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In September 2020, three years after The Soufflot Street case, Lauriane Emans returns to Paris to take up a job as a transcriber of meetings at the French subsidiary of an American laboratory specialising in research and development in innovative health technologies. Will she manage to fit in at the company? Given her special personality, nothing is less certain! In May 2022, Benjamin Marshall, a freelance press correspondent in Paris for American newspapers, is shot dead in cold blood as he is leaving his home in the Fourteenth District to go to the scene of a report. In December 2023, Arnaud Wagram, a disillusioned psychiatrist from Toulouse, in the South of France, decides to unscrew his plaque after just twenty years in private practice, and he takes the opportunity to tell the story of how he has come to such an extreme action. What is the link between these three stories? That's what the team of the Third Judicial Police Department, in charge of investigating this mysterious case, will have to find out. Managing errors and breaches of medical ethics are not the only surprises awaiting Yanaël Marceau, now an inspector, and his superior, Cédric Zandowski, now a commander. Moreover, during their investigation, they will have to deal with the political pressure of the French president's state visit to the United States, scheduled for December 2022, just a few months after the assassination of Benjamin Marshall, the only American citizen to be shot dead on French territory since the end of World War II. Working as a small team, will our two investigators manage to solve this case in time and in a way that doesn't jeopardise diplomatic relations between France and the United States? And what will become of Lauriane Emans and Arnaud Wagram at the end of the story? These are the answers you will find out by reading this second instalment of Yanaël Marceau's investigations, written from several different points of view.EXTRACT: Me: Good morning, Madam. I need an exceptional leave on Thursday 28th January, starting at 5 p.m., which would mean leaving the office at that time instead of at 7:53 p.m. as usual. The HRM: What is the reason for your request ? Me: I'm due to attend a literary prize-giving ceremony in the Sixteenth District, starting at 6 p.m. The HRM: Can't this ceremony take place without you? Me: No, not really. The HRM: Why is that? Do you think you're essential ? Me: No, I don't think so, but I have to receive one of the prizes that are to be awarded at this ceremony. If I don't go, it wouldn't reflect well on the jury who decided to award it to me. The HRM: I didn't know you were a writer. Me: I didn't know myself until I became one. I started this activity at a time when I wasn't yet working for the laboratory. The HRM: You didn't mention it on your CV. Are you hiding it ? Me: It's not really an activity, more a hobby that I do in my spare time while other people are doing sports or cultural activities at the weekend or on holiday. The HRM: It's a bit strange that you should receive an award for an activity that you only consider to be a hobby ! Me: Very few authors make a living from their writing ! That's why I regard writing more as a hobby than a professional activity. In fact, I neither sought nor applied for this prize, but now that it's been awarded to me, I have to find a way of making myself available so that I can attend the presentation ceremony. The HRM: After your absence from the secret santa, you're certainly not missing an opportunity to draw attention to yourself !
En septembre 2020, trois ans après L'affaire de la Rue Soufflot, Lauriane Émans revient vivre à Paris afin de prendre un poste de transcripteur de réunions au sein de la filiale française d'un laboratoire américain, spécialisé en recherche et développement dans les technologies innovantes de santé. Va-t-elle parvenir à s'intégrer au sein de cette entreprise ? En raison de sa personnalité particulière, rien n'est moins sûr ! En mai 2022, Benjamin Marshall, correspondant de presse indépendant, à Paris, pour divers journaux américains, est froidement abattu, alors qu'il sortait de son domicile du quatorzième arrondissement pour se rendre sur les lieux d'un reportage. En décembre 2023, Arnaud Wagram, un psychiatre toulousain, complètement désabusé, dévisse sa plaque, après seulement vingt ans d'exercice libéral et à cette occasion, il entreprend de raconter comment il en est arrivé à de telles extrémités. Quel est le lien entre ces trois histoires ? C'est ce que va devoir découvrir l'équipe du troisième DPJ, en charge de l'enquête sur cette mystérieuse affaire. Entre erreurs de management et manquements à l'éthique médicale, Yanaël Marceau, désormais capitaine et son supérieur, Cédric Zandowski, devenu commandant, ne sont pas au bout de leurs surprises. De plus, au cours de leur enquête, ceux-ci vont devoir composer avec la pression politique due à la visite d'État du Président français aux États-Unis, prévue en décembre 2022, soit quelques mois seulement après l'assassinat de Benjamin Marshall, seul citoyen américain abattu sur le territoire français depuis la fin de la Seconde guerre mondiale. Alors qu'ils travaillent en équipe réduite, nos deux enquêteurs vont-ils parvenir à résoudre ce fait divers à temps et d'une façon qui ne remette pas en cause les relations diplomatiques entre la France et les États-Unis ? Et que vont devenir Lauriane Émans et Arnaud Wagram, à la fin de l'histoire ? Telles sont les réponses que vous découvrirez en lisant ce second opus des enquêtes de Yanaël Marceau, rédigé selon plusieurs points de vue différents. EXTRAIT: "Moi-même: Bonjour Madame. J'aurais besoin d'une autorisation d'absence exceptionnelle le jeudi 28 janvier, à partir de 17 h 00, ce qui me conduirait à quitter le bureau à cet horaire au lieu de partir à 19 h 53, comme habituellement. La DRH: Quel est le motif de votre demande ? Moi-même: Je dois assister à une cérémonie de remise de prix littéraires, dans le seizième arrondissement, à partir de 18 h 00. La DRH: Cette cérémonie ne peut-elle pas se dérouler sans votre présence ? Moi-même: Non, pas vraiment. La DRH: Pourquoi donc ? Vous vous croyez indispensable ? Moi-même: Non, je ne me crois pas indispensable, mais je dois recevoir l'un des prix qui doivent être remis, lors de cette cérémonie. Or, si je ne me déplace pas pour y assister, cela ne serait pas très correct par rapport au jury qui a décidé de me l'attribuer. La DRH: Je ne savais pas que vous étiez écrivain. Moi-même: Je ne le savais pas moi-même avant de le devenir. J'ai commencé à exercer cette activité à une époque où je ne travaillais pas encore pour le laboratoire. La DRH: Vous ne l'avez pas mentionnée sur votre CV. Vous faites dans la dissimulation ?
