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Bøker i Sociologie et Anthropologie-serien

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  • av Gabriel Tarde
    373,-

    "Fragment d'histoire future" est un ouvrage écrit par le sociologue et criminologue français Gabriel Tarde (1843-1904). Cet ouvrage, publié en 1896, appartient à la tradition de la science-fiction spéculative et explore les futurs possibles de la société.Dans "Fragment d'histoire future", Tarde envisage différentes évolutions sociales et technologiques, offrant des perspectives sur la façon dont la société pourrait se transformer à l'avenir. Il aborde des thèmes tels que les avancées scientifiques, les changements dans la structure sociale, les développements technologiques et les conséquences possibles de ces évolutions sur la vie quotidienne et les institutions sociales.L'ouvrage reflète les préoccupations et les idées de Tarde en matière de sociologie et de criminologie, tout en offrant une vision imaginative et spéculative de l'avenir. Tarde était particulièrement intéressé par les processus sociaux, la diffusion des innovations, et les interactions humaines, et ces thèmes sont susceptibles de se retrouver dans son exploration du futur dans "Fragment d'histoire future"

  • av Charles Aubertin
    387 - 573,-

  • av Edouard Chavannes
    279,-

  • av Célestin Bouglé
    279 - 373,-

  • av Gaston Courtillier
    347 - 440,-

  • av Émile Durkheim
    279,-

  • av Edmond De Nevers
    440 - 480,-

  • av Gustave Le Bon
    400,-

  • av Charles Marie Joseph Turgeon
    333 - 440,-

  • av Pierre-Augustin Caron De Beaumarchais
    279,-

  • av Théodore Duret
    279,-

    Plongez dans le monde fascinant de l'un des grands maîtres de l'art moderne avec "Histoire d'Édouard Manet et de son ¿uvre". Cette étude approfondie examine la vie et l'influence artistique d'Édouard Manet, un peintre français révolutionnaire dont les ¿uvres ont bouleversé le paysage artistique du 19ème siècle.Le livre offre un aperçu détaillé de la vie de Manet, depuis son enfance jusqu'à sa carrière artistique. Il met en lumière son évolution en tant qu'artiste, ses inspirations et la manière dont il a défié les conventions artistiques de son époque pour créer des ¿uvres provocantes et innovantes qui ont fait avancer l'art moderne.L'étude ne se contente pas d'examiner la vie de Manet, elle explore également ses ¿uvres d'art emblématiques, révélant comment chaque tableau reflète les courants artistiques et sociaux de l'époque. Des ¿uvres telles que "Le déjeuner sur l'herbe" et "Olympia" sont examinées en détail, dévoilant leur importance dans l'histoire de l'art."Histoire d'Édouard Manet et de son ¿uvre" est une exploration fascinante et éclairante de la vie et du travail d'un artiste qui a façonné le cours de l'art moderne. Il offre une vision précieuse du génie créatif de Manet et de l'impact durable de son ¿uvre.

