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Réussissez votre bac de français 2023 grâce à notre fiche de lecture de l'essai De l'amour de Stendhal !Validée par une équipe de professeurs, cette analyse littéraire est une référence pour tous les lycéens.Grâce à notre travail éditorial, les points suivants n'auront plus aucun secret pour vous : la biographie de l'écrivain, le résumé du livre, l'étude de l'oeuvre, l'analyse des thèmes principaux à connaître et le mouvement littéraire auquel est rattaché l'auteur.
La pequeña ciudad de Verrières puede pasar por una de las más lindas del Franco Condado. Sus casas, blancas como la nieve y techadas con teja roja, escalan la estribación de una colina, cuyas sinuosidades más insignificantes dibujan las copas de vigorosos castaños. El Doubs se desliza inquieto algunos centenares de pies por bajo de la base de las fortificaciones, edificadas en otro tiempo por los españoles y hoy en ruinas. Una montaña elevada defiende a Verrières por su lado Norte. Los picachos de la tal montaña, llamada Verra, y que es una de las ramificaciones del Jura, se visten de nieve en los primeros días de octubre. Un torrente, que desciende precipitado de la montaña, atraviesa a Verrières y mueve una porción de sierras mecánicas, antes de verter en el Doubs su violento caudal. La mayor parte de los habitantes de la ciudad, más campesinos que ciudadanos, disfrutan de un bienestar relativo, merced a la industria de aserrar maderas, aunque, a decir verdad, no son las sierras las que han enriquecido a nuestra pequeña ciudad, sino la fábrica de telas pintadas llamadas de Mulhouse, cuyos rendimientos han remozado casi todas las fachadas de las casas, después de la caída de Napoleón.
" Tel est l¿extrait fort clair des Catéchismes de M. de Saint- Simon, et des six ou sept premiers numéros d¿un journal écrit en style obscur, et qui a l¿air de se battre pour l¿industrie.M. de Saint-Simon a dit : « La capacité industrielle est celle qui doit se trouver en première ligne ; elle est celle qui doit juger la valeur de toutes les autres capacités, et les faire travailler toutes pour son plus grand avantage. » Si nous n¿y prenons garde, l¿on va nous donner un ridicule."
Descriptif : Suora Scolastica, histoire qui émut tout Naples en 1740, chroniques italiennes.Extrait : Cette reine, Elisabeth Farnèse, passa quinze ans de sa vie sans perdre de vue plus de dix minutes par jour son fou de mari. Cette cour, si misérable au milieu de ses fausses grandeurs, a trouvé un peintre homme de génie, digne de toutes les profondeurs de ses critiques et porté par le génie sombre du caractère espagnol, le duc de Saint-Simon, le seul historien qu'ait produit jusqu'ici le génie français. Il donne le détail curieux de tous les soins que se donna la reine Elisabeth Farnèse afin de pouvoir un jour lancer une armée espagnole et conquérir pour un de ses deux fils puînés qu'elle avait donnés à Philippe V, quelqu'une des principautés de ce pays-là. Elle pouvait par ce moyen éviter la triste vie qui attend une reine douairière d'Espagne et trouver un refuge à la mort de Philippe V.
Es war an einem Frühlingsabend des Jahres 1829. Ganz Rom war in Bewegung. Der Duca di Bracciano (der berühmte Bankier Torlonia) gab in seinem neuen Palazzo an der Piazza di Venezia einen Ball. Was die Künste Italiens, was der Luxus von Paris und London an Prunk und Pracht nur aufbieten konnten, hatte zum Schmucke des Palastes beigetragen. Britanniens kühle blonde Schönheiten waren ob der Ehre der Einladung in Wallung geraten. Sie kamen in Menge, und die schönsten Römerinnen machten ihnen den Ruhm ihrer Schönheit streitig. So war auch eine junge Dame in Begleitung ihres Vaters erschienen, der man ihre römische Herkunft auf den ersten Blick an ihrem ebenholzschwarzen Haar und ihren flammenden Augen ansah. Die allgemeine Aufmerksamkeit wandte sich ihr zu. Aus jeder ihrer Bewegungen sprach seltsamer Hochmut. Angesichts all des Glanzes waren die anwesenden Ausländer sichtlich verblüfft. »Kein König in ganz Europa gibt solch ein Fest!« sagten sie. Die europäischen Potentaten haben aber auch keine Paläste in römischer Architektur, und sie müssen ihre Damen nach der Hofrangordnung einladen, während der Duca di Torlonia nur hübsche Frauen in sein Haus bittet. An diesem Abend hatte er dabei besonderes Glück. Die Männer waren wie geblendet, und es war nur die Frage, welche unter so vielen schönen Frauen die allerschönste sei. Eine Zeitlang war man sich hierüber nicht einig; aber schließlich erklärte man die Principessa Vanina Vanini, jene junge Dame mit dem tiefschwarzen Haar und den Glutaugen, für die Königin des Abends. Alsobald strömten Fremde wie Römer in den Saal, in dem sie sich gerade aufhielt.
