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  • av Moliere
    184,-

    Éraste est un gentilhomme amoureux d'Orphise. Malheureusement le tuteur de la jeune fille, Damis, projette un mariage avec un autre prétendant. Eraste doit se rendre à un rendez-vous amoureux avec Orphise, mais une dizaine de fâcheux ne cessent de les importuner l'un et l'autre. Damis, ayant entendu qu'Éraste projette de venir dans la maison d'Orphise veut l'assassiner. Mais Damis est attaqué par les valets d'Éraste. Le jeune homme le défend vaillamment et obtient ainsi, après cet acte de courage, la main d'Orphise.

  • av Moliere
    172,-

    Madame la Comtesse d'Escarbagnas, noble veuve provinciale, est de retour chez elle, au terme d'un voyage de deux mois à Paris.Un séjour qui lui a permis de voir toute la Cour à Versailles, d'y observer l'étiquette pratiquée par les gens du monde, leur conversation, leurs manières, leurs usages...Éblouie, elle s'est bien juré de faire pratiquer en sa propre demeure d'Angoulême les bonnes manières qu'elle se vante d'avoir apprises à Paris...

  • av Moliere
    184,-

    Burlesque et mordant, Molière, dans sa pièce, tend un piège à deux pecques de province qui se prennent pour des femmes branchées ultra-spirituelles quand elles ne sont que des... Précieuses ridicules. Vite, venez nous tendre ici dedans le conseiller des grâces. Vite, voiturez-nous ici les commodités de la conversation. Ne soyez pas inexorable à ce fauteuil qui vous tend les bras ! Hors de Paris il n'y a point de salut pour les honnêtes gens. Votre ¿il en tapinois me dérobe mon c¿ur ! Les gens de qualité savent tout sans avoir jamais rien appris.

  • av Moliere
    184,-

    Deux jeunes amants, Éraste et Julie, vivent à Paris. Ils se rencontrent en secret de peur qu'Oronte, le père de Julie, découvre leur relation. Oronte a donné sa fille en mariage à un certain Léonard de Pourceaugnac, bourgeois de Limoges. Dégoûtés par cette idée, les deux amants font appel à une entremetteuse, Nérine et un fourbe napolitain Sbrigani, pour contrer le projet d'Oronte. Dès son arrivée, la ville entière essayera de ridiculiser le nouvel arrivant, et de le dégoûter de la vie urbaine.Éraste survient et dit reconnaître en monsieur de Pourceaugnac un ancien ami, bien qu'ils ne se soient jamais vus, de sorte que celui-ci accepte l'hospitalité qui lui est proposée. Après avoir gagné sa confiance, Sbrigani et Éraste, feignant de le protéger, emploient de multiples moyens pour se débarrasser de lui. Ils persuadent deux médecins que monsieur de Pourceaugnac est fou, mais plus il proteste, plus l'étranger est menacé de saignées et de lavements. Après avoir échappé de justesse à une phlébotomie complète, monsieur de Pourceaugnac est accusé par un soi-disant marchand flamand d'avoir d'innombrables dettes envers lui...

  • av Moliere
    184,-

    Deux frères sont tous deux tuteurs de deux s¿urs orphelines. Tolérant et compréhensif, Ariste laisse Léonor libre de ses choix. Son cadet, Sganarelle, se montre, en revanche, rébarbatif et circonspect envers Isabelle qui, amoureuse de Valère, devra avoir recours à des subterfuges pour avoir raison des soupçons de son impérieux tuteur. Elle se rendra ainsi, en se faisant passer pour sa s¿ur, chez son amoureux pour se faire épouser légitimement par lui. Ariste se verra, au contraire de Sganarelle, récompensé de sa largeur d'esprit envers Léonor, en l'épousant.

  • av Moliere
    184,-

    Amphitryon et Sosie sont les victimes de Jupiter et Mercure. Jupiter est en effet amoureux d'Alcmène, la femme d'Amphitryon et le voilà prendre l'apparence du mari. S'ensuivent scènes cocasses entre Sosie et Mercure, les deux Amphitryon, des qui-pro-quo entre les maris et les épouses... C'est bien écrit, c'est drôle, c'est court, et on en redemande !