  • av Robert Brasillach
    279,-

    Imprégnez-vous de l'histoire fascinante de l'une des figures les plus célèbres de la France avec "Le procès de Jeanne d'Arc" de Robert Brasillach. Ce livre donne un aperçu détaillé de la vie, du procès et de la mort de Jeanne d'Arc, une héroïne nationale et une sainte patronne de la France.Le livre explore la période tumultueuse de l'histoire de France lors de la guerre de Cent Ans, lorsque Jeanne d'Arc, une jeune paysanne, a conduit l'armée française à plusieurs victoires importantes. Brasillach se penche sur le procès controversé de Jeanne, révélant les intrigues politiques et ecclésiastiques qui ont mené à sa condamnation pour hérésie.L'auteur analyse également l'impact durable de Jeanne d'Arc sur l'histoire et la culture françaises, soulignant son rôle en tant que symbole de résistance et de courage. Brasillach, avec son style narratif captivant, donne vie à cette époque historique, permettant aux lecteurs de comprendre les défis auxquels Jeanne d'Arc a été confrontée et les sacrifices qu'elle a faits au nom de son pays."Le procès de Jeanne d'Arc" est une exploration profonde et éclairante de l'histoire de cette héroïne française emblématique. C'est un livre incontournable pour ceux qui sont intéressés par l'histoire française, la guerre de Cent Ans et la vie de Jeanne d'Arc.extrait : " Le plus émouvant et le plus pur chef-d¿¿uvre de la langue française n¿a pas été écrit par un homme de lettres. Il est né de la collaboration abominable et douloureuse d¿une jeune fille de dix-neuf ans, visitée par les anges, et de quelques prêtres mués, pour l¿occasion, en tortionnaires. Des notaires peureux ont écrit sous la dictée, et c¿est ainsi qüa pu nous parvenir ce prodigieux dialogue entre la sainteté, la cruauté et la lâcheté, qui réalise et incarne enfin, en les laissant loin derrière lui, tous les dialogues imaginaires qüavait produits le génie allégorique du moyen âge.Même cachées sous un latin transparent, qui n¿a plus guère de latin que le nom, et semble une variété méridionale du français, un chantant français d¿oc à déclinaisons, la force et la beauté de ce texte incomparable saisissent le c¿ur."

  • av Rene Guenon
    279,-

    " L¿ouvrage posthume de Saint-Yves d¿Alveydre intitulé Mission de l¿Inde , qui fut publié en 1910, contient la description d¿un centre initiatique mystérieux désigné sous le nom d¿ Agartha ; beaucoup de lecteurs de ce livre durent d¿ailleurs supposer que ce n¿était là qüun récit purement imaginaire, une sorte de fiction ne reposant sur rien de réel. En effet, il y a là-dedans, si l¿on veut y prendre tout à la lettre, des invraisemblances qui pourraient, au moins pour qui s¿en tient aux apparences extérieures, justifier une telle appréciation ; et sans doute Saint-Yves avait-il eu de bonnes raisons de ne pas faire paraître lui-même cet ouvrage, écrit depuis fort longtemps, et qui n¿était vraiment pas mis au point. Jusque-là, d¿un autre côté, il n¿avait guère, en Europe, été fait mention de l¿ Agartha et de son chef, le Brahmâtmâ, que par un écrivain fort peu sérieux, Louis Jacolliot, dont il n¿est pas possible d¿invoquer l¿autorité ; nous pensons, pour notre part, que celui-ci avait réellement entendu parler de ces choses au cours de son séjour dans l¿Inde, mais il les a arrangées, comme tout le reste, à sa manière éminemment fantaisiste." Dans ce livre captivant, l'auteur explore les concepts ésotériques et les symboles traditionnels, proposant des interprétations profondes qui dépassent le domaine du matérialisme moderne.Le livre aborde la notion du "Roi du Monde" - un concept présent dans de nombreuses traditions anciennes qui symbolise une autorité spirituelle suprême ou un centre primordial autour duquel tourne l'ordre cosmique. Guénon examine comment ce concept s'inscrit dans diverses traditions spirituelles, et comment il offre une vision du monde qui transcende les divisions et les hiérarchies matérialistes.Outre son exploration du "Roi du Monde", Guénon explore d'autres symboles et concepts traditionnels, établissant des liens entre différentes traditions spirituelles et soulignant leur unité sous-jacente. Il utilise ces concepts pour critiquer le monde moderne, soulignant le déclin de la spiritualité et l'importance de revenir aux valeurs traditionnelles."Le Roi du Monde" est une ¿uvre profonde et stimulante qui incite à la réflexion, proposant une vision du monde qui met l'accent sur la spiritualité et la tradition. C'est une lecture incontournable pour ceux qui s'intéressent à l'ésotérisme, à la philosophie traditionnelle et à la critique du monde moderne.

