Gjør som tusenvis av andre bokelskere
Abonner på vårt nyhetsbrev og få rabatter og inspirasjon til din neste leseopplevelse.
Ved å abonnere godtar du vår personvernerklæring.Du kan når som helst melde deg av våre nyhetsbrev.
"A Woodland Queen ('Reine des Bois') ¿ Complete" by André Theuriet is a captivating novel that immerses readers within the mesmerizing splendor of the French geographical region. First published within the overdue 19th century, the narrative weaves a tapestry of romance, nature, and the human spirit. Set against the backdrop of the serene woodlands, the story unfolds around the protagonist, the Woodland Queen. Theuriet masterfully depicts her as a symbol of nature's charm and an embodiment of purity. The novel explores the sensitive interplay between the magical factors of the forest and the human feelings of love and desire. The lyrical prose of André Theuriet vividly brings to life the plush landscapes, portraying the woodlands as a realm of magic and thriller. The characters navigate the complexities in their relationships, intertwining with the herbal global round them. The writer's eager observations of both human behavior and the wonders of nature make contributions to the radical's undying appeal. "A Woodland Queen" is widely known for its poetic language, evocative descriptions, and the exploration of the symbiotic courting between humanity and the herbal world. André Theuriet's masterpiece remains a testomony to his capacity to transport readers to a realm in which the boundaries among reality and fantasy blur, inviting them to enjoy the magic and romance of the woodlands.
... Jules Bastien-Lepage est né à Damvillers, le 1er novembre 1848, dans une maison qui forme l'un des angles de cette place dont je viens de parler; - une simple maison de cultivateurs aisés, à la façade jaunâtre et aux volets gris. On pousse la porte d'entrée et on se trouve de plain-pied dans une cuisine, - la vraie cuisine des villages de la Meuse, avec sa haute cheminée surmontée d'ustensiles de ménage, ses rangées de chaudrons de cuivre, sa maie pour le pain et son vaisselier garni de faïences coloriées. - La chambre contiguë sert à la fois de salon, de salle à manger et même au besoin de chambre à coucher ; au-dessus, sont les chambres de réserve, puis de vastes greniers aux charpentes touffues. - C'est dans la salle du rez-de-chaussée, gaiment exposée au midi, que le peintre des Foins et de Jeanne d'Arc a ouvert les yeux...
Un clair matin de juin à l'époque où les prés ne sont pas encore fauchés, mais où les cerises mûrissent déjà. Le soleil qui vient de s'élancer au-dessus des massifs de la Tournette, crible de rayons la prairie, les vignes et les vergers qui dévalent du village d'Angon vers le lac aux eaux bleues. Une gaie lumière argente l'herbe onduleuse, glisse sur les feuilles lustrées des noyers, donne aux vignobles une verdure plus phosphorescente et aux cerises de plus vives rougeurs. Bien qu'on soit en semaine, des groupes de paysans en habits de travail flânent au long des vergers qui s'avancent en pointe vers le lac. Épars sur la rive ou attroupés à l'ombre des noyers, tous ont les yeux fixés du côté du village dont on voit les toits bruns fumer parmi les arbres. Leurs regards observent curieusement une grande maison savoyarde, moitié ferme, moitié château, qui dresse à gauche du chemin ses grises tourelles carrées, et abrite de sa toiture en auvent une galerie à balustres dont les piliers s'enguirlandent de plantes grimpantes. Les croisées de ce logis d'honnête apparence sont fleuries de géraniums cramoisis et s'ouvrent toutes sur le paysage du lac. Un large escalier de pierre met la galerie en communication avec les allées du verger, et sur cet escalier paraît un jeune garçon svelte et alerte. Il descend lestement les marches. À sa vue, une rumeur se produit dans les groupes...
Notre voiture descendait rapidement la rampe de Talloires. Arrivé au Vivier, le cocher mit son cheval au pas pour le laisser souffler, de sorte que nous pûmes examiner à loisir le paysage matinal. - La route creusée dans le roc courait, blanche, au long du lac d'Annecy en doublant la pointe où se dresse la chapelle abandonnée de la Madeleine. À droite, la nappe glauque du lac, que le vent ridait légèrement, s'étendait jusqu'à la bordure des vignobles qui forment la première assise des montagnes d'Entrevernes. De longs nuages errants, coupant les sommets par le milieu, n'en laissaient voir que la base verdoyante et la cime ensoleillée. Au fond, les bois de sapins de la gorge de Doussard, à demi noyés dans une vapeur bleu foncé, faisaient mieux valoir encore l'azur clair de l'eau sur laquelle la presqu'île d'Angon découpait les dentelures de ses peupliers. À notre gauche, une paroi de rochers surplombait au-dessus de la route et, parmi les broussailles qui en tapissaient la crête, on distinguait un sentier de chèvre, serpentant sur la corniche, à une trentaine de mètres...