HistoriqueStendhal est expulsé de Milan en 1821 parce qu'il témoigne trop de sympathie pour le carbonarisme ; cette bienveillance envers le mouvement libéral et unioniste transparaît dans la nouvelle Vanina Vanini, rédigée à Paris en 1829. La date de publication est 1829 puis tout a été traduit de l'italien au français.RésuméLa nouvelle raconte l'histoire de Pietro Missirilli, un carbonaro qui lutte pour la liberté de l'Italie, et de Vanina Vanini, une princesse orgueilleuse, tous deux âgés de 19 ans. Le père de Vanina veut la marier à un prince, Don Livio Savelli un jeune homme que Vanina persécute. Elle refuse de l'épouser, et tombe amoureuse du carbonaro blessé par un coup de poignard, que son père cachait chez eux, à Rome.Elle lui avoue son amour et lui fait de même. Mais le devoir appelle Pietro qui quitte Rome pour se joindre à une section de carbonari en Romagne. Il est d'ailleurs promu chef de cette section, une section importante avec des carbonari expérimentés.La princesse ne peut supporter cela : il a selon elle bien plus d'amour pour la patrie que pour elle.Alors, par jalousie, elle dénonce tous les membres de la section excepté Pietro mais celui-ci, par solidarité, se rendra aux forces de l'ordre. Vanina qui se sent coupable, va en prison et avoue tout à son amour, mais il la rejette. Elle finit par se marier avec Don Livio Savelli, malgré l'orgueil qu'elle éprouve envers lui.
Vittoria Accoramboni, duchesse de Bracciano est un récit de Stendhal non signé et publié dans la Revue des deux Mondes le 1er mars 1837, qui appartient à la série des Chroniques italiennes.Le texte appartient à la série principale des Chroniques italiennes, basée sur les manuscrits du fonds Caetani, découverts et copiés par Stendhal en 1833. À l'instar des autres récits de cette série (Les Cenci, La Duchesse de Palliano, L'Abbesse de Castro, Trop de faveur tue et Suora Scolastica), Stendhal affecte de se borner à traduire un texte italien. Ainsi, Vittoria Accoramboni s'ouvre-t-il par un avertissement :« Malheureusement pour moi comme pour le lecteur, ceci n'est point un roman, mais la traduction fidèle d'un récit fort grave écrit à Padoue en décembre 1585 ».Cette coquetterie d'écriture se révèle vraie dans le cas de Vittoria Accoramboni, chronologiquement le premier texte de la série, et de plus en plus fausse avec les textes suivants, où Stendhal s'éloigne très largement des originaux. Stendhal, cependant, ne rend pas compte des conditions exactes dans lesquelles il est entré en possession du manuscrit mais file l'histoire d'un vieux patricien de Mantoue « fort riche et fort avare » consentant après force négociation à le laisser copier « quelques historiettes ». Après une ultime précaution oratoire, appelant le lecteur à ne point chercher dans le texte un roman à la mode, au « style piquant, rapide », s'ouvre l'histoire de Vittoria Accoramboni, duchesse de Bracciano.Vittoria Accoramboni, aristocrate née dans le duché d'Urbino, est une jeune fille à la beauté et au charme extraordinaires, objet de la dévotion de tous ceux qui la croisent. Parmi de nombreux prétendants, les parents de Vittoria choisissent de la marier à Félix Peretti, neveu du cardinal Montalto, futur pape Sixte Quint. Vittoria est adorée par sa belle-famille, le cardinal Montalto étend sa protection et ses faveurs aux trois frères de la jeune femme.
