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  • av Emmanuel Kant
    291,-

    " On peut appeler raison pure la faculté de connaître par des principes a priori, et critique de la raison pure, l'examen de la possibilité et des li- mites de cette faculté en général, en n'entendant par raison pure que la raison considérée dans son usage théorique, comme je l'ai fait, sous ce titre, dans mon premier ouvrage, et sans prétendre soumettre aussi à l'examen la faculté pratique que déterminent en elle ses propres principes. La critique de la raison pure ne comprend donc que notre faculté de connaître les choses a priori: elle ne s'occupe que de la faculté de connaître, abstraction faite du sentiment du plaisir ou de la peine et de la faculté de désirer ; et dans la faculté de connaître, elle ne considère que l'entende- ment dont elle recherche les principes a priori, abstraction faite du Juge- ment et de la raison (en tant que facultés appartenant également à la connaissance théorique), parce qu'il se trouve dans la suite qu'aucune autre faculté de connaître, que l'entendement, ne peut fournir à la connaissance des principes constitutifs a priori."

  • av Richard Wagner
    291,-

    " La France traverse actuellement une période d¿élaboration. De toutes parts, éclatent les singuliers et profonds changements qui s¿opèrent dans les manières de penser, comme aussi les tendances à jeter les bases de nouvelles croyances. Et c¿est, pour tout être pensif, un émouvant et magnifique spectacle que de voir l¿élite du pays tra- vailler avec vigueur, fermeté et constance à l¿instauraon de notre Science et de notre Art futurs.Est-elle prochaine la solution résultante de ces nobles efforts ? Oui, semble-t-il. Ce qui le fait présager, c¿est d¿abord la nouvelle conception du monde que nous commençons à avoir ; c¿est ensuite l¿accumulation des matériaux propres à édifier un art original et vraiment national."

  • av Carl von Clausewitz
    291,-

    " Le combat est l¿instrument de la stratégie pour arriver au but de la guerre. À proprement parler, c¿est là l¿unique usage que la stratégie ait à faire du combat. Or comme ce sont les forces armées qui livrent le com- bat et que celui-ci réagit, à son tour, sur les forces armées, la théorie de la stratégie doit nécessairement prendre en considération les forces armées dans leurs principales relations. Elle doit pareillement tenir compte des facultés intellectuelles et morales qui distinguent les forces années, car ce sont là les plus importants facteurs du combat. En procédant ainsi, la théorie enseigne l¿unique moyen de calculer les résultats possibles du combat."

  • av Frederic Bastiat
    291,-

    " Tous les principes d¿économie sociale que vous avez propagés avec un talent si remarquable concluent forcément, inévitablement, à l¿aboli- tion de l¿intérêt ou de la rente. Curieux de savoir par quelle étrange contradiction votre logique, toujours si vive et si sûre, reculait devant cette conclusion définitive, j¿interrogeai votre pamphlet intitulé : Capital et Rente, et je m¿aperçus, avec une surprise mêlée de joie, qüil n¿y avait plus entre vous et nous que l¿épaisseur d¿une simple équivoque.¿ Cette équivoque porte tout entière sur la confusion de deux choses cependant bien distinctes, l¿usage et la propriété."

