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  • av Fenelon
    172,-

    Ce Traité réunit plus d'idées justes et utiles, plus de vérités pratiques et de saine morale que beaucoup d'ouvrages volumineux écrits depuis sur le même sujet. Dans la première partie, il s'adresse aux parents et aux instituteurs et fait leur éducation encore plus que celle de leurs enfants ou de leurs élèves. C'est aux enfants mêmes qu'il adresse ensuite ses instructions. Il s'occupe successivement des facultés morales et intellectuelles et établit sur les principes religieux tout son système d'éducation.

  • av Homère
    251,-

    L'Odyssée relate le retour chez lui du héros Ulysse, qui, après la guerre de Troie dans laquelle il a joué un rôle déterminant, met dix ans à revenir dans son île d'Ithaque, pour y retrouver son épouse Pénélope, qu'il délivre des prétendants, et son fils Télémaque. Au cours de son voyage sur mer, rendu périlleux par le courroux du dieu Poséidon, Ulysse rencontre de nombreux personnages mythologiques, comme la nymphe Calypso, la princesse Nausicaa, les Cyclopes, la magicienne Circé et les sirènes. L'épopée contient aussi un certain nombre d'épisodes qui complètent le récit de la guerre de Troie, par exemple la construction du cheval de Troie et la chute de la ville, qui ne sont pas évoquées dans l'Iliade. L'Odyssée compte douze mille cent neuf hexamètres dactyliques, répartis en vingt-quatre chants, et peut être divisée en trois grandes parties : la Télémachie (chants I-IV), les Récits d'Ulysse (chants V-XII) et la Vengeance d'Ulysse (chants XIII-XXIV).L'Odyssée a inspiré un grand nombre d'¿uvres littéraires et artistiques au cours des siècles, et le terme odyssée est devenu par antonomase un nom commun désignant un récit de voyage plus ou moins mouvementé et rempli d'aventures singulières .

  • av Homère
    172,-

    Les Hymnes homériques sont une collection de trente-quatre (ou trente-deux, suivant les décomptes) courts poèmes épiques. Aujourd'hui, on estime que le plus vieux des hymnes, celui à Déméter, remonte à l'époque d'Hésiode.Chacun des hymnes est dédié à un dieu, et est destiné à être chanté par l'aède en guise de prélude ou proème (du grec ancien prooímion), avant de passer à une ¿uvre plus longue. Les Hymnes homériques varient par leur sujet, leur taille (de cinq à cinq cent cinquante vers), leur époque de rédaction (entre le VIIe s. av. J.-C. et le IVe siècle de notre ère): rien de plus disparate, de plus incertain, donc, que cette compilation de poèmes.

  • av Théodore de Banville
    159,-

    " ...Ce n'est donc rien d'avoir étéChaque jour, hiver comme été,Soumise à ton moindre caprice,Sans que mon zèle s'amoindrisse ?D'avoir vécu toute pour toi ?Je ne connaissais qu'une loi,Ta volonté !..."

  • av Théodore de Banville
    220,-

    " Un Parisien convaincu, fût-il même occupé sans relâche à faire vibrer les terribles cordes de la Lyre fabuleuse, découvre involontairement plus de Florides ignorées que le plus hardi navigateur conduit vers l'Inconnu par les ouragans, les flots et les étoiles. A mes moments perdus, quand la farouche maîtresse laissait une heure de répit à ma fièvre, j'ai essayé, moi aussi, de rassembler mes souvenirs et de recueillir quelques notes pour la Comédie de notre temps. Ces impressions, fixées à la hâte, ne dois-je pas vous les offrir, à vous qui avez pu contempler sans voile la prestigieuse Thalie moderne, et qui l'avez si résolument embrassée sans vous laisser mordre par les flammes de ses prunelles, ni assourdir par ses grelots sonores? Mes Parisiennes, arrachées toutes palpitantes à la vie actuelle, devront être merveilleusement protégées par le nom victorieux qui a signé L'Héritage de Monsieur Plumet et Les Faux Bons-Hommes; mais cette dédicace ne vous porte pas seulement le témoignage de ma sincère et vive sympathie pour votre talent littéraire, veuillez y voir aussi l'assurance des sentiments bien affectueux de votre dévoué. " Th. de B.

