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  • - Mind-Blowing Challenges with Answers
    av Brian Williams
    179,-

    A matchbox is simply a box of surprises as its content allows a broad selection of entertaining and sometimes quite intricate tricks and puzzles. Here is a collection of the most mind-twisting brain-bending matchstick puzzles of all time. These ones appeared for the first time in the early 20th century and were all the rage during that period. This book recovers most of them and offers hours of entertainment for young and old alike.

  • av Louise Michel
    222,-

    " Souvent on m'a demandé d'écrire mes Mémoires; mais toujours j'éprouvais à parler de moi une répugnance pareille à celle qu'on éprouverait à se déshabiller en public. Aujourd'hui, malgré ce sentiment puéril et bizarre, je me résigne à réunir quelques souvenirs. Je tâcherai qu'ils ne soient pas trop imprégnés de tristesse." L. Michel

  • av Marie-Anne De Bovet
    238,-

    Ce roman historique se déroule au XIIIe siècle, pendant la guerre de Cent Ans entre la France et l'Angleterre, et se concentre sur la vie de deux personnages principaux, Guillaume de Montfort et Jeanne d'Arc. Guillaume de Montfort est un chevalier français qui a été capturé par les Anglais et emprisonné pendant plusieurs années. Il est finalement libéré et retourne en France, où il rencontre Jeanne d'Arc, une jeune fille qui croit avoir été choisie par Dieu pour libérer la France de l'occupation anglaise...

  • av Joseph Viktor Widmann
    225,-

    ...Il était donc de forte race, de celle qui donne les hardis chasseurs de chamois. Sa vive intelligence l'avait poussé vers l'étude. Depuis qu'il avait quitté son village, chaque fois qu'il le pouvait, le docteur retournait, le coeur joyeux et le corps alerte, à ses glaciers et à ses hauts sommets. Cette humble origine lui avait imposé bien des privations; de bonne heure, il avait été réduit à gagner lui-même l'argent qu'absorbaient ses études. D'un autre côté, grâce précisément à cette robustesse naturelle, il était à même de déployer toutes les énergies de son esprit sain et viril...

  • - Tome II
    av Walter Scott
    293,-

    Un livre passionnant qui plonge le lecteur dans l'histoire tumultueuse de l'Écosse. Walter Scott raconte l'histoire de son pays avec passion et érudition. Ce livre est une invitation à la découverte de l'Écosse et de son riche patrimoine culturel.

  • av George Meredith
    225,-

    Un bourreau de coeurs ignorant des défaites n'a sans doute pas plus conscience de rôder par la campagne à la poursuite d'une coquette, que la diligente Arachné de tisser une toile destinée à la capture d'un lion dévorant. À dix-sept ans, Clotilde de Rüdiger était lasse de conquêtes. Conquêtes déjà nombreuses, car elle avait commencé tôt, s'étant trouvée, dès son aurore, douée d'une imagination vive, d'une taille parfaite, d'yeux admirables et de rares séductions de teint et de prestance. Elle appartenait, de naissance, à la petite aristocratie de son pays. La nature l'avait prédisposée à la coquetterie, manière d'escrime, passe-temps souvent innocent, souvent utile, mais parfois dangereux, dans ces milieux de barbarie dégrossie qu'on nomme sociétés aristocratiques, où la nature humaine, loin d'être absente, se manifeste au contraire avec une exubérance tropicale, en raison des heures de loisir que lui permettent les copieuses libations de soleil...

  • - Tome I
    av Walter Scott
    332,-

    Un livre passionnant qui plonge le lecteur dans l'histoire tumultueuse de l'Écosse. Walter Scott raconte l'histoire de son pays avec passion et érudition. Ce livre est une invitation à la découverte de l'Écosse et de son riche patrimoine culturel.