  • av Leon Tolstoi
    291,-

  • av Jack London
    291,-

  • av Nicolas Flamel
    291,-

    " Il faut une certaine audace pour traiter un pareil sujet à la fin du XIXe siècle.Nous sommes cependant convaincus d¿avance que le lecteur nous pardonnera eu égard à notre sincérité.En effet, nous venons offrir au public non pas les conclusions d¿un mystique enthousiasme non plus que les critiques partiales d¿un esprit prévenu, mais bien le résultat d¿un travail positif digne d¿être pris en considération par tous les gens sérieux.Nous allons d¿abord voir ce qüil faut entendre par le mot de Pierre Philosophale et pour cela nous aurons à résumer l¿opinion des alchimistes les plus instruits. Quand nous saurons la signification scientifique de cette expression, il nous faudra voir si elle est, oui ou non, en contradiction avec les données de la chimie contemporaine. Éclairés sur ces deux points, nous aborderons l¿Histoire, cherchant avec la plus grande impartialité si la Pierre Philosophale a donné de son existence des preuves sérieuses et irréfutables, capables d¿être facilement contrôlées par le lecteur. Ce sera là le point capital de notre travail, la raison d¿être de toute notre étude.C¿est alors que nous pourrons dire quelques mots de la grande famille alchimique, des doctrines de ses membres et des débris de leur science subsistant encore dans l¿architecture de nos vieux monuments et les rites de certains hauts grades de la Franc-Maçonnerie. Enfin une petite liste des livres les plus utiles au débutant terminera nos recherches.Tel est le plan de notre travail ; nous espérons qüil ne fera pas trop regretter au lecteur les quelques minutes que lui prendra sa lecture et nous prions d¿excuser d¿avance les imperfections qui pourraient s¿y trouver uniquement imputables à l¿auteur de l¿étude et non aux doctrines et aux maîtres étudiés."

  • av Karl Marx
    291,-

    " Messieurs, L¿aboliti¿on des lois céréales en Angleterre est le plus grand triomphe que le libre échange ait remporté au XIXe siècle. Dans tous les pays où les fabricants parlent de libre échange, ils ont principalement en vue le libre échange des grains et des mäères premières en général. Frapper de droits protecteurs les grains étrangers, c¿est infâme, c¿est spéculer sur la famine des peuples.Du pain à bon marché, des salaires relevés, cheap food, high wages voilà le seul but pour lequel les free-traders , en Angleterre, ont dépensé des millions, et déjà leur enthousiasme s¿est étendu à leurs frères du conti¿nent. En général, si l¿on veut le libre échange, c¿est pour soulager la condi¿tion de la classe laborieuse."

  • av Maurice Barres
    291,-

    " Il est des lieux qui tirent l'âme de sa léthargie, des lieux enveloppés, baignés de mystère, élus de toute éternité pour être le siège de l'émotion religieuse. L'étroite prairie de Lourdes, entre un rocher et son gave rapide; la plage mélancolique d'où les Saintes-Maries nous orientent vers la Sainte-Baume; l'abrupt rocher de la Sainte-Victoire tout baigné d'horreur dantesque, quand on l'aborde par le vallon aux terres sanglantes; l'héroïque Vézelay, en Bourgogne; le Puy-de-Dôme; les grottes des Eyzies, où l'on révère les premières traces de l'humanité; la lande de Carnac, qui parmi les bruyères et les ajoncs dresse ses pierres inexpliquées; la forêt de Brocéliande, pleine de rumeur et de feux follets, où Merlin par les jours d'orage gémit encore dans sa fontaine; Alise-Sainte-Reine et le mont Auxois, promontoire sous une pluie presque constante, autel où les Gaulois moururent aux pieds de leurs dieux; le mont Saint-Michel, qui surgit comme un miracle des sables mouvants; la noire forêt des Ardennes, tout inquiétude et mystère, d'où le génie tira, du milieu des bêtes et des fées, ses fictions les plus aériennes; Domremy enfin, qui porte en- core sur sa colline son Bois Chenu, ses trois fontaines, sa chapelle de Bermont, et près de l'église la maison de Jeanne."