  • av Théodore de Banville
    184,-

    ... Non, tu ne peux me quitter. Vois. L'orageEst passé. Ta voix est ma force et mon courage.Que les courtisans soient à des tigres pareils,Je le veux bien. Mais j'ai besoin de tes conseils.Reste avec moi. Devant la foule épouvantée,Je rendrai son orgueil à ta pourpre insultée.Oui, tu pourras, gardant ta place jusqu'au bout,T'asseoir à mes pieds, quand les rois seront debout.Je te fais l'égal des plus grands. Je te délivre.Tout ce que tu voudras enfin pour ne pas vivreAu désert, à côté de la ronce et du loup,Je te le donnerai...

  • av Théodore de Banville
    172,-

    " L'artiste, de nouveau, se recommande à vous, en vous apportant d'autres portraits encore, ciselés par lui dans le coquillage aux tendres nuances de chair et dans la pierre dure aux couleurs superbes. Le premier que vous verrez cette fois porte sans doute la trace des larmes de l'ouvrier, car c'est l'image d'un grand homme qu'il aimait fraternellement, et dont la vie ici-bas fut une lutte, une agonie et un martyre. Ô misère ! il est mort immobile et muet ; la Douleur avait terni son regard de héros ; elle éteignait déjà son visage rayonnant de force et de joie, et il est tombé vaincu, faible, mais triomphant aussi, car déjà se reflétait dans ses vives prunelles l'aurore des sphères mystérieuses, où maintenant, voyant et libre, il s'enivre des parfums aimés et perçoit par des sens nouveaux la tranquille gloire de la Beauté et la silencieuse musique des astres !..."

  • av Théodore de Banville
    172,-

    " Que de dettes j'ai, non pas à payer, ce qui serait impossible, mais à reconnaître, avec la plus vive gratitude !À mon cher confrère, M. Jules Claretie, à l'écrivain, au romancier, au journaliste, au critique d'art, à l'auteur dramatique mille fois applaudi qui administre aujourd'hui la Comédie-Française, je dois les plus affectueux remerciements, et je les lui offre ici du fond du c¿ur. Le jour même de son entrée en fonctions, avant tout autre soin, il m'a écrit de venir lire aux comédiens Socrate et sa Femme, voulant tout de suite affirmer sa prédilection pour la Poésie, en accueillant un de ses plus humbles dévots, qui est en même temps un des plus obstinés et des plus fidèles. D'accord avec le Comité de la Comédie, il m'a donné une hospitalité fraternelle, et il a mis à ma disposition son goût exquis, ses conseils, et toutes les ressources qu'offre le premier théâtre du monde,Que ne dois-je pas à M. Coquelin ! Non seulement il a joué le personnage de Socrate en grand comédien, exprimant la sagesse, l'ironie, la bonté, la superbe éloquence du philosophe, bien mieux que je n'avais su le faire ; mais il a adopté ma comédie, il l'a mise en scène ; il en a insufflé la pensée et l'âme à ses camarades, heureux d'écouter les conseils de sa jeune expérience, et certes, je puis dire que ce petit poème est à lui autant qu'à moi..."

