ses conditions étaient réglées d'avance par les grandes divinités. Celles-ci, presque impuissantes à modifier sa marche et ses manifestations, le subissaient aussi dans une certaine mesure : « Zeus lui- même était soumis au destin. »

  • av Weil Simone
    277

    " Le moment depuis longtemps prévu est arrivé, où le capitalisme est sur le point de voir son développement arrêté par des limites infranchissables. De quelque manière que l¿on interprète le phénomène de l¿accumulation, il est clair que capitalisme signifie essentiellement expansion économique et que l¿expansion capitaliste n¿est plus loin du moment où elle se heurtera aux limites mêmes de la surface terrestre. Et cependant jamais le socialisme n¿a été annoncé par moins de signes précurseurs. Nous sommes dans une période de transition; mais transition vers quoi ? Nul n¿en a la moindre idée. D¿autant plus frappante est l¿inconsciente sécurité avec laquelle on s¿installe dans la transition comme dans un état définitif, au point que les considérations concernant la crise du régime sont passées un peu partout à l¿état de lieu commun. Certes, on peut toujours croire que le socialisme viendra après-demain, et faire de cette croyance un devoir ou une vertu ; tant que l¿on entendra de jour en jour par après-demain le surlendemain du jour présent, on sera sûr de n¿être jamais démenti ; mais un tel état d¿esprit se distingue mal de celui des braves gens qui croient, par exemple, au Jugement dernier. Si nous voulons traverser virilement cette sombre époque, nous nous abstiendrons, comme l¿Ajax de Sophocle, de nous réchauffer avec des espérances creuses ."

  • av Georges Clemenceau
    291,-

    " C'est une opinion généralement acceptée que l'exemple des « hommes supérieurs» est le meilleur enseignement de la vie. Il est moins facile qu'on ne pourrait croire de donner une bonne définition de « l'homme supérieur ». On a imaginé des rubans pour cela, mais la marque n'est peut-être pas infaillible. Claude Monet avait un gros rire content quand on lui demandait pourquoi il n'était pas décoré.Au vrai, les humains se classent eux-mêmes, bien ou mal, d'après leurs ¿uvres, et chacun de tirer la leçon de la bonne ou de la mauvaise rencontre, selon l'occasion.Notre véritable enseignement des activités de l'homme se fait au hasard des circonstances. Il n'est pas de vie, petite ou grande, qui ne puisse être pour nous une leçon dans l'extrémité même de l'indulgence avec laquelle nous nous regardons vivre."

  • av Remy de Gourmont
    291,-

    "Je mettrai en un volume mes rêveries philologiques et sémantiques" écrit Gourmont à Valéry en 1898. L'année suivante, il compose l'Esthétique de la langue française à partir d'articles publiés entre 1892 et 1899 dans des "petites revues". Il se détache de l'art symboliste, "personnel et individuel", pour orienter sa réflexion vers l'impersonnel de la langue et les lois qui la régissent. Tout en revendiquant "un sentiment esthétique assez violent", il place son essai sous le patronage des grands noms de la linguistique contemporaine et vise à "ajouter un nouveau principe à ceux qui guident l'étude des langues, le principe esthétique". Les objets dont il traite, les mots du français, la métaphore, le vers, la déformation et le cliché, sont saisis à la croisée de la langue et du style. Au XXe siècle, l'essai de Gourmont sera pour Jean Paulhan une stimulation constante dans sa réflexion sur la rhétorique et le langage."

  • av Denis Diderot
    291,-

    " ... oui, mon frère, la religion bien entendue et pratiquée avec un zèle éclairé, ne peut manquer d'élever les vertus morales. Elle s'allie même avec les connaissances naturelles ; et quand elle est solide, les progrès de celles-ci ne l'alarment point pour ses droits .Quelque difficile qu'il soit de discerner les limites qui séparent l'empire de la foi de celui de la raison, le philosophe n'en confond pas les objets : sans aspirer au chimérique honneur de les concilier, en bon citoyen il a pour eux de l'attachement et du respect. Il y a, de la philosophie à l'impiété, aussi loin que de la religion au fanatisme ; mais du fanatisme à la barbarie, il n'y a qu'un pas."