  • av Thomas More
    291,-

    " homas More à Pierre Gilles, salut !Ce n¿est pas sans quelque honte, très cher Pierre Gilles, que je vous en- voie ce petit livre sur la république d¿Utopie après vous l¿avoir fait at- tendre près d¿une année, alors que certainement vous comptiez le recevoir dans les six semaines. Vous saviez en effet que, pour le rédiger, j¿étais dispensé de tout effort d¿invention et de composition, n¿ayant qüà répéter ce qüen votre compagnie j¿avais entendu exposer par Raphaël. Je n¿avais pas davantage à soigner la forme, car ce discours ne pouvait avoir été travaillé, ayant été improvisé au dépourvu par un homme qui, au surplus, vous le savez également, connaît le latin moins bien que le grec. Plus ma rédaction se rapprocherait de sa familière simplicité, plus elle se rapprocherait aussi de l¿exactitude, qui doit être et qui est mon seul souci en cette affaire. Toutes les circonstances, je le reconnais, mon cher Pierre, m¿ont donc facilité le travail au point qüil ne m¿en est guère resté. Assurément, s¿il m¿avait fallu inventer ce qui suit ou le mettre en forme, un homme, même intelligent, même instruit, aurait eu besoin de temps et d¿étude. Qüon m¿eût demandé une relation non seulement exacte mais encore élégante, jamais je n¿y aurais suffi, quelque temps, quelque zèle que j¿y eusse mis."

  • av Maurice Joly
    357,-

    " Ce livre a des traits qui peuvent s'appliquer à tous les gouverne- ments, mais il a un but plus précis: il personnifie en particulier un système politique qui n'a pas varié un seul jour dans ses applica- tions, depuis la date néfaste et déjà trop lointaine, hélas! de son in- tronisation .Il ne s'agit ici ni d'un libelle, ni d'un pamphlet; le sens des peuples modernes est trop policé pour accepter des vérités violentes sur la politique contemporaine. La durée surnaturelle de certains succès est d'ailleurs faite pour corrompre l'honnêteté elle-même; mais la conscience publique vit encore et le ciel finira bien quelque jour par se mêler de la partie qui se joue contre lui."

  • av Gustave le Bon
    291,-

    " Naissance et développement de l'i dée égalitaire. - Les conséquences qu'elle a produites. - Ce qu'a déjà coûté son application. Son influence actuelle sur les foules. - Problèmes abordés dans cet ouvrage. - Re- cherche des facteurs principaux de l'évolution générale des peuples. - Cette évolution dérive-t-elle des institutions ? - Les éléments de chaque civilisation : institutions, arts, croyances, etc., n'auraient-ils pas certains fondements psychologiques spéciaux à chaque peuple ? - Les hasards de l'histoire et les lois permanentes. La civilisation d'un peuple repose sur un petit nombre d'idées fonda- mentales. De ces idées dérivent ses institutions, sa littérature et ses arts. Très lentes à se former, elles sont très lentes aussi à disparaître. Deve- nues depuis longtemps des erreurs évidentes pour les esprits instruits, elles restent pour les foules des vérités indiscutables et poursuivent leur ¿uvre dans les masses profondes des nations. S'il est difficile d'imposer une idée nouvelle, il ne l'est pas moins de détruire une idée ancienne. L'humanité s'est toujours cramponnée désespérément aux idées mortes et aux dieux morts."

  • av Paul Valery
    291,-

    " Ce petit recueil se dédie de préférence aux personnes qui n¿ont point de système et sont absentes des partis ; qui par-là sont libres encore de douter de ce qui est douteux et de ne point rejeter ce qui ne l¿est pas.D¿ailleurs, ce ne sont ici que des études de circonstance. Il en est de 1895, il en est d¿hier, il en est d¿aujourd¿hui. Elles ont ce caractère commun d¿être des essais, au sens le plus véritable de ce terme. On n¿y trouvera que le dessein de préciser quelques idées qüil faudrait bien nommer politiques, si ce beau mot de politique, très séduisant et excitant pour l¿esprit, n¿éveillait de grands scrupules et de grandesrépugnances dans l¿esprit de l¿auteur. Il n¿a voulu que se rendre un peu plus nettes les notions qüil avait reçues de tout le monde, ou qüil s¿était formées comme tout le monde, et qui servent à tout le monde à penser aux groupes humains, à leurs relations réciproques et à leurs gênes mutuelles."