  • av Moliere
    184,-

    Cette pièce raconte l'histoire d'une famille, où la mère (Philaminte), la belle-s¿ur de cette dernière (Bélise) et une de ses deux filles (Armande) sont sous l'emprise d'un faux savant (Trissotin), qui les subjugue de ses poèmes et savoirs pédants mais s'intéresse plus à l'argent de la famille qu'à l'érudition des trois femmes. Cette situation désole le reste de la famille, à savoir le mari de Philaminte (Chrysale), le frère de ce dernier (Ariste) et la cadette des filles (Henriette) ; mais ces derniers ne s'opposent pas frontalement aux chimères des autres femmes de la famille.Pendant longtemps, Clitandre a courtisé Armande, s¿ur d'Henriette, mais cette dernière s'est toujours refusée à lui, lui préférant les beaux feux de la philosophie . Clitandre est alors devenu amoureux de Henriette, et tous deux veulent se marier.Dans ce but, ils vont devoir obtenir le soutien de la famille. Chrysale et Ariste sont favorables au mariage. Mais le reste de la famille, c'est-à-dire les trois femmes savantes , s'y opposent. Philaminte veut qu'Henriette épouse Trissotin, pour asseoir son alliance avec la science et la philosophie. Cette volonté est appuyée par Bélise et Armande. Cette dernière exprime une certaine jalousie que sa s¿ur convole avec son ancien soupirant.Chrysale ne veut pas s'opposer fermement aux volontés de son épouse, et il semble que le mariage d'Henriette et Clitandre soit compromis, à l'avantage de Trissotin. Les deux amants tentent alors de s'opposer au philosophe mais aucun ne réussit, jusqu'à ce qu'Ariste parvienne à déjouer la duplicité de Trissotin ; Henriette peut alors se marier avec Clitandre.

  • av Moliere
    184,-

    L'École des femmes est une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement quatre, cinq, cinq, neuf et neuf scènes) et en vers (1779 dont 1737 alexandrins), créée au théâtre du Palais-Royal le 26 décembre 1662.La pièce, novatrice en ce qu'elle mêlait de manière alors inédite les ressources de la farce et de la grande comédie en vers, fut un immense succès, et suscita une série de débats connus sous le nom de Querelle de L'École des femmes. Cette querelle, habilement exploitée par Molière, lui donna l'occasion de répondre aux critiques qui lui avaient été adressées et de préciser son projet dramatique dans une comédie intitulée La Critique de l'École des femmes, représentée sur la scène du même théâtre au mois de juin de l'année suivante.

  • av Moliere
    184,-

    L'impromptu de Versailles est une mise en abîme: Molière lui-même y apparaît en pleine répétition pour une nouvelle pièce qu'il va présenter au roi dans peu de temps. L'affolement gagne tous les comédiens, qui se plaignent de ne pas avoir eu assez de temps pour se préparer, et personne ne s'estime capable de tenir son rôle. Ils reprochent également à Molière de ne pas avoir répondu à une pièce jouée un peu plus tôt et qui s'était moqué de lui.Molière en profite pour exposer de temps en temps sa vision de la comédie. Pour le reste de la pièce, ne connaissant ni les acteurs parodiés, ni la pièce visée, il est difficile de réellement l'apprécier.

  • av Tertullien
    184,-

    " Le plus grand crime du genre humain, le forfait qui comprend tous les autres, la cause tout entière de sa condamnation, c'est l'idolâtrie. Car, bien que chaque prévarication ait son caractère spécial, bien qu'elle soit condamnée à part, il n'en est pas moins vrai qu'elles se fondent toutes dans le crime de l'idolâtrie. Oubliez les noms, voyez les ¿uvres. L'idolâtre est en même temps homicide. Qui a-t-il tué, me demandez-vous ? Je lis dans l'inscription qui l'accuse : Meurtrier, non pas d'un étranger ni d'un ennemi, mais de lui-même. - Par quels moyens ? - Par son aveuglement.-Par quelles armes ? - Par ses offenses contre Dieu. -- Par, combien de blessures ? - Par autant de blessures que d'idolâtries. Que celui-là nie que l'idolâtrie soit un homicide, qui peut nier qu'il ait perdu son ame. D'après ce principe, vous trouverez encore en lui l'adultère et l'impudicité. Car quiconque sert les faux dieux altère indubitablement la vérité : or toute altération de la vérité est adultère. De même il se plonge dans l'impudicité..."