  • av Caroline D'Arjuzon
    213,-

    ... Aussi comme elle est propre ! son tablier blanc est affreux à voir ! ses bottines sont boueuses, et ses mains, ses pauvres petites mains, font horreur! Elle a chaud, très chaud, elle a enlevé son grand chapeau de paille, et, à peine, au milieu de ses cheveux en broussaille, aperçoit-on sa petite figure très fine, qu'éclairent deux yeux bleus comme des myosotis...

  • av Margaret Oliphant
    213,-

    Voici un petit roman qui est, à mon goût, une merveille. M. Henri Bremond a eu l'heureuse idée de traduire de l'anglais la Ville enchantée. Et qu'un tel esprit, à qui nous devons d'avoir mieux compris Newman et Fénelon, se soit plu à cette tâche effacée, voilà un signe, plus clair que toutes les préfaces, en faveur de ce petit livre. Pourtant, je ne puis m'empêcher d'y joindre mon témoignage et de dire à mes amis: Écoutez, recueillez cette note charmante et très haute, le son argentin d'une cloche. C'est l'accent qu'aujourd'hui beaucoup de nous désirent d'entendre...

  • av Lucien Fabre
    357,-

    Le premier Octobre 1875 qui était un mardi, vers les trois heures de relevée, un homme sortit subitement de la maison qui porte encore le numéro vingt-six dans la rue des Rosiers. Il tombait une grosse pluie froide. L'homme maugréa un instant sur la porte en ouvrant son parapluie. Puis il se retourna brusquement, assujettit sur la tête d'un gamin qui se tenait dans l'ombre du couloir, un capuchon de laine bleue et partit à grandes enjambées, au milieu de la boue et d'un ruissellement de torrent, tandis que l'enfant dont un cartable battait le dos, trottinait sur ses pas en geignant et toussant...

  • av George Eliot
    225,-

    L'église de Shepperton offrait, il y a environ vingt ans, un aspect bien différent de celui qu'elle présente aujourd'hui. À la vérité, sa tour massive vous surveille encore; le cadran de l'horloge conserve l'expression amicale des anciens jours; mais, pour tout le reste, que de changements ! Un ample toit d'ardoise couronne le vieux clocher; les fenêtres sont hautes et symétriques; les portes extérieures sont en beau chêne poli, et celles de l'intérieur sont capitonnées d'une serge rouge pour amortir le bruit; jamais aucun lichen ne reviendra se fixer sur les murs; ils sont aussi lisses et aussi stériles que le sommet de la tête du Rév. Amos Barton après dix ans de calvitie...

  • av Noëlle Roger
    200,-

    Le professeur Folaillon, de l'Institut de France, achevait enfin sa communication sur les organes respiratoires de l'algue des rochers. Autour de la longue table académique, ses collègues qui dodelinaient leur tête blanche ou grise se réveillèrent pour écouter les remerciements d'usage. La lumière parcimonieuse d'un maussade après-midi de mars grisaillait ces fronts augustes, et le biologiste Théodore Lumagne songea qu'ils se ressemblaient à la fois par les stigmates de l'âge et par cette noblesse que la vie de l'esprit confère à ses adeptes...

  • av Octave Béliard
    200,-

    La roulade finale du saxophone, brillante comme la prouesse d'un clown, éveilla un murmure d'allégresse et les applaudissements claquèrent, mêlés d'interjections britanniques. Mais tout aussitôt le jazz du Savoy - comme s'il craignait de laisser s'éteindre cette joie factice - fit entendre la première phrase d'un charleston. Jean-Paul Hibeau écoutait, les yeux clos, peut-être parce qu'il s'endormait en effet, mais plus probablement pour mieux faire pénétrer en lui l'image du hall lumineux, plein de chaleur et de parfums, les couples élégants agités au rythme de la danse ou souriants autour des tables parmi les cristaux et les fleurs...