  • av Augustin Hippone
    279,-

    Immerse yourself in the timeless legacy of Augustin Hippone through a succinct summary of 'The Confessions of Saint Augustine,' a monumental spiritual autobiography that revolutionized Christian literature.Summary:Augustin Hippone's "The Confessions of Saint Augustine" is a riveting autobiographical work that explores the intricacies of faith, human frailty, and the pursuit of divine truth. Penned in the late 4th century by Saint Augustine of Hippo, an influential theologian, this magnum opus remains a cornerstone in Christian literature and Western philosophy.¿The Confessions¿ is framed as a series of earnest dialogues with God, chronicling Saint Augustine's journey from a tumultuous youth to his profound conversion to Christianity. His soul-searching narrative delves into an array of themes including the nature of time, memory, and the human soul, as well as the redemptive power of faith.This masterwork's candid introspection and the portrayal of spiritual transformation have cemented its status as a paradigm for modern spiritual autobiographies. Readers across ages find resonance with Saint Augustine¿s personal struggles and epiphanies, making "The Confessions" an enduring source of inspiration and solace for those on their own spiritual quests.In the contemporary realm, Augustin Hippone's ¿The Confessions¿ serves as a gateway to understanding the historical and theological landscape of early Christianity, and remains an invaluable resource for scholars, theologians, and spiritual seekers alike.

  • av Friedrich Engels
    279,-

    " Ein Gespenst geht um in Europa ¿ das Gespenst des Kommunismus. Alle Mächte des alten Europa haben sich zu einer heiligen Hetzjagd gegen dies Gespenst verbündet, der Papst und der Zar, Metternich und Guizot, französische Radikale und deutsche Polizisten.Wo ist die Oppostitionspartei, die nicht von ihren regierenden Gegnern als kommunistisch verschrien worden wäre, wo die Oppositionspartei, die der fortgeschritteneren Oppositionsleuten sowohl wie ihren reaktionären Gegnern den brandmarkenden Vorwurf des Kommunismus nicht zurückgeschleudert hätte?Zweierlei geht aus dieser Tatsache hervor.Der Kommunismus wird bereits von allen europäischen Mächten als eine Macht anerkannt. Es ist hohe Zeit, daß die Kommunisten ihre Anschauungsweise, ihre Zwecke, ihre Tendenzen vor der ganzen Welt offen darlegen und dem Märchen vom Gespenst des Kommunismus ein Manifest der Partei selbst entgegenstellen. Zu diesem Zweck haben sich Kommunisten der verschiedensten Nationalität in London versammelt und das folgende Manifest entworfen, das in englischer, französischer, deutscher, italienischer, flämischer und dänischer Sprache veröffentlicht wird."

  • av Karl Marx
    279,-

    " Von verschiednen Seiten warf man uns vor, daß wir nicht die ökonomischen Verhältnisse dargestellt haben, welche die materielle Grundlage der jetzigen Klassenkämpfe und Nationalkämpfe bilden. Wir haben planmäßig diese Verhältnisse nur da berührt, wo sie sich in politischen Kollisionen unmittelbar aufdrängenEs galt vor allem den Klassenkampf in der Tagesgeschichte zu verfolgen und an dem vorhandnen und täglich neu geschaffnen geschichtlichen Stoff empirisch nachzuweisen, daß mit der Unterjochung der Arbeiterklasse, welche Februar und März gemacht hatte, gleichzeitig ihre Gegner besiegt wurden ¿ die Bourgeoisrepublikaner in Frankreich, die den feudalen Absolutismus bekämpfenden Bürger- und Bauernklassen auf dem gesamten europäischen Kontinent; daß der Sieg der "honetten Republik" in Frankreich gleichzeitig der Fall der Nationen war, die auf die Februarrevolution mit heroischenUnabhängigkeitskriegen geantwortet hatten; daß endlich Europa mit der Besiegung der revolutionären Arbeiter in seine alte Doppelsklaverei zurückfiel, in die englisch-russische Sklaverei. "

  • av Annie Besant
    279,-

    " What hink ye of Christ, whose son is he?" Humane child of human parents, or divine Son of the Almighty God? When we consider his purity, his faith in the Father, his forgiving patience, his devoted work among the offscourings of society, his brotherly love to sinners and outcasts¿ when our minds dwell on these alone,¿we all feel the marvellous fascination which has drawn millions to the feet of this "son of man," and the needle of our faith begins to tremble towards the Christian pole. If we would keep unsullied the purity of our faith in God alone, we are obliged to turn our eyes some times¿however unwillingly¿towards the other side of the picture and to mark the human weaknesses which remind us that he is but one of our race. His harshness to his mother, his bitterness towards some of his opponents, the marked failure of one or two of his rare prophecies, the palpable limitation of his knowledge ¿ little enough, indeed, when all are told,¿are more than enough to show us that, however great as man, he is not the All-righteous, the All- seeing, the All-knowing, God."