  • av Spinoza
    291,-

    " Dans ce livre, Spinoza adopte une méthode de démonstration déductive, calquée sur le mode de la démonstration mathématique, dans laquelle des propositions, démonstrations, scolies et lemmes succèdent aux définitions, axiomes et postulats. Si ce procédé d'exposition en fonction d'un « ordre géométrique » a pour but de conférer aux raisonnements développés dans l'ouvrage la plus grande rigueur possible. Le livre aborde successivement les thématiques de Dieu, de l'âme, des passions (ou affects), du conatus, de la servitude de l'homme, et enfin de la possibilité et des moyens pour l'homme d'accéder à la liberté et la béatitude."

  • av Elisee Reclus
    291,-

    " J'étais triste, abattu, las de la vie. La destinée avait été dure pour moi, elle avait enlevé des êtres qui m'étaient chers, ruiné mes projets, mis à néant mes espérances. Des hommes que j'appelais mes amis s'étaient re- tournés contre moi en me voyant assailli par le malheur; l'humanité tout entière, avec ses intérêts en lutte et ses passions déchaînées, m'avait paru hideuse. Je voulais à tout prix m'échapper, soit pour mourir, soit pour retrouver, dans la solitude, ma force et le calme de mon esprit. Sans trop savoir où me conduisaient mes pas, j'étais sorti de la ville bruyante, et je me dirigeais vers les grandes montagnes dont je voyais le profil denteler le bout de l'horizon."

  • av Louis Pauliat
    291,-

    " Au cours de votre récente Présidence du Conseil qui a été si profitable au parti ré- publicain dont vous vous étiez donné pour tâche de faire disparaître les divisions, vous avez signalé votre passage au Ministère des affaires étrangères par une réforme consi- dérable et dont personne ne me semble encore avoir anti toute l¿importance.En établissant effectivement, par vos décrets des mois de janvier, février et mars 1886, que chacune des contrées soumises à la protection de la France devait être pour- vue d¿une organisation et d¿un régime administratif qui lui fussent appropriés, quand bien même cette organisation et ce régime dussent être sans le moindre rapport avec ceux de la Métropole, vous avez introduit dans notre mécanisme gouvernemental une innovation d¿un caractère organique, capital et qui est appelée, j¿en suis convaincu, à avoir les plus heureuses conséquences pour la prospérité coloniale de notre pays.Il n¿est pas douteux pour moi, Monsieur, que la saine raison et une connaissance approfondie des choses vous ont inspiré en cette circonstance, et que vous avez compris que le moment était enfin venu de rompre avec des principes jugés de tous les bons esprits comme aussi funestes à la Métropole qüaux pays coloniaux eux-mêmes."

  • av Auguste Vermorel
    291,-

    " Un édit du mois de décembre 1666 créa des lieutenants de police, dont les fonctions, jusqüalors, avaient été remplies par le prévôt de Paris, et ensuite, et même concurremment, par le lieutenant civil et le lieutenant criminel du Châtelet. Cet édit fixa les droits, les prérogatives et les attributions des nouveaux magistrats.Ils devaient maintenir l¿ordre, la propreté et la sécurité dans la ville, et juger en dernier ressort, mais assistés de sept grands officiers du Châtelet, les mendiants, les vagabonds, les gens sans aveu."

