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An old, limping man captures the attention of a newcomer to the rural town of Starkfield, Massachusetts, who sets out to learn the tragic story behind Ethan Frome's physical scars and subdued interactions. As the story skips back in time twenty-four years, a lifetime of misfortunes, a misguided love affair, and a terrible sledding accident come to light in Wharton's 1911 tale, set against the backdrop of stark New England winters, of a man unable to escape the harsh hand of fate.
The Greater Inclination - The Touchstone is an unchanged, high-quality reprint of the original edition of 1914.Hansebooks is editor of the literature on different topic areas such as research and science, travel and expeditions, cooking and nutrition, medicine, and other genres. As a publisher we focus on the preservation of historical literature. Many works of historical writers and scientists are available today as antiques only. Hansebooks newly publishes these books and contributes to the preservation of literature which has become rare and historical knowledge for the future.
坐落在伦敦及其周围的"珊瑚礁"是一个具有复杂道德的故事,在社会上错综复杂。 故事主要讲述乔治-达罗 和安娜-里斯 的肖像,后者是一位年轻的绅士和寡妇,她打算结婚。 他们俩都对自己的工会感到怀疑,结果令人惊讶。 达罗 与工人阶级善良,慷慨的索菲-维纳 进行了短暂的联络。 后来她遇到了安娜的继子欧文-里斯,后者希望破坏社会惯例并嫁给她。 当安娜 发现达罗 和索菲 的亲密历史时,她担心自己继子的感情,并感到担心自己将要建立的同盟。 沃顿商学院平衡情感动荡和她那个时代的所有社会风度的才华被融入到这本哲学著作中,该著作探索了女性内心的隐喻暗礁。
One of Edith Wharton's most enduring and popular works, the Age of Innocence remains just as powerful and worth reading today as it was when first published.
Plongez-vous dans l'élégance étouffante de la haute société new-yorkaise du XIXe siècle, où les règles sociales sont aussi immuables que les murailles des manoirs en pierre. "L'Âge de l'Innocence", l'oeuvre enchanteresse d'Edith Wharton, dépeint un monde de convenances raffinées et de passions étouffées, où les apparences gouvernent les c¿urs et les esprits.Dans ce roman envoûtant, nous faisons la connaissance de Newland Archer, un jeune homme charmant et promis à un avenir brillant, qui se retrouve tiraillé entre deux femmes exceptionnelles. D'un côté, il y a May Welland, la douce et innocente fiancée, qui incarne à la perfection les vertus et les m¿urs de l'époque victorienne. De l'autre, il y a la fascinante comtesse Ellen Olenska, une femme mystérieuse et énigmatique, de retour à New York après une vie tumultueuse en Europe. Elle apporte avec elle un parfum de scandale et de liberté qui défie les normes établies de la haute société. À travers les yeux de Newland Archer, nous assistons à une danse subtile entre la passion interdite et les obligations sociales, entre le désir et la répression. Edith Wharton dépeint avec une maîtrise exquise les jeux de séduction et les conflits intérieurs qui tourmentent ses personnages, nous plongeant au c¿ur de leurs dilemmes émotionnels.Le roman brille également par sa description magistrale de l'époque, où les codes de conduite rigides façonnent chaque aspect de la vie sociale. L'auteure réussit à faire revivre cette période avec une précision saisissante, où chaque geste, chaque parole et chaque regard peuvent bouleverser l'équilibre délicat de cette société apparemment parfaite. Au-delà de la trame amoureuse, "L'Âge de l'Innocence" est une réflexion intemporelle sur les limites de la liberté individuelle face à l'oppression des conventions sociales. C'est un voyage dans l'âme humaine, où les émotions brutes et les désirs inavoués se heurtent à la façade glaciale du conformisme.Ce chef-d'¿uvre intemporel d'Edith Wharton, imprégné d'une atmosphère d'élégance désuète, vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière page. "L'Âge de l'Innocence" est bien plus qu'une simple histoire d'amour, c'est une plongée envoûtante dans une époque révolue où les c¿urs battaient à l'unisson des conventions sociales, et où l'amour véritable se heurtait à l'inflexibilité d'une société en quête de perfection illusoire. Un roman qui vous marquera longtemps après avoir refermé ses pages, et qui vous fera découvrir le talent indéniable de l'une des plus grandes écrivaines de tous les temps.
Edith Wharton¿s controversial novel Summer is the story of Charity Royall, an ambitious young woman trapped in a stifling small town by both her gender and her social class. When a visiting stranger arrives in town, Charity is awakened to a wider world of possibilities and to the realities that constrain her.Published in 1917, the novel was both attacked and ignored for openly acknowledging female sexuality and its many inequities. Later generations of critics have come to regard the book as an important turning point in Wharton¿s work and a spiritual companion to her classic novel, Ethan Frome.