  • av Pierre Loti
    200,-

    Ce treizième été de ma vie, où s'arrête le livre de mon enfance, me réapparaît, dans le lointain de ma mémoire, comme l'un des plus lumineux de nos beaux étés de France, un de ces étés comme nous en avions autrefois et qui ne se retrouvent plus de nos jours. Septembre finissait dans une splendeur qui semblait inaltérable et l'abondance des fruits dorés devenait telle qu'on ne savait qu'en faire. Au fond du jardin de l'oncle du Midi, chez qui je passais mes vacances, dans ce berceau de treilles muscat où j'avais décidé de ma destinée, les grands papillons à reflet de métal bleu, qui n'avaient plus guère qu'un mois à vivre, s'attardaient posés sur les pampres roussis, pour se pâmer de chaleur et de soleil avant de mourir...

  • av Jean Richepin
    213,-

    ... Pourquoi dit-on que je suis fou ? Parce que je ne vis pas absolument comme tout le monde, parce que je ne joue pas mon rôle de mouton de Panurge, parce que je reste enfermé des semaines, des mois entiers, est-ce une raison pour m'appeler fou ? Sait-on pourquoi je vis ainsi ? quelqu'un s'est-il demandé ce que je faisais dans ma solitude ? Et si quelqu'un a voulu le savoir, et si je n'ai point voulu le dire, est-ce une raison pour m'appeler fou ?...

  • av Pierre Loti
    213,-

    ...Sous la tente que j'habite depuis une heure, au seuil du désert, je relis cette lettre qui doit être mon sauf-conduit à travers les tribus hostiles. Au bas de la page, en mystérieux caractères, est inscrite la très occulte invocation divine de la secte des Senoussi, qui a son foyer là-bas, au Moghreb, et dont le séïd est le représentant pour l'Arabie orientale.Les dangers du voyage, il est vrai, je n'y crois guère, et leur attrait chimérique n'est pas ce qui m'amène ici; mais, pour essayer de voir encore, sous l'envahissement des hommes et des choses de ce siècle sans foi, la sainte Jérusalem, j'ai voulu y venir par les vieilles routes abandonnées et préparer mon esprit dans le long recueillement des solitudes...

  • av Renée Vivien
    175,-

    ... Parmi ces filles d'honneur, pour la plupart jeunes et blondes comme leur souveraine, est une enfant brune, maigre et pâle. Mais on admire en elle un beau col long et pareil à la tige d'un lys, et de deux yeux splendides. Et ces yeux sont deux noires étoiles fixées dans un étroit visage brun.Telle est cette enfant de naissance obscure et négligée, qui plus tard sera la souveraine adorée et toute-puissante du royaume d'Angleterre.On ne la juge point belle. On ignore cette enfant chétive au long col, aux yeux noirs, cette enfant chétive et dédaignée qui cependant est la future Anne Boleyn...

  • av Margaret W Hungerford
    238,-

    ... Petite, oui, plutôt; cheveux bruns toujours embroussaillés, rebelles à la brosse et au meilleur cosmétique de Roland, yeux bleus ou gris suivant le temps et mon humeur. Extrémités fines... mais, comme depuis dix-sept ans je professe une sainte horreur pour les gants, la peau de mes mains, à force de hâle, est devenue brun foncé.Ma taille, si l'on veut en croire mon frère aîné, a une étonnante analogie avec une canne à pèche, mais mon nez, lui, est présentable, et j'en suis passablement fière...

  • av Lucie Delarue-Mardrus
    213,-

    IL la regardait dans sa pauvre disgrâce. Il ne recomposait pas l'étrange tableau: la dormeuse noyée dans les draps, l'aspect hanté des murs et des meubles, et, profil attentif, lui, cheveux rejetés, joue lisse, ange de quinze ans assis, dans l'ombre, au chevet d'une malade nocturne. Dans les demi-ténèbres de la chambre où vacillait cette veilleuse posée à terre, son regard occupé détaillait inlassablement. La tête pâle qui se renversait sur l'oreiller livrait un cou de femme que l'âge a déjà prise à la gorge, des mèches grisonnantes, des paupières foncées et chiffonnées, et ce nez de belle race et cette bouche sans couleur entre deux plis désolés...