  • av Louis Viardot
    490,-

    " Lorsque j'achevais le quatrième volume des Musées d'Europe , qui, dans ma pensée, devait être le dernier de la série, je disais, en prenant congédulec teur:«....Arrivé au terme de ma tâche, d'une tâche ingrate et difficile, je dois prier le lecteur de montrer une juste indulgence pour la sécheresse et l'aridité toujours croissantes du long ouvrage que je termine enfin. Parlant sans cesse, quatre volumes durant, des mêmes choses et des mêmes hommes, je ne pouvais répéter, à tous les chapitres, les observations générales sur quelques parties de l'art, ou les détails biographiques sur quelques artistes, qui auraient jeté de la variété et de l'intérêt dans un chapitre fait isolément. Plus j'avançais, plus j'étais privé de ressources accessoires et réduit à mon seul sujet; en finissant, il ne me restait guère à tracer qu'une simple nomenclature....»"

  • av William James
    291,-

    " Comment parler du pragmatisme après William James ? Et que pour- rions-nous en dire qui ne se trouve déjà dit, et bien mieux dit, dans le livre saisissant et charmant dont nous avons ici la traduction fidèle ? Nous nous garderions de prendre la parole, si la pensée de James n¿était le plus souvent diminuée, ou altérée, ou faussée, par les interprétations qüon en donne : bien des idées circulent, qui risquent de s¿interposer entre le lecteur et le livre, et de répandre une obscurité artificielle sur une ¿uvre qui est la clarté même ."

  • av Général Tcheng Ki Tong
    291,-

    " En vous dédiant ces essais de littérature franco chinoise, j¿ai pensé que je devais les placer sous votre gracieuse recommandation par reconnaissance, si vous voulez.Votre souvenir, évoqué à la première page, invitera le lecteur à lire la seconde. Voilà certes une opinion « nature » d¿un auteur déjà endurci. Mais je fais peu de cas du qüen dira-t-on. J¿adore les contes de grand mère Perrault ; vous savez, ces jolis poèmes où l¿on voit des fées charmantes auprès des berceaux.."

  • av Friedrich Nietzsche
    490,-

    " Il est célèbre chez nous et on le connaît à peine. Nommé à tout propos, comme son précurseurSchopenhauer, il partage avec lui cette destinée étrange d¿avoir son nom dans toutes les bouches,tout en restant entièrement ignoré. On cite à tout propos ses aphorismes mal compris et son¿uvresecac heen coredanslesté nèbresdel¿in connu.voulut faire silence autour de lui ; le nombre de ses adhérents grandissait toujours davantage, En Allemagne, Nietzsche est en train de devenir auteur de bibliothèques. Trop longtemps onmettant en brèche les milieux académiques les plus récalcitrants et maintenant tout le monde l¿a lu, si même on ne l¿a saisi qüimparfaitement. Par les soins pieux de Mme Elisabeth Foerster-Nietzsche qui consacre sa vie toute entière aux idées de son frère, les ¿uvres complètes du philosophe sont en train de paraître. "

  • av Matgioï
    291,-

    " Lors de l¿une de ses nombreuses expéditions en Asie, Matgioi, fin connaisseur de la Chine et de ses traditions, eut le privilège d¿être initié par un grand Maître Taoïste. Au début du XXème siècle, dans une Europe qui se percevait encore comme le seul et unique berceau de la civilisation, l¿auteur se donna pour mission de diffuser l¿enseignement du Taoïsme, ses principales doctrines et les applications qui en découlent :« Je n¿ai pas voulu davantage mettre en opposition deux doctrines, ou, pour mieux parler, deux enseignements humains sur une doctrine. ¿ J¿ai simplement pensé que, à une époque où l¿on s¿efforce de remonter aux sources de la science humaine, afin d¿y trouver la vérité à peu près impolluée, j¿ai pensé qüil était bon de représenter la source primordiale et traditionnelle de toute connaissance, le flot initial dont toute l¿humanité est tributaire » Matgioi."

  • av Champfleury
    291,-

    " Il peut paraître singulier que de longues études soient consacrées à un simple individu, au chat, qui, quoique résumant une partie des facultés des félins, ne saurait cependant donner une idée complète des êtres plus considérables de la même race; mais les habitudes sédentaires de l'animal permettent à l'homme de cabinet de l'étudier à tout instant, sans inter- rompre son travail. De l'atelier des alchimistes, le chat a passé chez les écrivains; il fait partie de leur modeste intérieur, & il offre ceci de particulier avec les gens de lettres, qu'il a presque autant de détracteurs que si, lui-même ,le chat écrivait."