UNE ENQUÊTE HORS NORME POUR LA POLICE JUDICIAIRE PARISIENNEParis. Septembre 2017. Lauriane Émans, étudiante en master de droit à la Sorbonne, est sauvagement agressée à son domicile de la Rue Soufflot. Elle ne sera sauvée in extremis que grâce à l'intervention de l'un de ses ambulanciers. Cependant, quelques jours après avoir effectué ce sauvetage d'urgence, ce dernier disparaît sans que personne, dans son entourage, ne soit en mesure d'expliquer cette situation, rapidement qualifiée de "disparition inquiétante" par les enquêteurs. Ces deux faits divers seraient-ils liés? C'est ce que va devoir découvrir l'un des groupes d'enquête du troisième district de police judiciaire, compétent sur le secteur du domicile respectif de chacune de ces deux victimes. Or, en raison d'un fâcheux concours de circonstances, au sein du troisième DPJ, un jeune officier de police judiciaire, Yanaël Marceau, fraîchement diplômé de l'École de police, se retrouve en première ligne pour mener à bien cette double enquête au cours de laquelle rien ne lui sera épargné. En effet, la principale victime étant une personne à mobilité réduite qui, malgré son handicap, menait de front de multiples activités, ce fait divers, en raison de sa nature peu habituelle, agite le monde médiatique et émeut jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir politique. La pression ne va donc pas cesser de s'accentuer sur les épaules de ce jeune et inexpérimenté lieutenant de police. De plus, les traditionnelles investigations policières ne conduisant à aucune piste tangible, Yanaël Marceau va rapidement se rendre compte que tout ce qu'il a appris à l'École de police ne s'avère d'aucune utilité pour résoudre cette enquête hors norme qui va le conduire dans les tréfonds de l'âme humaine. Il n'en ressortira pas indemne. Et Vous, Chers Lecteurs, en ressortirez-vous indemnes? Ce n'est pas certain. (EXTRAIT) LE SOIR MÊME de l'agression dont avait été victime Lauriane Émans, le Procureur de la République de Paris avait pris connaissance du rapport du médecin du SAMU qui avait succédé aux pompiers sur la scène de crime, ainsi que du rapport du médecin qui l'avait examinée dès son arrivée aux urgences médico-judiciaires. Devant la gravité des faits, le Parquet avait ouvert une enquête de flagrance pour tentative de meurtre sur personne vulnérable et actes de barbarie par dégradation de biens appartenant à une personne vulnérable. Les faits ayant eu lieu dans le cinquième arrondissement, l'enquête relevait de la compétence du troisième DPJ. Informé de ces faits pour le moins inhabituels par le ministre de l'Intérieur, dans la nuit, le président de la République avait publié un tweet afin d'exprimer le soutien du peuple français à la famille de la victime de ces actes ignobles qui déshonorent les valeurs de notre République . Ce matin-là, lorsqu'il fut réveillé à 7 heures, par la matinale de Radio Classique, Yanaël fut aussitôt replongé dans l'affaire sur laquelle il était intervenu la veille: celle-ci tournait en boucle dans tous les médias, à l'exception de la presse écrite quotidienne qui avait déjà bouclé l'édition du lendemain, lorsque cette information était tombée dans les salles de rédaction, à 23 h 50, en provenance du service de presse du pôle judiciaire des Batignolles. Cette affaire, désormais communément appelée l'affaire de la Rue Soufflot, déchaînait les passions: devant chaque micro tendu par une station de radio, ou par une chaîne de télévision, un analyste qui s'était autoproclamé spécialiste police-justice se perdait en conjectures sur les raisons ayant pu motiver la commission d'actes aussi barbares sur une personne aussi vulnérable.
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