Entrez dans le monde glamour et complexe de l'âge d'or new-yorkais avec "The House of Mirth", un chef-d'¿uvre intemporel écrit par la brillante Edith Wharton. Plongez dans l'histoire séduisante de Lily Bart, une jeune femme captivante dont la beauté et le charme cachent une lutte pour la survie au sein d'une société soumise à des codes sociaux impitoyables. Dans ce roman captivant, Wharton tisse magistralement une tapisserie sur l'ambition, le désir et la poursuite du bonheur, avec pour toile de fond la haute société du début du XXe siècle. Lily Bart, une femme enchanteresse et farouchement indépendante, se retrouve piégée dans un labyrinthe d'opulence, de privilèges et de superficialité, où les apparences règnent en maître et où la réputation est la clé de l'avenir d'une femme.Sous la façade éblouissante des soirées et des luxueuses demeures, Lily lutte contre les contraintes de sa société, déchirée entre son désir d'amour véritable et son désir de sécurité financière. Son parcours est celui de la découverte de soi et de la rédemption, alors qu'elle navigue dans le réseau complexe des attentes de la société, endurant les langues acérées des ragots et de la trahison.La prose exquise de Wharton brosse un tableau saisissant d'une époque marquée par l'extravagance, tout en exposant la fragilité des aspirations humaines et les conséquences de décisions malencontreuses. En suivant le parcours tumultueux de Lily, nous nous retrouvons mêlés à ses peines et à ses triomphes, réfléchissant à nos propres choix et aux pressions sociétales qui résonnent encore à travers les âges."The House of Mirth" est une exploration intemporelle de l'esprit humain, une critique poignante d'un monde obsédé par le matérialisme et un rappel poignant que la poursuite du bonheur est souvent enchevêtrée dans le réseau complexe des attentes de la société. Le récit perspicace d'Edith Wharton transcende le temps et continue de captiver les lecteurs par sa compréhension profonde de la condition humaine et la quête éternelle d'appartenance et d'amour dans un monde où les apparences peuvent être trompeuses. Laissez-vous séduire par cette somptueuse histoire d'amour, de perte et de rédemption, et découvrez l'attrait et la mélancolie de "The House of Mirth" - un classique qui reste aussi actuel et pertinent aujourd'hui qu'il l'était lorsqu'il a fait son entrée dans le monde littéraire.
The Age of Innocence is a 1920 novel by American author Edith Wharton. It was her twelfth novel, and was initially serialized in 1920 in four parts, in the magazine Pictorial Review. Later that year, it was released as a book by D. Appleton & Company. This is Newland Archer's world as he prepares to marry the beautiful but conventional May Welland. But when the mysterious Countess Ellen Olenska returns to New York after a disastrous marriage, Archer falls deeply in love with her. Torn between duty and passion, Archer struggles to make a decision that will either courageously define his life-or mercilessly destroy it.
Kate Clephane despertó, como de costumbre, cuando un rayo del sol de la costa Azul cayó en diagonal sobre su cama. Eso era lo que más le gustaba de la habitación estrecha y deslucida del hotel de tercera categoría, el hotel de Minorque et de l¿Univers: que por la ventana se filtrase el sol de la mañana y que además no lo hiciese demasiado temprano. Los amaneceres se habían acabado para Kate Clephane. Estaban ligados a demasiados placeres perdidos: al regreso a casa de fiestas en las que había bailado hasta caer rendida, o de cenas en las que se había demorado, contando las ganancias obtenidas (era maravilloso en los viejos tiempos la frecuencia con la que había ganado, o sus amigos lo habían hecho por ella, tras apostar un luis solo por diversión, y había terminado con las manos a rebosar de billetes de mil francos); estaban ligados, asimismo, a aquellas subidas por la pendiente a través de la penumbra gris cada vez más clara del jardín, cuando los asaltaba la fragancia de los arbustos y se enredaban en las insidiosas espinas, hasta llegar a lo alto, a la villa encaramada en la roca recalentada y después en la puerta, a la sombra del Laurustinus con olor a miel, aquel beso inesperado (de verdad que sí, inesperado, porque hacía tiempo que lo acordado era ser «solo amigos») y el intento de zafarse del brazo insistente, y la nueva presión sobre sus labios de otros lo bastante jóvenes para conservar la frescura tras una noche de beber y de jugar y de seguir bebiendo. Nunca había permitido que Chris entrase con ella a esas horas, no, ni una sola vez, aunque en aquel momento no estuviese en la casa nadie más que Julie, la cocinera, y Dios sabía que no era por falta de¿ Pero siempre había tenido su orgullo: y eso era algo que la gente debería tener presente antes de decir ciertas cosas de ellä
