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Dans ce recueil précieux, deux écrits d'Abraham Aboulâfia se rejoignent, offrant une perspective profonde sur la Kabbale médiévale. Ces épîtres invitent le lecteur averti à explorer les dimensions secrètes de la Torah et de la tradition juive, dans un voyage spirituel et intellectuel. L'auteur, figure emblématique de la mystique juive et initiateur de la Kabbale prophétique, invite le lecteur averti à une quête ésotérique au coeur de la spiritualité et de la méditation. Les sept sentiers de la Torah guide de la compréhension littérale à la contemplation mystique, mêlant philosophie et Kabbale. Cette oeuvre est une invitation à la réflexion, révélant la complexité de la pensée kabbalistique. Et celle-ci pour Judah, rédigée en Sicile, est une longue lettre personnelle dévoilant un processus méditatif pour atteindre une conscience supérieure. Elle mêle réflexion philosophique et instructions mystiques, guidant vers la connaissance de soi et du divin.Ce volume, destiné à ceux qui cherchent à approfondir leur compréhension de la Kabbale, est une ressource précieuse pour explorer les subtilités de cette tradition mystique.
"Le Livre du Désir" (Séfer haĦéshéq) est un ouvrage écrit par Abraham Aboulâfia en 1288 pour son ami et disciple Saâdia ben Isaac Snalmapi à Messine en Sicile. Il est composé de trois parties, mais seulement les deux premières ont été conservées. Persécuté, Aboulâfia a dû fuir vers Malte et s'exiler sur l'îlot de Cominetto, rattaché à l'île de Comino. Il n'a sans doute pas eu le temps de rédiger la troisième partie.Le "Désir" est un concept clé dans la voie d'union mystique de l'auteur, dans l'intelligence du coeur. Pour lui, les oreilles entendent, mais c'est le coeur qui comprend. Sa façon d'écrire est plus inspirée que rationnelle, ce qui rend la lecture déconcertante au premier degré. Malgré les références au Talmud et à la pensée de Maïmonide, cette philosophie occulte se cache derrière un code, celui de la Kabbale des lettres et des subtilités de la guimatria, art numérique dans lequel l'auteur excelle. Ce code est essentiellement dans le texte hébreu et disparaît avec sa traduction. Ainsi, près de 600 annotations accompagnent cette traduction originale pour permettre au lecteur français de découvrir l'autre dimension de ce texte kabbalistique.
Guét ha-shémoth, divorce des noms, est le premier traité écrit par Abraham Aboulâfia, en 1271, à l'âge de 31 ans, alors qu'il se trouvait à Barcelone afin d'y étudier les nombreux commentaires du Séfer Yétsirah. Dès ce premier traité, Abraham Aboulâfia met en avant son intérêt pour les combinaisons de lettres et leurs vocalisations, ainsi que pour les soixante-douze noms constituant le Shém ha-meforash, le Nom explicite. Il représente une pensée kabbalistique qui tente, librement, de réconcilier kabbalistes et philosophes.Le but d'Abraham Aboulâfia, en rédigeant cet ouvrage, est de contribuer à la distinction des noms divins incertains et de mettre en garde ceux qui les utilisent, d'où le titre du livre: Divorce des Noms. Il écrit: Guét (divorce), en raison de la nécessité de supprimer toutes choses dont les intentions ne sont pas déterminées . Il propose également une présentation du système cosmologique des douze sphères célestes, représentant pour lui la réalité du ressenti, ainsi que les relations qu'entretiennent le macrocosme et le microcosme.
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