  • av Alain
    291,-

  • av Simone Weil
    291,-

    L'ouvrage intitulé Réflexions sur les causes de la liberté et de l'oppression sociale est un essai de la philosophe française Simone Weil, écrit en 1934 et publié en 1955 dans le recueil Oppression et liberté, dans la collection « Espoir » que dirigeait Albert Camus aux éditions Gallimard. Comme tous les livres de Weil, il a été publié à titre posthume. Il s'agit, avec L'Enracinement, de l'¿uvre philosophique la plus importante de Weil, qui la désignait comme son « grand ¿uvre » ou son « testament ». L'essai comporte une introduction, puis quatre sections centrales, intitulées respectivement « Critique du marxisme », « Analyse de l'oppression », « Tableau théorique d'une société libre » et « Esquisse de la vie contemporaine », suivies d'une conclusion.De manière générale, Simone Weil se demande dans cet essai à quelles conditions le travail peut constituer un acte libre. Toutefois, le passage de l'oppression à la liberté ne réside pas, selon elle, dans l'abolition du travail, malgré ce que pourraient croire les utopistes qui rêvent d'une société des loisirs, ni dans la libération du travail humain par la machine, contrairement à ce que les adeptes du progrès technique pourraient s'imaginer. Car il ne s'agit pas, selon Weil, de libérer les êtres humains de toute forme de travail ; même si c'était possible, ce n'est nullement souhaitable. Elle affirme en effet que « la notion du travail considéré comme une valeur humaine est sans doute l'unique conquête spirituelle qu'ait faite la pensée humaine depuis le miracle grec7 ». Le travail a une valeur en soi et doit tenir une place primordiale dans la vie humaine ; suivant les derniers mots de Weil dans L'Enracinement, soit neuf ans après la rédaction des Réflexions, « il est facile de définir la place que doit occuper le travail physique dans une vie sociale bien ordonnée. Il doit en être le centre spirituel8 ».Il s'agit donc de redonner au travail la valeur qui est la sienne, celle d'une « conquête spirituelle » ou d'un « centre spirituel » dans la vie humaine. C'est à cette condition que pourrait apparaître une société d'hommes libres, car leurs actions procéderaient de la pensée méthodique plutôt que de dépendre de leurs désirs et de leurs craintes. En concevant le travail selon sa valeur propre, l'être humain sort de l'imaginaire et se confronte à la réalité, c'est-à-dire au vrai rapport qui définit sa liberté, celui entre l'acte et la réflexion qui le guide. Weil affirme en effet que la liberté ne consiste pas à satisfaire ses désirs et à ignorer ses craintes ; il s'agit là d'un esclavage. La liberté véritable se définit plutôt « par un rapport entre la pensée et l'action ». En ce sens, « serait tout à fait libre l'homme dont toutes les actions procéderaient d'un jugement préalable concernant la fin qu'il se propose et l¿enchaînement des moyens propres à amener cette fin9 ».Ainsi, libérer les travailleurs de l'oppression revient en fait à libérer le travail lui-même des conceptions erronées que l'on entretient à son propos. Weil crédite Francis Bacon d'avoir fait apparaître la valeur humaine du travail, notamment par la formule selon laquelle « l'homme commande à la nature en lui obéissant ». Cette formule « suffit pour définir le travail véritable, celui qui fait les hommes libres, et cela dans la mesure même où il est un acte de soumission consciente à la nécessité ». Weil refuse en définitive que le travail soit vu comme une « désespérante malédiction », c'est-à-dire « comme la marque de l'esclavage et de l'abjection des hommes10 », ainsi que le suppose la Genèse.