En el viejo Nueva York de 1850 despuntaban unas cuantas familias cuyas vidas transcurrían en plácida opulencia. Los Ralston eran una de ellas. Los enérgicos británicos y los rubicundos y robustos holandeses se habían mezclado entre ellos dando lugar a una sociedad próspera, cauta y, pese a ello, boyante. Hacer las cosas a lo grande había sido la máxima de aquel mundo tan previsor, erigido sobre la fortuna de banqueros, comerciantes de Indias, constructores y navieros. Aquellas gentes parsimoniosas y bien nutridas, a quienes los europeos tildaban de irritables y dispépticas solo porque los caprichos del clima les habían exonerado de carnes superfluas y afilado los nervios, vivían en una apacible molicie cuya superficie jamás se veía alterada por los sórdidos dramas que eventualmente se escenificaban entre las clases inferiores. Por aquellos días, las almas sensibles eran como teclados mudos sobre los cuales tocaba el destino una melodía inaudible. Los Ralston y sus ramificaciones ocupaban una de las áreas más extensas dentro de aquella sociedad compacta de barrios sólidamente construidos. Los Ralston pertenecían a la clase media de origen inglés. No habían llegado a las colonias para morir por un credo, sino para vivir de una cuenta bancaria. El resultado había superado sus expectativas y su religión se había teñido de éxito. El espíritu de compromiso que había encumbrado a los Ralston encajaba a la perfección con una Iglesia de Inglaterra edulcorada que, bajo la conciliadora designación de Iglesia Episcopal de los Estados Unidos de América, suprimía las alusiones impúdicas de las ceremonias nupciales, omitía los pasajes conminatorios del Credo atanasiano y entendía más decoroso rezar el padrenuestro dirigiéndose al Padre mediante el arcaizante pronombre «vos». Extensivo a todo el clan era el rechazo sistemático a las religiones incipientes y a la gente sin referencias. Institucionales hasta la médula, constituían el elemento conservador que sustenta a las sociedades emergentes como la flora marina sustenta la orilla del mar.
«El profesor Joslin, quien, como nuestros lectores bien saben, acomete la tarea de escribir la biografía de la señora Aubyn, nos pide que expongamos que contraerá una deuda impagable con cualquier amigo de la famosa novelista que pueda proporcionarle información acerca del periodo anterior a su llegada a Inglaterra. La señora Aubyn tenía tan pocos amigos íntimos y, en consecuencia, tan pocos corresponsales que, en el supuesto de que existieran cartas, éstas tendrían un valor muy especial. La dirección del profesor Joslin es: 10, Augusta Gardens, Kensington. Asimismo, nos ruega que digamos que devolverá con prontitud cualquier documento que se le confíe». Glennard soltó el Spectator y se volvió hacia la chimenea. El club se estaba llenando, pero aún tenía para sí la salita interior y sus ensombrecidas vistas al lluvioso paisaje de la Quinta Avenida. Todo era bastante gris y deprimente, aunque sólo hacía un instante que su aburrimiento se había visto inesperadamente teñido por cierto renco al pensar que, tal como iban las cosas, puede que incluso tuviera que renunciar al despreciable privilegio de aburrirse entre esas cuatro paredes. No era tanto que el club le importara mucho como que la remota posibilidad de tener que renunciar a él representaba, en aquellos momentos, quizá por su insignificancia y lejanía, el emblema de sus crecientes abnegaciones, de los continuos recortes que iban reduciendo gradualmente su existencia al mero hecho de mantenerse vivo. Dado que resultaban inútiles, tales cambios y privaciones no los podía considerar beneficiosos, y tenía la sensación de que, aunque se deshiciera de inmediato de lo superfluo, eso no implicaba que su despejado horizonte le ofreciera una visión más nítida del único paisaje que merecía su atención. Y es que renunciar a algo para casarse con la mujer amada es más difícil cuando llegamos a dicha conclusión por la fuerza.
Era el otoño, después de haber pasado el tifus. Había estado en el hospital, y cuando salí tenía un aspecto tan endeble y vacilante que las dos o tres damas a las que pedí trabajo no me aceptaron, por temor. Se me había agotado casi todo el dinero, y después de vivir de la pensión durante dos meses, frecuentando agencias de colocaciones y escribiendo a todos los anuncios que me parecían respetables, casi perdí las esperanzas, porque el andar de un lado para otro no me había permitido recuperar peso; así que no veía cómo podía cambiar mi suerte. Pero cambió¿, o así lo creí yo entonces. Un día me tropecé con una tal señora Railton, amiga de la señora que me había traído a Estados Unidos, y me paró para saludarme; era de esas personas que hablan siempre con mucha familiaridad. Me preguntó qué me pasaba que estaba tan pálida, y cuando se lo conté, dijo: ¿Vaya, Hartley; creo que tengo precisamente el puesto que necesitas. Ven mañana a verme y hablaremos de esto.
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