  • av Moliere
    184,-

    Orgon est l'archétype du personnage de cour tombé sous la coupe de Tartuffe, un hypocrite et un faux dévot. Il est, ainsi que sa mère, Madame Pernelle, dupe de Tartuffe. Ce dernier réussit à le manipuler en singeant la dévotion et il est même parvenu à devenir son directeur de conscience. Il se voit proposer d'épouser la fille de son bienfaiteur, alors même qu'il tente de séduire Elmire, la femme d'Orgon, plus jeune que son mari. Démasqué grâce à un piège tendu par cette dernière afin de convaincre son mari de l'hypocrisie de Tartuffe, Tartuffe veut ensuite chasser Orgon de chez lui grâce à une donation inconsidérée que celui-ci lui a faite de ses biens. En se servant de papiers compromettants qu'Orgon lui a remis, il va le dénoncer au Roi. Erreur fatale : le Roi a conservé son affection à celui qui l'avait jadis bien servi lors de la Fronde. Il lui pardonne et c'est Tartuffe qui est arrêté.

  • av Moliere
    184,-

    Deux jeunes gens, Éraste et Valère, courtisent la fille d'Albert, Lucile, dont le c¿ur penche vers Éraste. Ce dernier apprend de Mascarille, le valet de son rival, que, depuis trois jours, Lucile et Valère se sont mariés. Dans sa fureur, Éraste charge Marinette, la servante de Lucile, d'annoncer à sa maîtresse que leur relation est finie. Gros-René, le valet d'Éraste, se brouille également avec Marinette. S'ensuit un véritable dépit amoureux. Mais c'est seulement à la fin que l'histoire est démêlée.Pour recueillir l'héritage d'un très riche parent, Albert devait avoir un fils. Malheureusement, sa femme ayant accouché d'une fille, il a substitué le fils de la bouquetière, mais ce bébé est mort à l'âge de dix mois. Sa femme a repris chez elle sa fille pour l'élever sous le nom d'Ascagne, à la place du garçon qu'elle n'avait pas eu. En effet c'est Ascagne, une s¿ur de Lucile, jusque-là dissimulée sous des vêtements d'homme, qui s'est unie secrètement à Valère, alors que celui-ci se croit l'époux de Lucile. Cependant Valère se console vite de sa mésaventure en se trouvant l'époux d'une femme charmante, et abandonne volontiers à son rival Éraste la main de Lucile. Gros-René et Marinette suivent l'exemple de leurs maîtres et se marient.

  • av Moliere
    184,-

    Truffaldin garde chez lui une esclave du nom de Célie. Lélie qui se trouve charmé charge son serviteur Mascarille 'fourbum imperator' de tout mettre en ¿uvre pour obtenir les faveurs de la belle esclave. Mais Lélie est étourdi et ses maladresses sont autant de bâtons dans les roues de Mascarille.

  • av Moliere
    184,-

    La Princesse d'Élide est une comédie galante, mêlée de musique et d'entrées de ballet en cinq actes de Molière, représentée pour la première fois à Versailles le 8 mai 1664, et donnée ensuite au public sur le Théâtre du Palais-Royal le 9 novembre 1664 par la troupe de Monsieur, frère unique du Roi.Seuls l'acte premier et une partie de la première scène du second acte sont rédigés en vers. Pressé par le temps, Molière a achevé la comédie en prose. En dépit de nombreuses reprises à la cour, l'auteur ne chercha jamais à parfaire son ¿uvre.

  • av Moliere
    184,-

    Le Barbouillé est marié avec Angélique. Mais il n'est pas satisfait de sa femme qui, dit-il, le fait enrager. Il demande au docteur son avis sur la façon de la punir.À la scène suivante, on voit apparaître Angélique, qui se plaint également de son mari à son amant Valère. Le Barbouillé revient et se plaint de la présence de Valère. Gorgibus, le père d'Angélique, ne peut dissiper la dispute. Le docteur qui veut s'en mêler est traîné hors de scène par Le Barbouillé.Angélique se décide à aller à un bal, où elle espère retrouver Valère. Au retour, elle trouve porte close, et son mari à la fenêtre, qui refuse de la laisser entrer. Elle fait semblant de se donner la mort avec son couteau, et Le Barbouillé, incrédule, descend voir ce qu'il en est. Angélique en profite pour entrer dans la maison et fermer la porte derrière elle. La situation est alors inversée : c'est Le Barbouillé qui est maintenant dehors. Angélique se plaint à son père qui est revenu, que son mari ne rentre qu'à cette heure, ivre. Le Barbouillé, ne pouvant se justifier, enrage.

