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  • av Aristophane
    185,-

    Troisième comédie écrite par Aristophane après les Détaliens et les Babyloniens, Les Akharniens sont un plaidoyer en faveur de la paix. En effet, la pièce prend place dans la septième année de la guerre du Péloponnèse, qui oppose Athènes et ses alliés de la ligue de Délos à Sparte et sa ligue du Péloponnèse. Athènes est à la recherche de nouveaux soutiens.Aristophane défend la paix en montrant d'abord que la guerre est absurde : selon lui, elle aurait été déclenchée par Périclès pour protéger les intérêts de sa concubine Aspasie. Ensuite, il décrit ses effets : ruineuse pour le peuple, et source de profits pour quelques profiteurs de guerre. Enfin, il affirme que tous les braves gens désirent une trêve, et que seuls les hommes politiques et les militaires y sont opposés. Le démagogue Cléon, l'une des têtes de Turc d'Aristophane, est encore une fois vigoureusement attaqué.

  • av Alphonse Momas
    197,-

    " ...Elle avait donc en face d'elle une queue d'homme, la jeune Balbyne qui jusque-là, n'eut de relations sexuelles qu'avec ses amies et sa gouvernante miss Blettown, laquelle s'amusait parfois à remplir auprès d'elle l'office d'un petit mari.Renversé sur l'arrière, l'abbé Tisse, dans une douce somnolence, s'abandonnait à l'examen et aux premiers attouchements de cette demi-innocente, de cette demi-vierge, qui voulait tout connaître de la volupté, hormis son acte principal vous mettant en danger de devenir mère.Qui appartenait à l'autre, dans cette pose de l'abbé se livrant à la jeune fille pour l'instruire ! Planant sur le couple, Miss Blettown suivait d'un ¿il attentif le jeu de sa pupille et semblait se délecter à ses hésitations, à ses incertitudes..."Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.

  • av Cicerón
    172,-

    De la vieillesse est un traité écrit par Cicéron en 44 av. J.-C., en un seul livre et dédié à son ami Atticus. L'ouvrage met en scène Caton l'Ancien atteignant la fin de sa vie et conversant avec les jeunes Scipion Emilien et Laelius. Il leur réfute les quatre critiques formulées à l'encontre de la vieillesse. Le portrait de Caton que fait Cicéron est enjolivé, et ses réflexions à propos de la vieillesse sont évidemment celles que Cicéron, alors âgé de 62 ans, partage avec Atticus, son aîné de trois ans. Tous deux sont dans la tranche d'âge dite senectus (vieillesse) qui commence à 60 ans et qui précise le titre.

  • av Aristophane
    185,-

    Furieuses contre Euripide qui a installé des soupçons à l'égard de toutes les femmes, les Athéniennes projettent de concerter leur vengeance pendant la fête des Thesmophories. Inquiet pour sa vie, Euripide envoie un de ses parents déguisé en femme pour espionner les comploteuses. Mais celui-ci se fait rapidement découvrir par ses réflexions misogynes et son ignorance des rites. Arrêté et enchaîné, il est délivré par Euripide qui abuse de la naïveté de l'archer scythe préposé à sa garde.Cette pièce d'Aristophane reprend certains stéréotypes présents dans d'autres pièces: l'ivrognerie attribuée aux femmes (l'une d'elles a déguisé une outre de vin en bébé), la misogynie attribuée à Euripide, les parodies de la tragédie euripidienne, le monde à l'envers où les femmes exerceraient le pouvoir politique.

  • av Alphonse Momas
    185,-

    "...Quand il fut sur elle, elle lui apparut si peu de chose, quoiqu'elle fût de taille plutôt grande pour son âge, qu'il éprouva une certaine honte et se contentant d'effleurer le conin avec le bout de sa queue ; il glissa ensuite entre ses cuisses, lui fit minettes. Elle s'abandonna avec ivresse à ses caresses, il murmura :- Tu es trop jeune pour être dépucelée, nous allons essayer ton cul, tourne-toi.Elle obéit, offrit les fesses à ses chaudes lippées, après lesquelles elle sentit qu'il grimpait sur son dos, la recouvrait de son corps, et elle tressaillit à la queue qu'il pointait au milieu de la raie, mais ne regimba pas.Il ne remua pas d'un instant pour l'apprivoiser, dirigeant insensiblement le gland vers le trou. Elle se pelotonnait. Il la chatouilla au clitoris, et la voyant émue, il sépara les cheveux qui cachaient son buste, appuya légèrement le gland..."

  • av Aristophane
    185,-

    Agoracritus, un vendeur de saucisses, est en concurrence avec Cléon pour obtenir la confiance et l'approbation de Démos, un vieillard qui incarne l'allégorie du peuple athénien. Après différentes épreuves, Agoracritus est jugé le plus digne de confiance et humilie ainsi le démagogue Cléon en restaurant la gloire de Démos.