  • av Moliere
    184,-

    Deux femmes, Uranie (en référence à la muse de l'astronomie) et Élise, reçoivent des connaissances, et tous discutent de la pièce L'École des femmes qu'ils viennent de voir. Chacun possède un avis tranché : les uns ont aimé, les autres non.Dans le camp des contre , il y a le pédant Lysidas, auteur jaloux du succès de la pièce, le Marquis, personnage sot et prétentieux et Climène, qui affiche une pudeur et une dévotion aisément froissées.Dans le camp des pour , on trouve Dorante, ami de Molière, homme posé et tranquille, Uranie, la maîtresse de maison, et Élise, femme d'esprit, qui feint de soutenir le parti adverse, soulignant par son approbation indéfectible la faiblesse ou l'ineptie des arguments de ceux-ci.Chacun reste sur ses positions, et l'annonce du souper servi sert de dénouement. Ils s'y rendent tous avec plaisir, chacun étant persuadé d'avoir emporté la discussion et de s'y être montré à son avantage.

  • av Moliere
    172,-

    L'amour Médecin reprend le canevas classique d'une comédie : l'amour contrarié de deux jeunes gens. Comme dans le médecin malgré lui, Lucinde feint d'être malade parce que son père ne veut pas qu'elle épouse l'homme qu'elle aime. Comme dans le médecin malgré lui, les médecins ne se rendent pas compte que la malade simule, parce qu'ils sont trop occupés à se quereller, quand ils ne comparent pas leur monture et leur clientèle. Molière, pour créer ses personnages, se serait inspiré des médecins de la famille royale.

  • av Plaute
    184,-

    Cette comédie traite le sujet est la fourberie machinée par un esclave amoureux aux dépens d'un prostitueur. En effet, l'esclave Taxil, aime une courtisane. Pour pouvoir lui trouver de l'argent, un de ses camarades se déguise en Perse et prétend vouloir vendre une jeune fille enlevée. Celle-ci est en réalité la fille d'un homme libre...

  • av Moliere
    184,-

    Les Amants magnifiques est une comédie-ballet de Molière sur une musique de Jean-Baptiste Lully, composée et représentée à l'occasion du carnaval de février 1670, au cours de festivités nommées Divertissement royal. C'est lors de cette représentation que Louis XIV monte pour la dernière fois sur scène en tant que danseur.Derrière l'amusement d'une intrigue sentimentale et romanesque - deux princes rivaux se disputent une jeune princesse qui aime un soldat de fortune, sans noblesse mais non sans gloire, lequel la sauve d'un féroce sanglier et se trouve ainsi autorisé à épouser celle qu'il aime -, Molière fait le procès de l'astrologie notamment grâce au personnage d'Anaxarque, astrologue charlatan. Cette exécution, écrit G. Couton, donnait une leçon de raison à une cour et à une civilisation qui en avaient bon besoin.

  • av Plaute
    184,-

    Les Bacchis ou Les Bacchides (latin : Bacchides) est une pièce du dramaturge romain. Le n¿ud de l'action est un quiproquo concernant deux s¿urs, toutes deux filles publiques, du même nom de Bacchis. La pièce met en exergue l'habileté et l'intelligence des serviteurs, supérieure à celle des maîtres qu'ils servent - un thème fréquent chez Plaute.Cette comédie est vraisemblablement une adaptation de la pièce de Ménandre (Dis Exapaton), La double tromperie ou Les deux impostures . Le début de la pièce est perdu mais il est reconstitué dans les restitutions modernes à l'aide du contexte et d'une vingtaine de fragments qui ont été sauvegardés.

  • av Plaute
    184,-

    Un jeune homme, Charin, est tombé amoureux de Pasicompsa alors qu'il était en voyage de négoce avec son père. Il la ramène à Athènes avec lui. Le phère de Charinus, Démiphon, se rend vers le bateau alors qu'il est à quai et que Pasicompsa se trouve à bord. Pour expliquer la présence de la jeune fille, Acanthion, l'esclave de Charin, invente que Charin l'a apportée afin d'en faire une esclave pour sa mère.Mais Démiphon tombe également amoureux de la jeune fille et réfléchit à un stratagème pour se l'approprier. Il va trouver son fils et lui dit qu'il a besoin de la vendre. Le vieil homme affirme l'avoir promise à son ami Lysimaque, mais Charin, lui, prétend avoir fait de même avec son ami Eutyque. Mais Charin perd l'affaire et, désespéré, envisage de partir au loin.Pendant ce temps, Lysimaque emmène Pasicompsa chez lui temporairement, jusqu'à ce que Démiphon puisse lui trouver un meilleur endroit pour séjourner. L'épouse de Lysimaque découvre cependant la jeune femme, et pensant que son mari la trompe, va le trouver. Bientôt, Eutyque découvre que Pasicompsa est chez Lysimaque et prévient Charinus. Quand Démiphon découvre que son fils est amoureux de la jeune femme, il finit par renoncer à l'obtenir pour lui-même et laisse à son fils Pasicompsa.