  • av Tertullien
    184,-

    " Ceux qui, cherchant à ébranler la foi à la résurrection, que l'on avait crue fermement jusqu'à ces modernes Sadducéens, prétendent que cette espérance n'appartient point à la chair, ont raison de mettre en question la chair de Jésus-Christ, et de soutenir ou qu'elle n'existe pas, ou qu'elle est tout autre chose que la chair de l'homme. Ils craignent que s'il est prouvé une fois que cette chair est semblable à la nôtre, il n'en sorte contre eux la présomption que cette chair, ressuscitée en Jésus-Christ, ressuscitera infailliblement dans les hommes. Il faut donc soutenir la réalité de la chair avec les mêmes arguments qui servent à la renverser. Examinons quelle est la substance corporelle du Seigneur. Quant à sa substance spirituelle, tout le monde est d'accord. Il ne s'agit que de sa chair. On dispute de sa vérité, de sa nature, de son existence, de son principe, de ses qualités. Sa réalité deviendra le gage de notre résurrection. Marcion, voulant nier la chair du Christ, a nié aussi sa naissance : ou, voulant nier sa naissance, a nié également sa chair, sans doute de peur que la naissance et la chair ne se rendissent témoignage dans leur mutuelle correspondance..."

  • av Moliere
    184,-

    La pièce tourne essentiellement autour d'Argan, qui est le malade imaginaire qui a donné son titre à la pièce. Veuf, il s'est remarié avec Béline qui simule des soins attentifs, mais n'attend en réalité que la mort de son mari pour hériter.Il se fait faire des saignées, des purges et prend toutes sortes de remèdes, dispensés par des médecins pédants et soucieux davantage de complaire à leur patient que de la santé de celui-ci. Toinette, sa servante, se déguise en médecin et lui dispense des conseils pleins d'ironie où elle se moque du ridicule des médecins.Angélique, sa fille, aime Cléante au grand dépit d'Argan. Il préférerait voir sa fille mariée à Thomas Diafoirus lui-même médecin.Pour les tirer d'affaire, Toinette recommande à Argan de faire le mort. Sa femme est appelée par Toinette, et manifeste sa joie d'être débarrassée de son mari devant celui-ci, qu'elle croit mort. Toinette appelle ensuite Angélique, qui manifeste un chagrin sincère de la mort de son père : celui-ci arrête aussitôt son jeu et accepte l'union de sa fille avec Cléante, à la condition que ce dernier devienne médecin. Son frère, Béralde, lui conseille de devenir médecin lui-même, ce qu'il accepte. La pièce se termine par une cérémonie bouffonne d'intronisation d'Argan à la médecine.

  • av Moliere
    184,-

    Alceste hait l'humanité tout entière, y dénonce l'hypocrisie, la couardise et la compromission. Mais il aime pourtant Célimène, coquette et médisante. Le vertueux se lance ainsi dans des combats perdus d'avance qui l'acculent à la fuite... Molière y critique les m¿urs de la Cour, l'hypocrisie qui règne dans cette société du paraître, où les comportements frisent la parodie.