  • av Horace Valbel
    291,-

    " Rien n¿est curieux comme la transformation que la Chanson a subie en ces dernières années, surtout dans le genre gai. Elle touche à tout, blague tout, et c¿est charmant, parce qüelle blague bien. Le flonflon s¿est envolé ; mais elle célèbre la joie sur l¿air du Diesir¿, vole en papillon sur les ailes de chauve-souris du De profundis, accouple le tragique au grotesque, comme dans le drame shakespearien, fait éclater de rire le tombeau, à l¿exemple des moineaux de cimetière évoqués par Victor Hugo, livre les croque-morts au croque-notes, déguise Baudelaire en Arlequin ; et voilà le comble de l¿étrangeté réalisé dans un art qui semblait avoir dit son dernier mot !"

  • av Sigmund Freud
    291,-

    " Dans cet essai, je me propose de poursuivre le développement des considérations que j'avais esquissées dans Au-delà du principe du plaisir, en observant à leur égard la même attitude de curiosité bienveillante qui m'avait guidée, ainsi que je l'ai dit, lorsque j'écrivais ce dernier essai. Je reprends donc les mêmes idées, en les attachant à divers faits fournis par l'observation psychanalytique ; et je cherche à tirer de cette association entre les idées et les faits de nouvelles conclusions, sans toutefois recourir à de nouveaux emprunts à la biologie. Il en résulte que je reste ici plus près de la psychanalyse que dans Au-delà. Aussi, cet essai porte-t-il plutôt le caractère d'une synthèse que celui d'une spéculation et semble se poser un but assez élevé. Je me rends cependant compte qu'il ne va pas au-delà de certaines constatations très rudimentaires et j'accepte à l'avance le reproche qu'on pourrait m'adresser sur ce point."

  • av Charles Louis Cadet De Gassicourt & Alexandre de La Reynière
    357,-

    " Marie de Saint-Ursin ( docteur savant en us et en os, qui ne prescrivait qüà son corps défendant la diète à ses malades); Ducray-Duminil (aussi bon gourmand qühabile romancier ); Gallais ( ancien moine de la congrégation de Saint-Maur); Godefroy de Beaumont-Bouillon (dont les ayeux s¿illustrèrent aux croisades, et qui remplissait dans cette société gourmande les honorables fonctions d¿écuyer tranchant); Gastermann, Clytophon, Charles Sartrouville, ou C. L. C., gastronomes d¿esprit, de c¿ur et de ventre, qui couvraient sous le voile modeste de l¿anonyme des noms et des talents que d¿autres moins érudits, mais plus avides de gloire, auraient avoués avec orgueil."

  • av Thomas Balch
    291,-

    " Cet ouvrage est divisé en deux parties: la première traite des causes et des origines de la guerre de l'Indépendance, résume les événements de cette guerre jusqu'en 1781 et donne une relation complète de l'expédi- tion du corps français, aux ordres du comte de Rochambeau, jusqu'en 1783.La seconde partie est spécialement consacrée:1° À des Notices historiques sur les régiments français qui passèrent en Amérique et qui y servirent;2° À des Notices biographiques sur les volontaires français qui se mirent au service du Congrès et sur les principaux officiers qui se trouvèrent aux sièges de Savannah et d'York, ou qui combattirent sur terre et sur mer en faveur de l'indépendance des États-Unis;3° À plusieurs épisodes et détails intéressants, parmi lesquels se trouve un aperçu de la société américaine de cette époque, telle qu'elle s'est présentée aux officiers français qui parlent dans leurs manuscrits et leurs lettres de la vie intime d'un grand nombre d'honorables familles américaines."

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