  • av John Dewey
    291,-

    " ¿HE who knows me only by my writings does not know me,¿ said Leibniz. These words¿true, indeed, of every writer, but true of Leibniz in a way which gives a peculiar interest and charm to his life¿must be our excuse for prefacing what is to be said of his ¿New Essays concerning the Human Understanding¿ with a brief biographical sketch.Gottfried Wilhelm Leibniz was born in Leipzig June 21, 1646. His father, who died when Leibniz was only six years old, was a professor in the university and a notary of considerable practice. From him the future philosopher seems to have derived his extraordinary industry and love of detail. Such accounts as we have of him show no traces of the wonderful intellectual genius of his son, but only a diligent, plodding, faithful, and religious man, a thoroughly conscientious husband, jurist, and professor. Nor in the lines of physical heredity can we account for the unique career of Leibniz by his mother¿s endowments. The fact, however, that she was patient in all trial, living in peace with her neighbors, anxious for unity and concord with all people, even with those not well disposed to her, throws great light upon the fundamental trait of Leibniz¿s ethical nature"

  • av Stefan Zweig
    583,-

    " In dem vorliegenden Werke sind wie in der vorangegangenen Trilogie » Drei Meister « abermals drei Dichterbildnisse im Sinn einer inneren Ge-meinschaft vereinigt; aber diese innere Einheit soll nicht mehr sein als eine Begegnung im Gleichnis. Ich suche keine Formeln des Geistigen, sondern ich gestalte Formen des Geistes. Und wenn ich in meinen Büchern immer mehrere solcher Bilder bewußt zusammenrücke, so ge- schieht dies einzig in der Art eines Malers, der seinen Werken gerne den richtigen Raum sucht, wo Licht und Gegenlicht wirkend gegeneinander- strömen und durch Pendants die erst verborgene, nun aber offenbare Analogiedes Typusin Er scheinung tritt.V ergleich scheintmirim merein förderndes, ja ein gestaltendes Element, und ich liebe ihn als Methode, weil er ohne Gewaltsamkeit angewendet werden kann. Er bereichert in gleichem Maße, als die Formel verarmt, er erhöht alle Werte, indem er Erhellungen durch unerwartete Reflexe schafft und eine Tiefe des Raums wie einen Rahmen um das abgelöste Bildnis stellt. "

  • av Auguste Comte
    291,-

    Le positivisme, tel qu'il est pensé par Auguste Comte, est une déclinaison de l'évolutionnisme en ce sens que la notion de progrès est au centre de l'Histoire. L'être humain progresse, et son histoire est une évolution continuelle vers le meilleur dans tous les domaines (technique, science, philosophie).Extrait : " L'ensemble des connaissances astronomiques, trop isolément considéré jusqu'ici, ne doit plus constituer désormais que l'un des éléments in- dispensables d'un nouveau système indivisible de philosophie générale, graduellement préparé par le concours spontané de tous les grands travaux scientifiques propres aux trois derniers siècles, et finalement parvenu aujourd'hui à sa vraie maturité abstraite. En vertu de cette intime connexité, très peu comprise encore, la nature et la destination de ce traité ne sauraient être suffisamment appréciées, si ce préambule nécessaire n'était pas surtout consacré à définir convenablement le véritable esprit fondamental de cette philosophie, dont l'installation universelle doit, au fond, devenir le but essentiel d'un tel enseignement."