Chroniques italiennes. Texte intégral. Cet ouvrage s¿inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et fonds patrimoniaux anciens appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d¿écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d¿histoire, de philosophie ou d¿économie, des récits de voyage ou des livres pour la jeunesse à retrouver via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour optimiser le confort de lecture.
Chroniques italiennes. Texte intégral. Cet ouvrage s¿inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et fonds patrimoniaux anciens appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d¿écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d¿histoire, de philosophie ou d¿économie, des récits de voyage ou des livres pour la jeunesse à retrouver via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour optimiser le confort de lecture.
Die Äbtissin von Castro, wurde während der gesamten Menschheitsgeschichte als bedeutendes Werk angesehen, und um sicherzustellen, dass dieses Werk niemals verloren geht, haben wir Schritte unternommen, um seine Erhaltung zu gewährleisten, indem wir dieses Buch in einem zeitgemäßen Format für aktuelle und zukünftige Generationen neu herausgeben. Dieses gesamte Buch wurde neu abgetippt, neu gestaltet und neu formatiert. Da diese Bücher nicht aus gescannten Kopien bestehen, ist der Text lesbar und klar.
Römerinnen: Zwei Novellen, wurde während der gesamten Menschheitsgeschichte als bedeutendes Werk angesehen, und um sicherzustellen, dass dieses Werk niemals verloren geht, haben wir Schritte unternommen, um seine Erhaltung zu gewährleisten, indem wir dieses Buch in einem zeitgemäßen Format für aktuelle und zukünftige Generationen neu herausgeben. Dieses gesamte Buch wurde neu abgetippt, neu gestaltet und neu formatiert. Da diese Bücher nicht aus gescannten Kopien bestehen, ist der Text lesbar und klar.
Ich übersetze aus einem italienischen Chronisten den genauen Bericht über die Liebschaft einer römischen Fürstin mit einem Franzosen. Es war im Jahre 1726, und alle Mißbräuche des Nepotismus blühten damals in Rom; niemals war der Hof glänzender gewesen. Benedikt XIII. Orsini regierte, oder vielmehr: es leitete sein Neffe, der Fürst Campobasso unter seinem Namen alle Geschäfte. Von allen Seiten strömten Fremde nach Rom; italienische Fürsten, spanische Granden, noch reich an Gold der Neuen Welt, kamen in Menge, und wer reich und mächtig war, stand dort über den Gesetzen. Galanterie und Verschwendung schienen die einzige Beschäftigung aller dieser Fremden aller Nationen zu sein.Des Papstes beide Nichten, die Gräfin Orsini und die Fürstin Campobasso genossen vor allen die Macht ihres Oheims und die Huldigungen des Hofs. Ihre Schönheit hätte sie aber auch aus den untersten Schichten der Gesellschaft hervorgehoben. Die Orsini, wie man sie familiär in Rom nannte, war heiter und, wie man hier sagt, disinvolta, die Campobasso zärtlich und fromm, aber diese zärtliche Seele war der gewalttätigsten Leidenschaften fähig. Obgleich sie nicht erklärte Feindinnen waren und nicht nur jeden Tag sich am päpstlichen Hof trafen, sondern sich auch oft besuchten, waren diese Damen Rivalinnen in allem: Schönheit, Ansehen und Glücksgütern.Gräfin Orsini, weniger hübsch, aber glänzend, ungezwungen, beweglich und für Intrigen begeistert, hatte Liebhaber, die sie wenig kümmerten und nicht länger als einen Tag beherrschten. Ihr Glück war, zweihundert Menschen in ihren Salons zu sehn und unter ihnen als Königin zu glänzen. Sie lachte über ihre Kusine Campobasso, welche die Ausdauer gehabt hatte, sich drei Jahre hindurch mit einem spanischen Herzog zu kompromittieren, um ihm schließlich sagen zu lassen, daß er Rom binnen vierundzwanzig Stunden zu verlassen habe, wenn ihm sein Leben lieb sei. ¿Seit diesem großen Hinauswurf¿, sagte die Orsini, ¿hat meine erhabene Kusine nicht mehr gelächelt. Seit einigen Monaten ist es klar, daß die arme Frau vor Langweile oder vor Liebe stirbt, aber ihr gewitzter Gatte rühmt dem Papst, unserm Oheim, diese Langweile als hohe Frömmigkeit. Bald aber wird sie diese Frömmigkeit dazu bringen, eine Pilgerfahrt nach Spanien zu unternehmen.¿
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