  • av Plaute
    184,-

    En choisissant d'adapter une pièce grecque déjà intitulée Le Carthaginois, il semblerait que Plaute ait cherché à jouer sur le contexte qui lui était contemporain, celui des guerres puniques, qui opposaient alors les armées romaines à la puissance carthaginoise tout autour de la Méditerranée. Ainsi cette ¿uvre est surtout connue pour contenir du texte en langue punique transcrit en caractères latins, texte dit par un personnage nommé Hannon (nom très répandu dans l'onomastique punique) dans le Ve acte.

  • av Plaute
    184,-

    Stichus est une pièce de l'auteur comique latin Plaute. Sa date de représentation nous est connue d'après la notice d'un palimpseste : elle fut jouée en 200 ACN. Elle est basée sur la pièce Les Adelphes du comique grec Ménandre.

  • av Plaute
    184,-

    Le Trompeur (en latin Pseudolus) est une pièce de théâtre comique du dramaturge latin Titus Maccius Plautus (Plaute). Elle est l'une des plus anciens exemples de la littérature romaine. Le Trompeur a été jouée pour la première fois en 191 av. J.C., pendant les Mégalésies.C'est l'histoire de Calidore et de Phénicie. Phénicie est une esclave dont Calidore tombe amoureux. Ballium, le marchand d'esclaves, vend Phénicie à un soldat macédoinien mais celui-ci ne donne pas tout l'argent d'un coup. Pseudolus, l'esclave du père de Calidore, trouve moyen de tromper Ballium et le soldat, afin que Calidore puisse acheter Phénicie.

  • av Plaute
    184,-

    Un vieux citoyen romain s'est ruiné par générosité pour ses amis. Il a dû s'exiler à cause de sa grande pauvreté et vit maintenant très simplement en bord de mer avec sa femme et ses esclaves.Sa fille, Palestra, lui a été enlevée alors qu'elle était toute petite et comme il n'a pas d'autres enfants, il est désormais sans héritier.Par ailleurs, le leno (marchand d'esclave) qui a acheté Palestra a été victime d'un naufrage, où il a tout perdu, y compris la jeune fille et sa servante. La cassette qui contenait les jouets et les objets permettant la reconnaissance de la jeune fille par ses parents a également été perdue dans le naufrage...

  • av Plaute
    184,-

    Trois jeunes gens sont épris en même temps d'une femme : l'un est un campagnard, l'autre un citadin, le troisième un étranger. Cette femme, pour bien attraper le militaire, fait passer pour sien un petit enfant dont la naissance est mystérieuse. On voit un esclave violent et brutal, qui veut empêcher les louves d'enlever le patrimoine de son maître, et qui cependant se laisse dompter à son tour. Le militaire arrive, et en considération de l'enfant fait de riches présents. Enfin le père de la jeune fille violée est instruit de tout ; celui qui a outragé la fille l'épouse d'un commun accord, et retrouve son enfant dont la courtisane se disait la mère.

  • av Plaute
    184,-

    Un pêcheur retire de la mer dans son filet une valise où se trouvent les jouets de la fille de son maître, enlevée et vendue à un marchand d'esclaves. Elle fait naufrage et, sans le savoir, se trouve sous la protection de son père ; elle est reconnue et on la marie à son amant Pleusidippe.

  • av Plaute
    184,-

    Un fils tombe amoureux d'une courtisane. Sa mère (litt. lena : maquerelle) exige une importante somme pour la lui céder. Le fils a toutes les peines du monde à trouver l'argent nécessaire et son père finit par savoir. Pour le prix de son indulgence le père exige une nuit d'amour avec sa future belle-fille.