  • av Hermès Trismégiste
    291,-

    Le Kybalion est un livre ésotérique fascinant explorant les principes hermétiques de l'Égypte antique, la magie égyptienne et l'occultisme sacré des anciens. Découvrez ces enseignements ésotériques profonds, avec les concepts tels que l'ésotérisme des anciens, la magie égyptienne, l'occultisme des prêtresses sacrées. Plongez dans la sagesse millénaire des anciens Égyptiens et des adeptes de l'occultisme rituel des plus secrets. Explorez les sept principes hermétiques fondamentaux, dont le mentalisme, la correspondance, la vibration, la polarité, le rythme, la cause et l'effet, et le genre. Développez votre sagesse intérieure et votre compréhension universelle grâce à ce guide précieux. Transformez votre vie en maîtrisant les mystères de la magie égyptienne et en appliquant les principes hermétiques intemporels du Kybalion.Découvrez les enseignements ésotériques profonds du Kybalion, révélant les mystères de l'univers et de la magie égyptienne. Explorez les sept principes hermétiques fondamentaux, incluant le principe de mentalisme, de correspondance, de vibration, de polarité, de rythme, de cause et d'effet, ainsi que le principe du genre.Plongez dans la sagesse millénaire des anciens Égyptiens et des adeptes de l'occultisme. Découvrez comment l'esprit façonne la réalité et comment utiliser la magie égyptienne pour manifester vos désirs. Comprenez les correspondances mystiques entre les symboles, les planètes et les éléments pour exploiter les forces de l'univers.Maîtrisez les vibrations et les cycles cosmiques pour influencer votre destinée. Apprenez à équilibrer les polarités masculines et féminines pour atteindre l'harmonie spirituelle. Explorez la puissante loi de cause et d'effet pour créer consciemment votre réalité.Que vous soyez novice en ésotérisme ou un adepte chevronné de l'occultisme, le Kybalion est un guide précieux pour développer votre sagesse intérieure et votre compréhension universelle. Plongez dans les profondeurs de la magie égyptienne et découvrez les secrets des anciens maîtres.Le Kybalion est un incontournable pour tous ceux qui s'intéressent à l'ésotérisme, à la magie égyptienne et à l'occultisme. Éveillez votre esprit, élargissez vos connaissances et transformez votre vie grâce à ces principes hermétiques intemporels.

  • av Martin Luther
    291,-

    " ¿I, CAPTAIN HENRY BELL, do hereby declare, both to the present age, and also to posterity, that being employed beyond the seas in state affairs divers years together, both by King James, and also by the late King Charles, in Germany, I did hear and understand, in all places, great bewailing and lamentation made, by reason of the destroying and burning of above fourscore thousand of Martin Luther¿s books, entitled His Last Divine Discourses.¿For after such time as God stirred up the spirit of Martin Luther to detect the corruptions and abuses of Popery, and to preach Christ, and clearly to set forth the simplicity of the Gospel, many Kings, Princes, and States, Imperial Cities, and Hans-Towns fell from the Popish Religion, and became Protestants, as their posterities still are, and remain to this very day."

  • av Antonio Gramsci
    291 - 357,-

  • av Paul Valery
    291,-

    " Ce petit recueil se dédie de préférence aux personnes qui n¿ont point de système et sont absentes des partis ; qui par-là sont libres encore de douter de ce qui est douteux et de ne point rejeter ce qui ne l¿est pas.D¿ailleurs, ce ne sont ici que des études de circonstance. Il en est de 1895, il en est d¿hier, il en est d¿aujourd¿hui. Elles ont ce caractère commun d¿être des essais, au sens le plus véritable de ce terme. On n¿y trouvera que le dessein de préciser quelques idées qüil faudrait bien nommer politiques, si ce beau mot de politique, très séduisant et excitant pour l¿esprit, n¿éveillait de grands scrupules et de grandes répugnances dans l¿esprit de l¿auteur. Il n¿a voulu que se rendre un peu plus nettes les notions qüil avait reçues de tout le monde, ou qüil s¿était formées comme tout le monde, et qui servent à tout le monde à penser aux groupes humains, à leurs relations réciproques et à leurs gênes mutuelles."

  • av Giuseppe Rensi
    291,-

  • av Therese De Lisieux
    291,-

    " C¿est à vous, ma Mère chérie, à vous qui êtes deux fois ma Mère, que je viens confier l¿histoire de mon âme... Le jour où vous m¿avez demandé de le faire, il me semblait que cela dissiperait mon c¿ur en l¿occupant de lui-même, mais depuis Jésus m¿a fait sentir qüen obéissant simplement je lui serais agréable ; d¿ailleurs je ne vais faire qüune seule chose : Commencer à chanter ce que je dois redire éternellement : « Les Miséricordes du Seigneur... » (NHA 101) (Ps 89,2) Avant de prendre la plume, je me suis agenouillée devant la statue de Marie (NHA 102) (celle qui nous a donné tant de preuves des maternelles préférences de la Reine du Ciel pour notre famille,) je l¿ai suppliée de guider ma main afin que je ne trace pas une seule ligne qui ne lui soit agréable. Ensuite ouvrant le Saint Evangile, mes yeux sont tombés sur ces mots : « Jésus étant monté sur une montagne, il appela à Lui ceux qüil lui plut ; et ils vinrent à Lui. » (Saint Marc, chap. III, v. 13)."