  • av Aristophane
    185,-

    Cinquième pièce conservée d'Aristophane, la Paix a été écrite peu après la mort du démagogue Cléon, partisan farouche de la guerre contre Sparte. Aristophane voit en ce décès une occasion favorable pour signer une paix durable avec les adversaires grecs d'Athènes. Il s'adresse donc à la population de la cité à travers cette histoire en essayant de démontrer, sur le ton comique qui lui est propre, les douceurs d'un climat pacifié. Dans la pièce, le vigneron Trygée, accablé par les longues années de guerre, se fait le messager des peuples grecs auprès des dieux. Ayant rejoint les cieux sur un coursier insolite, il se rend compte que ceux-ci ont été désertés par les divinités habituelles, auxquelles a succédé l'entité guerrière Polemos, qui projette d'écraser les cités grecques. Trygée met tout en ¿uvre pour empêcher cette catastrophe.

  • av Alphonse Momas
    185,-

    " ...Hélène portait ce soir là, l'un des plus troublants costumes qu'une imagination de vieillard ait pu inventer.Figurez-vous un maillot blanc, tout constellé de paillettes luisantes, collé aux rondeurs divines, laissant les seins vous imaginer la magnifique ampleur des deux belles fesses, grossies encore par la couleur immaculée de ce grotesque costume.M. Vimol en avait fait faire ainsi de toutes les couleurs, et rien ne peut donner une idée de l'expression lubrique, imprimée à sa physionomie, lorsqu'il contemplait la jeune femme, revêtue de cet accoutrement diabolique..."Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.

  • av Alphonse Momas
    185,-

    Ce "recueil documentaire psycho-pathologique sur les aberrations sexuelles chez la femme normale tombant dans la bestialité la plus raffinée" est un monument de perversité. Très bien écrit, il raconte l'histoire d'une femme veuve, jeune et belle qui, séduite par ses deux chiens, se donne à eux...

  • av Cicerón
    172,-

    De l'Amitié est un traité philosophique de Cicéron, rédigé en 44 av. J.-C. à la demande insistante de son ami Atticus. Les relations entre les êtres humains et le sens de la vie constituent les principales interrogations de Cicéron dans ce traité. II exalte le rôle et la nécessité de l'amitié dans les rapports sociaux et la vie politique romaine par de nombreux exemples tirés de l'histoire de Rome, à une époque que Cicéron considère comme l'âge d'or de la République, lorsqu'elle était gérée par un petit groupe d'hommes liés par l'amitié. La publication de cet ouvrage vient au moment où Cicéron tente de se constituer un réseau de relations pour contrer le pouvoir de Marc Antoine, et se présente donc comme un programme politique et un appel à ses contemporains. Cicéron reviendra sur l'importance sociale de l'amitié dans son dernier ouvrage philosophique, le De Officiis (Des Devoirs).

  • av Alphonse Momas
    185,-

    " ...Reine s'était couchée sur la fourrure : en femme experte, elle écartait les cuisses et ouvrait les bras dans lesquels se laissait aller la fausse miss Sticker; elle-même, elle dirigeait la queue au bon endroit, à la porte du gentil conin qu'elle dépucela, aspirant à ce qu'elle en franchit vite le seuil ! Ah, le doux frottement des épidermes! Les lèvres se dévoraient de caresses, la petite cochonne de Reine ne cessait d'actionner sa langue dans la bouche de la directrice; d'une de ses mains elle lui caressait les reins, les fesses, la pressait sur son ventre, pour mieux la sentir dans son vagin..." Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques, pornographiques et saphiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.

  • av Gustave Flaubert
    233,-

    Par une chaude journée d'été, à Paris, deux hommes, Bouvard et Pécuchet, se rencontrent et font connaissance. Ils découvrent que, non seulement ils exercent le même métier de copiste, mais qu'en plus ils ont les mêmes centres d'intérêts. S'ils le pouvaient, ils aimeraient vivre à la campagne. Un héritage fort opportun va leur permettre de changer de vie. Ils reprennent une ferme dans le Calvados, non loin de Caen et se lancent dans l'agriculture (agronomie, arboriculture, jardinage, conserverie, distillerie). Leur incapacité à comprendre va n'engendrer que des désastres. De la même manière, ils vont s'intéresser, dans l'ordre, aux sciences (chimie, anatomie, physiologie, médecine, nutrition, astronomie, zoologie, géologie), à l'archéologie (architecture, muséologie, religion celtique, antiquités, histoire, biographie), à la littérature (roman historique, théâtre, critique littéraire, grammaire, esthétique), à la politique, à l'amour, à la philosophie (gymnastique, spiritisme, magnétisme, logique), à la religion, à l'éducation (phrénologie, dessin, histoire naturelle, morale, musique, urbanisme) avec les mêmes résultats. Lassés de tant d'échecs, ils retournent à leur métier de copiste.