  • av Plaute
    184,-

    Lors d'un combat, le fils d'Hégion a été fait prisonnier. Un autre de ses fils lu a été enlevé, encore enfant, par un esclave, qui l'a vendu. Hégion, pour récupérer son fils prisonniers, fait l'acquisition de captfs éléens. Or, parmi ceux qu'il achète se trouve justement son fils. Toutefois, celui-ci a échangé son nom et son vêtement avec son maître pour lui permettre de s'enfuir.

  • av Plaute
    184,-

    Un vieillard, sur le Conseil de son esclave, achète une joueuse de lyre qu'il croit sa fille ; l'esclave, par une seconde supercherie, fait passer pour la maîtresse du fils une autre joueuse de lyre qu'il loue pour quelque temps. Il donne l'argent au fils de son maître, qui achète sa s¿ur sans la connaître. Bientôt la femme séduite par le vieillard et le militaire, qui cherchent l'une sa fille, l'autre sa maitresse, apprennent au barbon qu'il a été pris pour dupe. Mais, comme il retrouve sa fille, il affranchit l'esclave.

  • av Plaute
    184,-

    Le Soldat fanfaron (Miles gloriosus en latin) est la plus longue comédie de Plaute (1437 vers). Adaptée d'une pièce grecque, la comédie de Plaute met en scène un soldat vaniteux prompt à s'attribuer des exploits guerriers imaginaires, qui a donné naissance à un type de personnage récurrent dans le théâtre comique aux époques suivantes.

  • av Plaute
    184,-

    Charmide, partant pour un voyage, confie un trésor caché et tout son bien à son ami Calliclès. Pendant son absence, son fils gaspille le patrimoine ; il vend même la maison, que Calliclès achète. La s¿ur, qui n'a point de dot, est demandée en mariage ; pour lui en donner une sans se faire une méchante affaire, Calliclès aposte un homme qui dit apporter de l'argent de la part du père. L'homme arrive devant la maison ; le vieux Charmide, de retour, se moque de lui et marie ses enfants.

  • av Plaute
    184,-

    Cette comédie de Plaute raconte l'histoire de deux frères jumeaux : Ménechme et Sosiclès. Alors qu'ils étaient enfants, Ménechme fut enlevé. En son souvenir, on appela l'autre jumeau du même nom. Adulte, Ménechme-Sosiclès partit à la recherche de son frère. Il le retrouva à Épidamme, après de nombreux quiproquos dus à leur ressemblance et à leur nom identique.

  • av Plutarque
    172,-

    " ... Aratus possédait toutes les qualités d'un homme d'État : il était généreux, magnanime, plus occupé du bien public que du sien propre, ennemi implacable des tyrans, et n'ayant d'autre mesure de ses amitiés et de ses haines particulières que l'utilité générale. Aussi parais-sait-il moins ami zélé qu'ennemi doux et facile ; car il variait souvent dans l'un et l'autre de ces deux sentiments, et toujours par des motifs d'intérêt politique. Les nations, les villes, les assemblées, les théâtres, s'accordaient à dire qu'Aratus n'aimait que ce qui était honnête, et que, s'il était timide et défiant dans les guerres ouvertes et les batailles rangées, il était, pour exécuter des desseins secrets et surprendre des villes et des tyrans, les plus rusé des hommes. De là vient qu'après avoir exécuté avec gloire des entreprises dont on n'osait espérer le succès, et dans lesquelles il fit preuve de la plus grande audace, il en manqua d'autres, par excès de précaution, qui n'étaient ni moins importantes, ni plus difficiles. Car, de même qu'il y a des animaux qui, voyant clair dans les ténèbres, sont aveugles pendant le jour, parce que la sécheresse et la ténuité de l'humeur aqueuse de leurs yeux ne peut supporter la lumière, de même aussi voit-on des hommes prudents et courageux se troubler aisément dans les périls qu'il faut braver ouvertement et en plein jour, tandis qu'ils montrent la plus grande assurance dans les entreprises secrètes qu'ils font, pour ainsi dire, à la dérobée..."