  • av Victor Hugo
    279,-

    " Le jeudi 20 décembre 1848, l'assemblée constituante, entourée en ce moment-là d'un imposant déploiement de troupes, étant en séance, à la suite d'un rapport du représentant Waldeck-Rousseau, fait au nom de la commission chargée de dépouiller le scrutin pour l'élection à la présidence de la république, rapport où l'on avait remarqué cette phrase qui en résumait toute la pensée: «C'est le sceau de son inviolable puissance que la nation, par cette admirable exécution donnée à la loi fondamentale, pose elle-même sur la constitution pour la rendre sainte et inviolable»; au milieu du profond silence des neuf cents constituants réunis en foule et presque au complet, le président de l'assemblée nationale constituante, Armand Marrast, se leva et dit:«Au nom du peuple français, «Attendu que le citoyen Charles-Louis-Napoléon Bonaparte, né à Paris, remplit les conditions d'éligibilité prescrites par l'article 44 de la constitution; «Attendu que, dans le scrutin ouvert sur toute l'étendue du territoire de la république pour l'élection du président, il a réuni la majorité absolue des suffrages; «En vertu des articles 47 et 48 de la constitution, l'assemblée nationale le proclame président de la république depuis le présent jour jusqu'au deuxième dimanche de mai 1852.» Un mouvement se fit sur les bancs et dans les tribunes pleines de peuple; le président de l'assemblée constituante ajouta: «Aux termes du décret, j'invite le citoyen président de la république à vouloir bien se transporter à la tribune pour y prêter serment.» Les représentants qui encombraient le couloir de droite remontèrent à leurs places et laissèrent le passage libre. Il était environ quatre heures du soir, la nuit tombait, l'immense salle de l'assemblée était plongée à demi dans l'ombre, les lustres descendaient des plafonds, et les huissiers venaient d'apporter les lampes sur la tribune. Le président fit un signe et la porte de droite s'ouvrit."

  • av Charles-Henri Sanson
    347,-

    " Les hautes ¿uvres étaient les tâches assurées par le bourreau en tant qu'exécuteur de la haute justice : bannissement, châtiments corporels, torture, mise à mort, exposition au pilori... Charles-Henri Sanson, né le 15 février 1739 et mort le 4 juillet 1806, est un bourreau français, officiellement exécuteur des hautes ¿uvres de Paris, sous les règnes des rois Louis XV et Louis XVI, puis sous la Première République française. Il est surtout connu pour avoir décapité le roi Louis XVI ainsi que différents révolutionnaires comme Danton, Camille Desmoulins ou Robespierre. Issu d'une famille de bourreaux, il a administré la peine capitale durant plus de quarante années et a exécuté de sa propre main près de 3 000 personnes. Dans ses mémoires longtemps restées inédites, il retrace la vie sous la Révolution française lors de la Terreur et de la guillotine. Nourri d'anecdotes sur les suppliciés dont il eut la charge cet ouvrage est devenu un classique de l'histoire de la peine capitale."

