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La maison du péché est un roman de Marcelle Tinayre, paru en 1901. Il raconte l'histoire de Claire, une jeune femme de la bourgeoisie parisienne, qui tombe amoureuse de Jean, un artiste bohème. Leur amour sera mis à rude épreuve par les conventions sociales de l'époque et les préjugés de leur entourage. Ce roman, qui aborde des thèmes tels que l'amour, la passion et la morale, est considéré comme l'un des chefs-d'oeuvre de la littérature française de la Belle Ãpoque.This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it.This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
Plongez dans l'histoire d'une femme forte et rebelle avec ce roman de Marcelle Tinayre. Louise est une femme moderne qui refuse de se plier aux conventions de son époque et va tout faire pour défendre ses convictions et ses idéaux. Une histoire captivante et inspirante.This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it.This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.
Marie Capelle, recherche l'amour! Nous sommes en 1830 et, jeune fille de la haute société, elle a peu de chance de trouver un mari aimant. Alors elle refuse celui-ci. Et celui-là. Puis elle refuse encore... Finalement, une agence lui propose un riche maître de forge, maire du lieu, qui lui convient. Pensez! Il vit dans un château! En Corrèze, certes, c'est loin de Paris. Mais un château! Sur place, c'est la désillusion. L'homme est rustre, soumis à sa mère. La forge est en déroute et le château n'en a que le nom. Il est infesté de rats. Marie rêve de retourner à Paris. Mais, très vite, son mari tombe malade et meurt. ... Et si c'était elle qui l'avait empoisonné? Marcelle Tinayre dénoue pour nous les fils de l'intrigue.
«... Elle découvrit enfin son visage, et, soulevée à demi, les mains tendues vers Ugo, elle le conjura de rester, et promit d’être sienne. Son sein palpitait sous le plissement de la guimpe, dans l’échancrure du velours. Ses cheveux coulaient sur ses tempes à petites ondes légères, presque rousses, et le rubis de la mince ferronnière avivait l’éclat des yeux noirs. L’atmosphère chaude et mystérieuse qui baigne les belles mortes, dans les très anciens tableaux, cette pénombre surnaturelle où rêvent les femmes du Vinci, chaque geste de l’Alberi semblait la créer autour d’elle. Une émanation de beauté, irradiant de son visage, de sa robe, de ses mains, de sa bouche douloureuse, transfigurait, pour un instant, la laideur du décor, la vulgarité du partenaire, — et Clarence revivait le plus poignant des songes...»
«... Elle allait et venait dans la salle, l’air réservé, parlant peu. Sa coiffe de mousseline, aux ailes abattues, palpitait à chacun de ses pas et tremblait sur sa joue. Elle encadrait si chastement ce jeune visage et mettait sur les yeux bleus une ombre si douce, où s’estampait l’ombre plus chaude des cils… Deux légers bandeaux d’un brun très sombre se relevaient sur les tempes où couraient des veines d’azur. L’ovale allongé, la ligne droite des fins sourcils, la fraîche pâleur des joues s’harmonisaient avec la sévérité du costume monastique. Et Robert évoquait le souvenir des jeunes religieuses qui, dans les tableaux de sainteté, servent les mendiants et les malades et portent le pain de l’aumône dans leurs mains blanches comme des lis. Il admirait les beaux plis mouvants de la robe, le profil délicat, le rêve extatique du regard et le charme suave qui émanait de cette créature si fine, si frêle, si grave...»
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