  • av Plutarque
    184,-

    " Marcus Brutus descendait de Junius Brutus, auquel les anciens Romains avaient dressé dans le Capitole une statue de bronze au milieu de celles des rois: elle tenait à la main une épée nue, pour marquer que Junius avait détruit sans retour la puissance des Tarquins. Mais le premier Brutus, semblable à ces épées qu'on a trempées brûlantes dans l'eau froide, n'adoucit point par la culture la rudesse naturelle de son caractère, et se laissa emporter par sa haine contre les tyrans jusqu'à faire périr ses fils. Au contraire, le Brutus dont nous écrivons la Vie s'appliqua à former son caractère par l'étude des lettres et de la philosophie ; il donna l'élan à sa nature grave et douce, en y développant cette énergie qui fait accomplir les grandes choses ; nul enfin n'avait reçu, à mon avis, de plus heureuses dispositions pour la vertu. Aussi, ceux même qui ne lui pardonnent point la conspiration contre César attribuent-ils à Brutus tout ce qui s'est pu faire de grand dans cette entreprise, et rejettent tout ce qu'elle a de plus odieux sur Cassius, allié et ami de Brutus, mais qui n'avait rien de commun avec lui pour la simplicité et la pureté des m¿urs..."

  • av Plutarque
    172,-

    " Le premier roi de Perse qui porta le nom d'Artaxerxès surpassa tous les autres princes en douceur et en magnanimité : il fut surnommé Longue-main, parce qu'il avait la main droite plus longue que la gauche. Il était fils de Xerxès. Celui dont nous écrivons la Vie, le second Artaxerxès, surnommé Mnémon, était petit-fils du premier par sa mère ; car Darius avait eu quatre fils de Parysatis, sa femme : Artaxerxès était l'aîné, Cyrus le second, et les deux plus jeunes, Ostanès et Oxathrès. Cyrus porta le nom du fondateur de la monarchie des Perses, que celui-ci avait pris du soleil, appelé Cyrus par les Perses. Artaxerxès fut d'abord nommé Arsicas. Dinon cependant lui donne le nom d'Oartès ; mais, quoique Ctésias ait rempli son histoire de fables absurdes et ridicules il n'est pas croyable pourtant qu'il ait pu ignorer le nom d'un roi à la cour duquel il vivait, étant de plus son médecin, celui de sa mère, de sa femme et de ses enfants..."

  • av Plaute
    172,-

    Le titre de cette comédie provient d'une cassette ou corbeille (cistella) contenant des objets grâce auxquels Silénie, élevée par la courtisane Melénide, et qui enfant avait été exposée, sera finalement reconnue. Le jeune Alcésimarque s'éprend d'elle, et après avoir franchi tout une série d'obstacles, il pourra enfin l'épouser, lorsque l'on découvrira que Sélénie est la fille de Démiphon le voisin et qu'elle avait été abandonnée parce que le fruit d'un amour extraconjugal.

  • av Plutarque
    159,-

    " ... Mais, après que Fabius Valens, capitaine d'une légion, eut le premier prêté serment de fidélité à Galba, et que Verginius eut appris, par des lettres de Rome, les décrets du Sénat, alors il détermina ses légions, non sans peine, à reconnaître Galba pour empereur. Il ne fit aucune difficulté pour recevoir Flaccus Hordéonius, que Galba avait envoyé pour lui succéder : il lui remit le commandement de l'armée, puis il alla au-devant de Galba, qui marchait vers Rome. Galba ne lui témoigna aucun ressentiment, parce qu'il respectait sa vertu ; mais il ne lui donna non plus nulle marque de bienveillance, retenu qu'il était par ses amis, et en particulier par Titus Vinnius, qui portait envie à Verginius, et qui croyait par là nuire à son avancement ; mais il ne s'apercevait pas qu'il secondait, à son insu, la bonne fortune de Verginius, en l'éloignant des maux sans nombre auxquels les guerres assujettissaient les autres généraux, et en lui laissant couler une vieillesse paisible au sein d'une vie tranquille et sans orages..."

  • av Plaute
    184,-

    Cette pièce raconte le combat entre un vieillard lubrique, amoureux d'une petite esclave, et sa mégère de femme qui fait tout pour l'empêcher d'arriver à ses fins. Des ruses sans cesse contrées, des raclées par esclaves interposés, des vieux qui jouent aux jeunes premiers et des matrones qui s'encanaillent pour la belle esclave Casina, dont tous parlent et qu'on ne voit jamais...

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