  • av Tertullien
    184,-

    " Je ne doute point, mon frère, qu'après avoir envoyé devant toi ton épouse dans la paix du Seigneur, résolu désormais à posséder la tranquillité de l'âme, tu ne songes à vivre dans la viduité, par conséquent, que tu n'aies besoin de conseils. Quoique, en pareille conjoncture, chacun doive s'interroger soi-même et consulter ses propres forces, comme les nécessités de la chair interviennent dans les délibérations de l'esprit, et résistent dans la même conscience à la foi, celle-ci a besoin de conseils étrangers qui lui servent, pour ainsi dire, d'avocat contre les réclamations de la chair. Il est très-facile d'imposer silence à ces réclamations, si l'on considère la volonté de Dieu plutôt que la condescendance à la chair. On ne se rend point agréable à Dieu en flattant les sens, mais en obéissant à la volonté divine. Or, la volonté de Dieu, c'est que nous soyons saints. En effet, il veut que l'homme, créé à son image, devienne sa ressemblance, afin que nous soyons saints comme il est saint lui-même. Ce bien, ou en d'autres termes, la sanctification, je le divise en plusieurs degrés, pour que chacun de nous puisse y prendre part. Le premier degré, c'est la virginité conservée depuis la naissance..."

  • av Tertullien
    184,-

    " Les hérétiques suppriment les noces ; les Psychiques les multiplient. Les premiers ne se marient pas même une fois ; les seconds se marient plusieurs fois. Que deviens-tu, ô loi du Créateur ? Entre les eunuques du dehors et tes voluptueux serviteurs, tu gémis autant de la soumission des tiens que du mépris des étrangers ; conséquemment même offense de la part de ceux qui abusent et de ceux qui n'usent pas. Mais la continence de cette nature n'est pas louable, parce qu'elle est hérétique ; l'usage est illégitime, parce qu'il est psychique. Ici, blasphème ; là, luxure : d'un côté destruction, de l'autre déshonneur pour le Dieu qui institua le mariage. Chez nous, au contraire, qui justifions notre nom de spirituels par la connaissance des dons spirituels, la continence est aussi religieuse que l'usage est pudique, puisque l'un et l'autre sont avec le Créateur. La continence rend gloire à la loi du mariage, l'usage la tempère...."

  • av Tertullien
    184,-

    " Il arriva dernièrement qu'une dispute s'éleva entre un Chrétien et un prosélyte juif. La discussion se prolongea de part et d'autre jusqu'au soir, sans qu'ils eussent rien avancé. D'ailleurs le bruit de quelques auditeurs causait un tel trouble que la vérité demeura comme enveloppée d'un nuage. J'ai donc jugé à propos d'examiner avec plus de soin ce qui n'avait pu être éclaira par la discussion, et d'achever par un traité le développement de ces matières. L'occasion de défendre au nom des nations la grâce divine qui leur appartient, a eu du moins cet avantage qu'un homme, sorti des nations et qui n'est pas Juif, ni de la race d'Israël par le sang, a commencé de revendiquer la loi de Dieu. Il suffirait déjà, en effet, que les nations pussent être admises à la loi de Dieu, pour qu'Israël ne fût pas en droit de répéter avec orgueil que les nations ne sont qu'une goutte d'eau dans un vase d'airain, qu'une paille légère emportée parle vent. ..."

  • av Tertullien
    184,-

    Aux Nations est un écrit apologétique en deux livres. Il se concentre sur la défense du christianisme par la dénonciation des principes du paganisme et la démonstration de ses absurdités, dans un discours "aux peuples".

  • av Moliere
    184,-

    Sganarelle s'introduit chez le bourgeois Gorgibus, pour servir les amours de Valère. Il se fait passer pour un médecin mais Gorgibus le rencontre par hasard sans son habit de médecin. Il s'en sort en inventant un frère jumeau et doit par la suite jouer les deux personnages devant le bourgeois, en passant rapidement d'un rôle à l'autre...

  • av Tertullien
    184,-

    " Les Valentiniens, secte nombreuse parmi les hérétiques, parce qu'elle se recrute des apostats de la vérité, penche volontiers pour les fables, et n'a rien d'effrayant dans sa discipline ; les Valentiniens n'ont d'autre souci que de cacher ce qu'ils prêchent, si toutefois c'est prêcher que de cacher sa doctrine. Les ténèbres dont ils s'enveloppent sont une précaution qui les accuse. Ils affichent leur ignominie en affirmant leur religion. En effet, le silence qui recouvre les mystères d'Éleusis, espèce d'hérésie dans la superstition grecque, en est la honte. Voilà pourquoi ils imposent de rudes épreuves, réclament une longue initiation, mettent un sceau sur la langue, et fixent à cinq ans la durée du noviciat, afin d'accroître l'estime en ajournant la connaissance et de relever la majesté des mystères en allumant le désir. Puis vient le devoir du silence. On garde avec attention ce qu'on a découvert si tard. D'ailleurs cette divinité qui réside dans le sanctuaire, ces soupirs des candidats, ce sceau apposé sur la langue, à quoi tout cela vient-il aboutir ?..."