  • av Jeanne Landre
    213,-

    Décolletée en haut et dépantalonnée en bas, la débutante montrait tout et même au delà de ce que la pudeur tolérait. On voyait ses épaules, ses petits seins rosés et, après soixante centimètres de costume, ses cuisses empapillotées à leur sommet de tulle très illusion. Seules, des chaussettes noires habillaient le bas de la jambe et amincissaient légèrement une attache vulgaire que M. Plusch ne cessait de déplorer. Tu es jolie, tu es bien faite, c'est dommage, - ajoutait-il, - que tu aies la cheville ouvrière. Échalote, pour suivre jusqu'au bout les conseils de son protecteur, avait dû renoncer à de hautes bottines vert d'eau contemplées à l'étalage d'un costumier de la rue de Douai, bottines qui s'agrémentaient d'aiguillettes et de lacets d'or assez semblables à la graine d'épinard, orgueil des armées, et se contenter de souliers découverts. Ce bon goût obligatoire la navrait...

  • av Richard Cortambert
    200,-

    Les Japonais en France ! L'Orient visitant l'Occident; - la civilisation de l'extrême Asie rendant hommage à la civilisation de l'extrême Europe; - Myako saluant Paris; - deux mondes se donnant la main; - la race mongolique offrant l'accolade à la race blanche; - le progrès universel commençant par la fraternité, par la grande fusion des idées; - les frontières s'aplanissant; - le globe devenant la patrie de tous les hommes: voilà les pensées que j'agitais l'autre jour pendant que l'ambassade japonaise s'installait à Paris.Je me promettais de passer quelques bonnes heures avec les délégués de l'empire du Soleil Levant, comme je l'avais fait, il y a peu de mois, avec les ambassadeurs de l'Annam, lorsqu'une lettre sembla prévenir mon désir...

  • av Grazia Deledda
    213,-

    Élias, un jeune pâtre, revient en Sardaigne après avoir purgé une peine de prison sur le continent. Il tombe amoureux de Maddalena qui l'aime aussi. Mais elle est fiancée au frère aîné d'Elias, Pietro. Sa passion dévore Elias qui se débat, se torture. La vie rude et simple dans les pâturages ne le met pas à l'abri de tentations. Que faire? Céder, empêcher le mariage? Renoncer? Il hésite. Des conseils contradictoires - car certains ont surpris son secret - augmentent encore son indécision.

  •  
    250,-

    D'ailleurs, n'avait-il pas mille fois douté personnellement de sa parfaite pureté ? Elle en savait plus long que lui, elle, une femme. Un jour, dans la salle de bain, ne s'était-elle pas laissé caresser le cou, la gorge et s'il avait voulu baiser ses seins, sa mouche noire... tout son corps, enfin !... Mais non, elle ne se respectait pas, cette femme ! On venait la nuit chez elle, on l'épousait. Mon Dieu ! lui qui serait resté à ses genoux des heures entières, ne demandant que le bout de ses doigts à lécher !...

  • av Henri Lichtenberger
    213,-

    George Frédéric Philippe de Hardenberg, - ou pour le désigner par le pseudonyme sous lequel il est connu dans l'histoire littéraire, Novalis - naquit le 2 mai 1772 à Wiederstedt, dans le comté de Mansfeld, sur le bien patrimonial de son père, le baron Henri Ulric Erasme de Hardenberg.Son enfance s'écoula dans un milieu sans lumière et sans joie.Le château familial des Hardenberg était un vieux couvent du XIIIe siècle, aux fortes murailles dominées par une tour massive, aux fenêtres cintrées entourées de vigne vierge, avec de grandes pièces hautes de plafond et de longs corridors sonores. Tout autour, un vaste parc, sévère et sans fleurs, ombragé d'arbres séculaires parmi lesquels dort un étang noir. C'est dans cette sombre et hautaine demeure, dans un rez-de-chaussée humide et sans jour, que se passent les premières années de Novalis...

