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  • av Theodor Herzl
    260,-

    " Je ne considère la question juive ni comme une question sociale, ni comme une question religieuse, quel que soit d'ailleurs l'aspect sous lequel elle se présente, suivant les temps et les lieux. C'est une question nationale, et, pour la résoudre, il nous faut, avant tout, en faire une question politique universelle, qui devra être réglée dans les conseils des peuples civilisés.Nous sommes un peuple un.""Sioniste ! Antisioniste !" Les invectives fusent, sur le ring poisseux du mauvais jour... mais lorsqu'on tonitrue, sait-on au juste de quoi l'on parle ? On verra ici volonté, courage, détermination, pragmatisme, profonde humilité, se le disputer au coeur d'un texte qui constitue un jalon historique d'une originalité saisissante et d'une importance capitale !

  • av Gilberto Schwartsmann
    258,-

    Est-ce vraiment le nuancier humain qui défile au coeur de ce recueil que hante le "Dibbouk" du folklore juif d'Europe centrale et orientale, ou l'écriture de Gilberto Schwartsmann elle-même, cette écriture qui fait le lien entre les croyances immémoriales d'un peuple voué à l'exil et l'esthétique latino-américaine du "réalisme fantastique", empreinte de l'"inquiétante étrangeté" du freudisme ?Que le lecteur en juge, à qui l'auteur fait partager quelques récits tirés de l'histoire des siens.

  • av Marc-Henri Lamande
    180,-

    "Par terre l'imperméable est gris. Je décris clairement : j'aperçois une cravate, il fallait qu'il ait toute la panoplie. Oui, clairement, je me souviens de motifs agricoles sur cette cravate, des gerbes. Pas des tournesols non. Nous parlons une langue rudimentaire. Je repense à l'escalade. Bê. "On reprend." Reprends. Tu reprends, il reprend. L'autre crétin galonné jette violemment une chaise du commissariat sur le carrelage d'un autre commissariat, elle rebongicle à droite et finit sa course au ralenti dans un écran d'ordinateur comme en ont les civils. Il pète un plomb, l'autre crétin."A-t-il recueilli, ou enlevé, cet inconnu qui l'accompagne ? Est-il seul ? Que lui veut la police ? Que veut-il, lui, à cet autre, muet, à qui il joue mille comédies ? Du mal, peut-être ? Ou le contraire ? S'agit-il de se venger, de se sauver, de s'affranchir du passé - du futur, peut-être ? Audacieux par sa langue, sa construction, son propos, le bref récit de Marc-Henri Lamande dérange en même temps qu'il fascine.

  • av Gilberto Schwartsmann
    295,-

    Qui est cette femme si mystérieuse, cette "Odette" avec qui le professeur Palais s'entretient dans le fameux hôpital parisien de la Pitié Salpêtrière ?L'oeuvre de Gilberto Schwartsmann est incontestablement française et européenne, elle l'est en tant qu'elle se nourrit d'un amour éperdu pour une terre d'élection faite de parole, de gestes et de beauté. Mais elle est aussi une oeuvre latino-américaine, et même une oeuvre toute brésilienne, qui sait tirer profit de l'observation d'un objet pour y placer les germes de l'éclosion de l'imaginaire le plus irrépressible et, partant, le plus enchanteur.

  • av Gilberto Schwartsmann
    222,-

    "Je tiens pour merveilleuse la sensation d'appartenir au destin de cette famille issue de la lointaine Lituanie et qui a aujourd'hui fait racine dans tant d'endroits du monde ! Survivre, avoir des descendants, tout cela confère un sens profond à la vie. C'est immensément beau, c'est immensément fort. C'est comme si vivre procédait d'une cause supérieure à ces causes qui fondent nos pauvres existences particulières.Chacun à sa façon, mon grand-père Jaime et son frère Jacob avaient trouvé une façon de survivre, tirant force et espérance de je ne sais où, parce que ce qui importait plus que tout, c'était que le sang familial sortît vainqueur de sa lutte contre le temps et que quelqu'un comme moi, leur mort advenue, pût raconter un peu de cette si belle et triste histoire.Il avait suffi d'une tempête...."Ne nous y trompons pas, Il a suffi d'une tempête ne constitue rien moins qu'une collection de témoignages, il voit se succéder sept essais d'invention du monde où l'auteur se fait le scribe de ces voix imaginaires d'outre-monde qui disent du possible qu'il n'est au fond, comme l'écrivait en substance Baudelaire dans Curiosités esthétiques, qu'une des provinces du vrai.

  • av Emmanuel Tugny
    193,-

    "Ce que je vois, c'est ce dont la conscience prise dans l'oeuf fait un monde, un autre oeuf dans lequel elle est encore du monde et qui sait la répercuter parce qu'il est son outrance de volonté, son excès toujours reporté. Il n'y a pas, au monde, d'épuisement de la volonté : cela ne s'y rencontre pas.Parfois, je veux bien vous comprendre, parfois je cède devant cette force qui vous est donnée d'avoir raison de tout et de moi.Mais alors je ne cède qu'à une force, à un point de corps, à un point de votre physique de voix ou de poitrine, à votre front qui tremble avec les tempes, je ne cède qu'au portrait que ma volonté imprime à tout ce que vous êtes et que j'aime."Printemps 1921, guerre civile russe. Demeurée seule avec sa fille après l'arrestation de son mari par la Tchéka, Zinaïda Isakovna Shadrina lui adresse les lettres d'une militante communiste que le cours de la révolution interroge. Du Chagrin voit ainsi se croiser les réflexions politiques, philosophiques et amoureuses d'une captive de l'Histoire en marche.

  • av Gilberto Schwartsmann
    452,-

    Que serait un homme taraudé par l'idée qu'il est parent, sinon de tous les hommes, du moins de tous ceux des hommes en qui s'est faite chair, pour le meilleur ou pour le pis, l'idée d'humanité ? Ce serait sans doute mon cousin, votre frère, notre neveu, son oncle d'Amérique : le torrentueux, le démesuré, le munificent, l'irrésistible Gilberto Schwartsmann, qui livre ici un monument du baroque post-moderne, paru pour la première fois au Brésil aux éditions Sulina sous le titre Max e os Demônios.

  • av Emmanuel Tugny & Pascale Privey
    245,-

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