C'était à l'époque où l'on construisait la maison centrale. L'administration des prisons ayant résolu de dédoubler le personnel de celle de Cl..., en transportant les femmes qui y étaient détenues dans une autre localité, un inspecteur général avait déclaré que les bâtiments de l'ancienne abbaye d'Auberive répondraient merveilleusement aux vues du ministre. En conséquence, l'État avait acquis le vieux domaine des Cisterciens, et on était en train de l'approprier à sa nouvelle destination, au grand désespoir des habitants du bourg, qui se souciaient peu d'avoir une maison de force et de correction dans leur voisinage. Le directeur de Cl..., impatient d'être débarrassé de ses détenues, pressait les travaux avec une activité fiévreuse ; et, comme son établissement n'était séparé d'Auberive que par une huitaine de lieues, il passait la moitié de son temps sur le chantier des constructions commencées, examinant les gros murs, harcelant l'architecte, bousculant les entrepreneurs et faisant endiabler les ouvriers...
C'était, autant qu'il m'en souvienne, en décembre, un après-midi de dimanche ; car du fond de notre salle à manger, j'entendais les sonneries des vêpres tinter à l'église voisine. On m'avait laissé à la maison sous la garde de Céline, ma bonne. Depuis que j'avais perdu ma mère, trois ans auparavant, mon père s'absentait fréquemment. Il aimait le monde et s'ennuyait chez lui.Cette fois, son absence devait durer huit jours ; il avait pris un congé pour aller à Paris - à l'Administration comme on disait couramment chez nous. - Il était fonctionnaire et sollicitait son avancement. Nous restions donc, Céline et moi, les maîtres du logis et nous occupions nos loisirs du mieux que nous pouvions. J'avais installé sur la table, non loin du poêle, un petit théâtre en cartonnage et, prenant, l'une après l'autre, les marionnettes accrochées à un fil de fer, je me jouais à moi-même de très émouvantes comédies. Quant à ma bonne, bien que ce fût jour férié, sans souci des défenses de l'Église, elle avait posé sur deux dossiers de chaises une planche capitonnée de flanelle et, très affairée, elle repassait des chemises et des collerettes...
Le chemin des bois: poésies (2e éd.) / André TheurietDate de l'édition originale: 1877Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
L'oncle Scipion / André Theuriet, ...; illustrations de Lobel-RicheDate de l'édition originale: 1907Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Fleurs de cyclamens / André Theuriet; illustrations de Ch. CoppierDate de l'édition originale: 1899Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Fleurs, plantes, fruits: le monde végétal / texte, dessins et aquarelles de G. Fraipont; avec une préface par André Theuriet, ...Date de l'édition originale: 1899Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Le legs d'une Lorraine / par André TheurietDate de l'édition originale: 1871Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu. Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Aus dem Buch: „Welch beruhigenden Klang haben nicht die Glocken, die noch in manchen Landstädtchen den Abend einläuten! Die vertrauten Töne beschließen das Tagewerk so friedlich und schläfern die Kinder in ihren Korbbettchen besser ein als ein Schlummerlied. Es liegt etwas Inniges, Tröstliches in diesen vollen, tiefen und friedlichen Klängen... Die Glocken von Juvigny haben diese Klänge auch; sie ertönen jeden Abend, im Winter um acht, im Sommer um neun Uhr, von dem stattlichen Turm, der einzigen Zierde, die Ludwig XIV., dieser große Zerstörer der lothringischen Festungen, der Mauerkrone der alten Stadt gelassen hat. An einem schönen Julisonntag des Jahres 1868, in dem Augenblick, mit welchem unsere Geschichte beginnt, verhallten die letzten Töne der Abendglocke über den Rebgeländen der Hügel, an denen sich die im Grünen versteckten Häuser Juvignys bis zu dem Flusse Ornain hinabziehen wie eine Herde zerstreut weidender Schafe, die zur Tränke eilen..." André Theuriet (1833-1907) war ein französischer Dichter, Romanschriftsteller und Dramatiker.
Abonner på vårt nyhetsbrev og få rabatter og inspirasjon til din neste leseopplevelse.
Ved å abonnere godtar du vår personvernerklæring.