  • av Colette Yver
    257,-

    Le docteur Fernand Guéméné, s'étant levé selon son habitude à sept heures, passa sous la douche avec sa ponctualité coutumière, s'habilla, sonna pour le thé qu'on lui monta dans sa chambre, et se mit à déjeuner près de la fenêtre ouverte.Il habitait, à la pointe de l'île Saint-Louis, un minuscule hôtel où il venait de s'établir comme médecin de quartier. Par les hautes fenêtres du XVIIIe siècle qui s'étageaient deux par deux dans l'étroite façade, il voyait, presque au pied de la maison, couler la Seine sous le rideau touffu des peupliers d'Italie, frissonnants et somptueux, qui bordaient la rive...

  • av Jean Grave
    225,-

    " Anarchie veut dire négation de l'autorité. Or, l'autorité prétend légitimer son existence sur la nécessité de défendre les institutions sociales: Famille, Religion, Propriété, etc., et elle a créé une foule de rouages, pour assurer son exercice et sa sanction. Les principaux sont: la Loi, la Magistrature, l'Armée, le Pouvoir législatif, exécutif, etc. De sorte que, forcée de répondre à tout, l'idée d'anarchie a dû s'attaquer à tous les préjugés sociaux, se pénétrer à fond de toutes les connaissances humaines, afin de démontrer que ses conceptions étaient conformes à la nature physiologique et psychologique de l'homme, adéquates à l'observance des lois naturelles, tandis que l'organisation actuelle était établie à l'encontre de toute logique, de tout bon sens, ce qui fait que nos sociétés sont instables, bouleversées par les révolutions, occasionnées elles-mêmes par les haines accumulées de ceux qui sont broyés par des institutions arbitraires..."

  • av Noëlle Roger
    225,-

    Un médecin parisien s'est choisi des vacances dans un petit village isolé de montagne. Lors d'une promenade, il remarque une paroi que les habitants disent infranchissable et maudite car elle suscite des hallucinations auditives dans les plaintes du vent et porte malheur à tous ceux qui essaient d'y grimper...

  • av Noëlle Roger
    225,-

    Une famille bourgeoise parisienne doit quitter précipitamment son lieu de vacances devant la subite montée des eaux. L'eau recouvre en quelques jours une grande partie de l'Europe. Poursuivie par les flots déchaînés, elle s'enfuit dans le Valais en Suisse et c'est dans le vallon de Susanfe qu'elle se réfugie avec quelques valaisans rescapés et des bergers...

  • av Noëlle Roger
    225,-

    Le physicien Étienne Kerluce emmène un groupe d'amis vers les Açores, à la recherche de l'Atlantide. Une île non cartographiée surgit au milieu des flots, comme remontée des profondeurs marines. Les aventuriers y accostent pour la visiter et découvrent un temple creusé dans la roche. Une lumière d'origine mystérieuse en émane et ne s'éteint jamais. À son retour en France, Kerluce est transformé. Quels mystérieux pouvoirs a-t-il acquis durant son séjour sur l'îlot?

  • av Noëlle Roger
    188,-

    Le narrateur, diplomate en Syrie se voit confier un mystérieux ouvrage, traitant d'une religion inconnue, qui vient de causer la mort de son détenteur. Tandis qu'il le confie à son tour à un collègue, afin que le livre rejoigne la France par le biais de la valise diplomatique, les morts inexpliquées s'enchaînent. En prise aux fièvres de la malaria, et des plus sinistres pressentiments, le narrateur rentre en France, dans sa maison de campagne. Cherchant à remettre ce livre, il contacte des savants orientalistes... Mais le livre n'a pas fini de faire des victimes, des adeptes de cette religion étant décidés à maintenir le secret le plus absolu sur leur doctrine...

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