  • av Moliere
    184,-

    Piégé dans le château de la belle Elvire qu'il a sauvée des griffes du tyran Mauregat et qu'il doit garder en sécurité, Dom Garcie ne peut prouver son héroïsme au combat. C'est justement pendant cette absence sur le terrain que son rival amoureux, Dom Sylve de Castille, galvanise les troupes contre le tyran et séduit la belle qui ne sait plus lequel de ses deux prétendants choisir.Dom Garcie s'enferme dans sa jalousie de plus en plus maladive où la moindre parole de sa protégée devient promesse de mariage en faveur de son concurrent.

  • av Tertullien
    184,-

    " La chair est l'axe du salut: lorsque l'âme est choisie par Dieu en vue de ce salut, c'est la chair qui fait que l'âme peut être ainsi choisie par Dieu. Mais la chair aussi est lavée pour que l'âme soit purifiée, la chair reçoit l'onction pour que l'âme soit consacrée, la chair est marquée d'un signe pour que l'âme soit protégée; la chair est couverte de l'ombre de l'imposition des mains pour que l'âme soit illuminée par l'esprit, la chair se nourrit du corps et du sang du Christ pour que l'âme se repaisse de la force de Dieu. On ne peut donc séparer dans le salaire ce que le travail réunit. Car même les sacrifices agréables à Dieu, je veux dire les luttes de la chair et de l'âme, les jeûnes, les repas différés et frugaux, et les haillons qui sont l'accompagnement de tels exercices, c'est la chair qui les offre à son propre préjudice. La virginité également, le veuvage, la continence cachée dans le secret du mariage et une expérience conjugale unique sont des offrandes à Dieu prises sur les biens de la chair..."

  • av Moliere
    184,-

    Le Médecin malgré lui est une pièce de théâtre de Molière en trois actes de respectivement 5, 5 et 11 scènes en prose représentée pour la première fois le 6 août 1666 au Théâtre du Palais-Royal, où elle obtint un grand succès. Reprenant des motifs issus de la comédie italienne déjà utilisés dans Le Médecin volant et L'Amour médecin, Molière y ajoute des éléments tirés de la tradition de la farce française et de celle des fabliaux du Moyen Âge. La grivoiserie de certaines situations et la parodie des pratiques médicales de l'époque, qui constituent les principaux thèmes du Médecin malgré lui, dissimulent une satire de la crédulité, voire une critique de la religion.

  • av Moliere
    184,-

    En l'absence de leurs pères partis en voyage, Octave, fils d'Argante ainsi que Léandre, fils de Géronte, se sont épris l'un de Hyacinthe, jeune fille pauvre et de naissance inconnue qu'il vient d'épouser, le second de la jeune Égyptienne Zerbinette.Au retour d'Argante, Octave, très inquiet de la réaction paternelle à l'annonce de son union et, de plus, fort à court d'argent, implore l'aide de Scapin, valet de Léandre. Mais cet habile ouvrier de ressorts et d'intrigues ne parvient pourtant pas à faire fléchir le vieillard.Argante répète à Géronte la nouvelle qu'il tient d'une indiscrétion de Scapin : Léandre a commis une grave erreur. Aussi le jeune homme, fort mal accueilli par son père, corrige vertement le valet pour sa trahison. Mais il quitte bientôt son ressentiment pour le supplier de lui venir en aide : il lui faut payer une rançon pour Zerbinette s'il ne veut pas la voir enlevée par les Égyptiens...

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