  • av Georg Wilhelm Friedrich Hegel
    291,-

    " Eine Erklärung, wie sie einer Schrift in einer Vorrede nach der Gewohnheit vorausgeschickt wird¿Über den Zweck, den der Verfasser sich in ihr vorgesetzt, sowie über die Veranlassungen und das Verhältnis, worin er sie zu andern frühern oder gleichzeitigen Behandlungen desselben Gegenstandes zu stehen glaubt¿scheint bei einer philosophischen Schrift nicht nur überflüssig, sondern um der Natur der Sache willen sogar unpassend und zweckwidrig zu sein. Denn wie und was von Philosophie in einer Vorrede zu sagen schicklich wäre¿etwa eine historische Angabe der Tendenz und des Standpunkts, des allgemeinen Inhalts und der Resultate, eine Verbindung von hin und her sprechenden Behauptungen und Versicherungen über das Wahre¿, kann nicht für die Art und Weise gelten, in der die philosophische Wahrheit darzustellen sei.¿Auch weil die Philosophie wesentlich im Elemente der Allgemeinheit ist, die das Besondere in sich schließt, so findet bei ihr mehr als bei andern Wissenschaften der Schein statt, als ob in dem Zwecke oder den letzten Resultaten die Sache selbst und sogar in ihrem vollkommenen Wesen ausgedrückt wäre, gegen welches die Ausführung eigentlich das Unwesentliche sei. In der allgemeinen Vorstellung hingegen, zum Beispiel was Anatomie sei, etwa die Kenntnis der Teile des Körpers nach ihrem unlebendigen Dasein betrachtet, ist man überzeugt, die Sache selbst, den Inhalt dieser Wissenschaft, noch nicht zu besitzen, sondern außerdem um das Besondere sich bemühen zu müssen. Ferner ist bei einem solchen Aggregate von Kenntnissen, das den Namen Wissenschaft nicht mit Recht führt, eine Konversation über Zweck und dergleichen Allgemeinheiten nicht von der historischen und begrifflosen Weise verschieden, worin von dem Inhalte selbst, diesen Nerven, Muskeln und so fort, gesprochen wird. Bei der Philosophie hingegen würde die Ungleichheit entstehen, daß von einer solchen Weise Gebrauch gemacht, und diese doch von ihr selbst als unfähig, die Wahrheit zu fassen, aufgezeigt würde."

  • av Antonio Gramsci
    291,-

    " Una doppia serie di ricerche. Una sull¿Età del Risorgimento e una seconda sulla precedente storia che ha avuto luogo nella penisola italiana, in quanto ha creato elementi culturali che hanno avuto una ripercussione nell¿Età del Risorgimento (ripercussione positiva e negativa) e continuano a operare (sia pure come dati ideologici di propaganda) anche nella vita nazionale italiana cosí come è stata formata dal Risorgimento. Questa seconda serie dovrebbe essere una raccolta di saggi su quelle epoche della storia europea e mondiale che hanno avuto un riflesso nella penisola. Per esempio:1) I diversi significati che ha avuto la parola «Italia» nei diversi tempi, prendendo lo spunto dal noto saggio del prof. Carlo Cipolla (che dovrebbe essere completato e aggiornato)."

