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Cette étude essaie de comprendre la dynamique de l'inondation et du couvert végétal dans le DIN au Mali durant la décennie 1990-2000 marquée par un déficit de pluie (46%) et une contribution à l'écoulement de 4 à 6 % et des débits moyens et de crue variant entre -26 à -72 % et - 41 à -56 %. Les pertes annuelles d'écoulement dans le DIN valent 24 à 41 %. Elles atteignent 3,7 à 9 km3 en amont et 2,7 à 7 km3 en aval. En année plus "humide" (1994/95) les pertes valent 8 et 13,3 km3 en amont et aval. Les indicateurs spectraux issus des images NOAA/AVHRR permettent de discriminer les surfaces en eau libre, la végétation inondée et les sols exondés. Les surfaces maximales inondées valent 7900 km2 (±900) et 21 000 km2 (±5000) en années "sèches" (1990-93) et "humide" (1994-00). La valeur maximale observée vaut 9600 et 22300 km2 en années"sèches" et "humide". Les surfaces minimales inondées varient de 700 à 4000 km2. Ces résultats sont en accord ceux obtenus avec les images SPOT4/VEGETATION et dans la littérature. Des relations de type Y=A*exp(Bx) et Y=A*Ln(x)+B en crue et décrue ont permit à l'aide des hauteurs d'eau de modéliser les surfaces inondées (R >90, p
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