  • av Rene Guenon
    279,-

    " Lorsque nous avons, il y a quelques années, écrit Orient et Occident, nous pensions avoir donné, sur les questions qui faisaient l¿objet de ce livre, toutes les indications utiles, pour le moment tout au moins. Depuis lors, les événements sont allés en se précipitant avec une vitesse toujours croissante, et, sans nous faire changer d¿ailleurs un seul mot à ce que nous disions alors, ils rendent opportunes certaines précisions complémentaires et nous amènent à développer des points de vue sur lesquels nous n¿avions pas cru nécessaire d¿insister tout d¿abord. Ces précisions s¿imposent d¿autant plus que nous avons vu s¿affirmer de nouveau, en ces derniers temps, et sous une forme assez agressive, quelques-unes des confusions que nous nous sommes déjà attaché précisément à dissiper ; tout en nous abstenant soigneusement de nous mêler à aucune polémique, nous avons jugé bon de remettre les choses au point une fois de plus. Il est, dans cet ordre, des considérations, même élémentaires, qui semblent tellement étrangères à l¿immense majorité de nos contemporains, que, pour les leur faire comprendre, il ne faut pas se lasser d¿y revenir à maintes reprises, en les présentant sous leurs différents aspects, et en expliquant plus complètement, à mesure que les circonstances le permettent, ce qui peut donner lieu à des difficultés qüil n¿était pas toujours possible de prévoir du premier coup.Le titre même du présent volume demande quelques explications que nous devons fournir avant tout, afin que l¿on sache bien comment nous l¿entendons et qüil n¿y ait à cet égard aucune équivoque. ¿e l¿on puisse parler d¿une crise du monde moderne, en prenant ce mot de « crise " dans son acception la plus ordinaire, c¿est une chose que beaucoup ne mettent déjà plus en doute, et, à cet égard tout au moins, il s¿est produit un changement assez sensible : sous l¿action même des événements, certaines illusions commencent à se dissiper, et nous ne pouvons, pour notre part, que nous en féliciter, car il y a là, malgré tout, un symptôme assez favorable, l¿indice d¿une possibilité de redressement de la mentalité contemporaine, quelque chose qui apparaît comme une faible lueur au milieu du chaos actuel. C¿est ainsi que la croyance à un « progrès " indéfini, qui était tenue naguëre encore pour une sorte de dogme intangible et indiscutable, n¿est plus aussi généralement admise ; certains entrevoient plus ou moins vaguement, plus ou moins confusément, que la civilisation occidentale, au lieu d¿aller toujours en continuant à se développer dans le même sens, pourrait bien arriver un jour à un point d¿arrêt, ou même sombrer entièrement dans quelque cataclysme. Peut-être ceux-là ne voient-ils pas nettement où est le danger, et les craintes chimériques ou puériles qüils manifestent parfois prouvent suffisamment la persistance de bien des erreurs dans leur esprit ; mais enfin c¿est déjà quelque chose qüils se rendent compte qüil y a un danger, même s¿ils le sentent plus qüils ne le comprennent vraiment, et qüils parviennent à concevoir que cette civilisation dont les modernes sont si infatués n¿occupe pas une place privilégiée dans l¿histoire du monde, qüelle peut avoir le même sort que tant d¿autres qui ont déjà disparu à des époques plus ou moins lointaines, et dont certaines n¿ont laissé derrière elles que des traces infimes, des vestiges à peine perceptibles ou difficilement reconnaissables."

  • av Valmiki
    746,-

    " Il est une vaste contrée, grasse, souriante, abondante en richesses de toute sorte, en grains comme en troupeaux, assise au bord de la Sarayoû et nommée Kauçala. Là, était une ville, célèbre dans tout l¿univers et fondée jadis par Manou, le chef du genre humain. Elle avait nom Ayaudhyâ. Heureuse et belle cité, large de trois yaudjanas, elle étendait sur douze yaudjanas de longueur son enceinte resplendissante de constructions nouvelles. Munie de portes à des intervalles bien distribués, elle était percée de grandes rues, largement développées, entre lesquelles brillait aux yeux la rue Royale, où des arrosements d¿eau abattaient le vol de la poussière. De nombreux marchands fréquentaient ses bazars, et de nombreux joyaux paraient ses boutiques. Imprenable, de grandes mai- sons en couvraient le sol, embelli par des bocages et des jardins publics. Des fossés profonds, impossibles à franchir, l¿environnaient ; ses arsenaux étaient pleins d¿armes variées ; et des arcades ornementées couronnaient ses portes, où veillaient continuellement des archers."