  • av Georg Wilhelm Friedrich Hegel
    291,-

    " Die Phänomenologie des Geistes ist ein Werk des Philosophen Hegel, das 1807 in einer Auflage von 750 Exemplaren veröffentlicht wurde. Der Titel der Ausgabe von 1807 lautet Système de la science, Teil I, die Phänomenologie des Geistes. Ein weiterer Untertitel Hegels lautet: Erster Teil: Wissenschaft von der Erfahrung des Bewusstseins. Der Zweck der Phänomenologie besteht, wie im Vorwort erwähnt, darin, ¿das Wahre nicht als Substanz, sondern genau als Subjekt zu erfassen und auszudrücken¿. Die Phänomenologie des Geistes ist nach Levinas eines der wichtigsten Werke der Philosophie. Es handelt sich um ein theoretisch dichtes Werk, das einen gewissen Einfluss auf die Denkschulen des 19. und 20. Jahrhunderts (Marxismus4, Idealismus5) hatte. Es ist ein konzeptionelles und schwieriges Buch. Seine Rezeption in Frankreich ist spät im Jahr. Es wird aus den Jahren 1930¿67 kommentiert und übersetzt."

  • av Antonio Gramsci
    291,-

    " La quarta guerra del Risorgimento italiano non pare debba avere per il Mezzogiorno conseguenze diverse da quella delle altre tre. Lo ha fatto notare A. Labriola alla Camera durante la discussione della politica economica del gabinetto Salandra, ma l'Agenzia Stefani ha trasmesso delle sue parole un riassunto generico e scolorito.Già nel 1911 in una pubblicazione semiufficiale posta sotto il patronato dell'Accademia dei lincei, Francesco Coletti, un economista serio e poco amante dei paradossi, aveva fatto notare che l'unificazione delle regioni italiane sotto uno stesso regime accentratore aveva avuto per il Mezzogiorno conseguenze disastrose, e che la cecità dei governanti, dimentichi del programma economico cavouriano, aveva incrudito lo stato di cose dal quale originava la annosa e ormai cronica questione meridionale."

  • av Carl von Clausewitz
    291,-

    " We propose to consider first the single elements of our subject, then each branch or part, and, last of all, the whole, in all its relations therefore to advance from the simple to the complex. But it is necessary for us to commence with a glance at the nature of the whole, because it is particularly necessary that in the consideration of any of the parts their relation to the whole should be kept constantly in view. We shall not enter into any of the abstruse definitions of War used by publicists. We shall keep to the element of the thing itself, to a duel. War is nothing but a duel on an extensive scale. If we would conceive as a unit the countless number of duels which make up a War, we shall do so best by supposing to ourselves two wrestlers. Each strives by physical force to compel the other to submit to his will: each endeavours to throw his adversary, and thus render him incapable of further resistance."

  • av Rainer Maria Rilke
    291,-

    " Es möchte manchen als eine sparsame Ausnutzung von Vorhandenem erscheinen, wenn hier die Wortfolge eines Vortrags (stellenweise so, wie er gesprochen worden ist, nur um mehr als die Hälfte erweitert) im Druck angeboten wird. Da aber die in jenem Zusammenhang enthaltenen Gedanken noch gültig sind, so mag ihnen auch die ursprüngliche Form der Äußerung nicht genommen werden; sie ist die natürlichste. Denn nicht in ihrer Verwendung allein, schon im Wesen dieser Gedanken liegt etwas Anredendes; sie wollen gehört sein. Sie wollen wirklich reden, und zu Vielen, und wollen versuchen, zwischen dem und jenem Leben und einer sehr großen Kunst zu vermitteln. Diese Absicht wird niemanden überraschen; sie hebt sich kaum ab von den vielen ähnlichen Absichten, die an der Arbeit sind und von denen die meisten zu Erfolg oder Ansehen kommen. Das Interesse für Kunst-Dinge hat zugenommen. Die Ateliers sind zugänglicher geworden und mitteilsamer gegen eine Kritik, der man nicht mehr vorwerfen kann, daß sie im Rückstande sei; der Kunsthandel selbst hat sich seiner Vorurteile begeben und sich, merkwürdig jung, an die Spitze der Entwickelung gestellt, an welcher sich das Publikum nun leicht beteiligen kann: mit seiner Kritik und mit seiner Kauflust. Diese Verfassung aber (so erfreulich und fortschrittlich sie sein mag geht über ein Werk wie das Rodin's fort; sie überspringt es, sie berührt es kaum."

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