  • av Alexandre Pouchkine
    279,-

    Eugène Onéguine , regardé comme le chef-d¿¿uvre de Pouchkine, n¿avait pas encore été traduit en notre langue. Il n¿est pas écrit dans le goût du jour : on n¿y trouve ni banqueroute, ni suicide, ni prostituées, ni adultères, mais une galerie de tableaux pris çà et là dans l¿existence russe et servant de fond à une action très simple. Du reste, ce petit poème ou ce petit roman, comme on voudra, ne manque ni d¿originalité, ni de verve satirique, ni de douce poésie, sans parler des faits et gestes d¿Oné- guine « le mauvais sujet. »Je n¿ajoute plus un mot, et je confie à ceux qui savent encore goûter les choses simples et vraies le soin de statuer sur le sort d¿Onéguine.

  • av Rene Guenon
    279,-

    " Lorsque nous avons, il y a quelques années, écrit Orient et Occident, nous pensions avoir donné, sur les questions qui faisaient l¿objet de ce livre, toutes les indications utiles, pour le moment tout au moins. Depuis lors, les événements sont allés en se précipitant avec une vitesse toujours croissante, et, sans nous faire changer d¿ailleurs un seul mot à ce que nous disions alors, ils rendent opportunes certaines précisions complémentaires et nous amènent à développer des points de vue sur lesquels nous n¿avions pas cru nécessaire d¿insister tout d¿abord. Ces précisions s¿imposent d¿autant plus que nous avons vu s¿affirmer de nouveau, en ces derniers temps, et sous une forme assez agressive, quelques-unes des confusions que nous nous sommes déjà attaché précisément à dissiper ; tout en nous abstenant soigneusement de nous mêler à aucune polémique, nous avons jugé bon de remettre les choses au point une fois de plus. Il est, dans cet ordre, des considérations, même élémentaires, qui semblent tellement étrangères à l¿immense majorité de nos contemporains, que, pour les leur faire comprendre, il ne faut pas se lasser d¿y revenir à maintes reprises, en les présentant sous leurs différents aspects, et en expliquant plus complètement, à mesure que les circonstances le permettent, ce qui peut donner lieu à des difficultés qüil n¿était pas toujours possible de prévoir du premier coup."

  • av Pierre Kropotkine
    279,-

    " En prenant pour sujet de ce¿e conférence, l'État et son rôle historique, j'ai pensé répondre à un besoin qui se fait vivement sen¿r en ce moment : celui d'approfondir l'idée même de l'État, d'étudier son essence, son rôle dans le passé et la part qu'il peut être appelé à jouer dans l'avenir.C'est surtout dans la questi¿on de l'État que se trouvent divisés les socialistes. Dans l'ensemble des frac¿tions qui existent parmi nous, et qui répondent aux différents tempéraments, aux différentes manières de penser, et surtout au degré de confiance dans la prochaine révolüon, deux grands courants se dessinent."

  • av Léon Bloy
    279,-

    " Mon cher André, ce n¿est pas moi qui te donne ce livre, le plus impor- tant, peut-être, de tous ceux que j¿ai pu écrire jusqüà ce jour.C¿est mon fils André qui te le donne, mon douloureux fils André que Dieu m¿a repris dans son innocence baptismale et qui a dix-huit ans, au- jourd¿hui, dans le Paradis.Il en eût été le dédicataire et il convient que tu prennes sa place, en cette manière. Je veux croire que telle est sa volonté.Il eût aimé Napoléon comme tu l¿aimes, et votre commun Patron, le grand Apôtre de la Croix, te fera comprendre, si tu l¿interroges avec amour, ce qüil y avait de désirable et de magnifique dans la souffrance du plus glorieux de tous les mortels. Nous sommes au soir du monde, mon cher enfant ; tu seras témoin, peut-être, des divines et terribles choses que le vainqueur des rois semble avoir si grandiosement préfigurées.Puisse l'Ame de Napoléon agrandir ton c¿ur et te servir de réconfort pour les épreuves inconnues.LÉON BLOY. 5 mai 1912."

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