  • av Antoine Meillet
    172,-

    ... On ne s'est pas proposé ici d'exposer des idées neuves, mais seulement de déterminer d'une manière précise les conditions où peut et doit s'employer en linguistique historique la méthode comparative. On s'estimera satisfait si le lecteur y trouve exactement marquées la valeur, mais aussi les limites de cette méthode...

  • av Alphonse Momas
    197,-

    Dans un pensionnat de jeunes filles anglais tenu par la sévère Miss Sticker, La Chute des Vierges est le théâtre de punitions et de récompenses distribuées par des maîtresses et des servantes.Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques, pornographiques et saphiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.

  • av Alphonse Momas
    197,-

    Dans la maison Mirzan, à Chartres, deux enfants découvrent les délices et délits du libertinage. Et ce n'est là que le commencement...Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.

  • av Frederic Bastiat
    185,-

    " Nourri à l'école de votre Adam Smith et de notre J. B. Say je commençais à croire que cette doctrine si simple et si claire n'avait aucune chance de se populariser, du moins de bien longtemps, car, chez nous, elle est complètement étouffée par les spécieuses fallacies que vous avez si bien réfutées, - par les sectes fouriéristes, communistes, etc., dont le pays s'est momentanément engoué, - et aussi par l'alliance funeste des journaux de parti avec les journaux payés par les comités manufacturiers.C'est dans l'état de découragement complet où m'avaient jeté ces tristes circonstances, que m'étant par hasard abonné au Globe and Traveller, j'appris, et l'existence de la Ligue, et la lutte que se livrent en Angleterre la liberté commerciale et le monopole. Admirateur passionné de votre si puissante et si morale association, et particulièrement de l'homme qui paraît lui donner, au milieu de difficultés sans nombre, une impulsion à la fois si énergique et si sage, je n'ai pu contempler ce spectacle sans désirer faire aussi quelque chose pour la noble cause de l'affranchissement du travail et du commerce. Votre honorable secrétaire M. Hickin a eu la bonté de me faire parvenir la Ligue, à dater de janvier 1844, et beaucoup de documents relatifs à l'agitation..."

  • av Frederic Bastiat
    185,-

    " Je suis engagé.Je ne nomme pas M. tel, parce qu'il ne m'a pas demandé mon suffrage.Je vote pour M. tel, parce qu'il m'a rendu service.Je vote pour M. tel, parce qu'il a rendu des services à la France.Je vote pour M. tel, parce qu'il m'a promis un service.Je vote pour M. tel, parce que je désire une place.Je vote pour M. tel, parce que je crains pour ma place.Je vote pour M. tel, parce qu'il est du Pays.Je vote pour M. tel, parce qu'il n'est pas du Pays.Je vote pour M. tel, parce qu'il parlera.Je vote pour M. tel, parce que s'il n'est pas nommé, notre préfet ou notre sous-préfet seront destitués.Chacun de ces sophismes a son caractère spécial, mais il y a aussi au fond de chacun d'eux quelque chose qui leur est commun et qu'il s'agit de démêler..."

  • av Frederic Bastiat
    172,-

    "... Ce que je demande en effet, c'est ceci : Que tout électeur soit éligible. Que les collèges électoraux puissent se faire représenter par quiconque a mérité leur confiance. Mais si le choix des électeurs tombe sur un fonctionnaire public, c'est l'homme et non la fonction qui entre à la Chambre. Le fonctionnaire ne perdra pas pour cela ses droits antérieurs et ses titres. On n'exigera pas de lui le sacrifice d'une véritable propriété acquise, par de longs et utiles travaux. La société n'a que faire d'exigences superflues et doit se contenter de précautions suffisantes. Ainsi, le fonctionnaire sera soustrait à l'influence du pouvoir exécutif ; il ne pourra être promu ou destitué. Il sera mis à l'abri des suggestions de l'espérance et de la crainte. Il ne pourra exercer ses fonctions ou en percevoir les émoluments. En un mot, il sera représentant, ne sera que représentant, pendant toute la durée de son mandat. Sa vie administrative sera, pour ainsi dire, suspendue et comme absorbée par sa vie parlementaire. C'est bien là ce qu'on a fait pour les militaires, grâce à la distinction entre le grade et l'emploi. Par quel motif ne le ferait-on pas pour les magistrats ?..."

  • av Alphonse Momas
    197,-

    "... Lucie et Héloïse avaient quitté leurs jupes, et toutes deux, en soixante-neuf sur le divan, Lucie par dessus, se dévoraient de chaudes caresses.Lucie, échauffée après son amie, se tortillait sous les yeux d'Émile, debout devant le divan, et l'admirant dans ses tendresses passionnées.- Dis, dis, murmurait-elle entre deux sucées, je ne perds pas ton amour, en rendant hommage à de telles beautés, que j'ai toujours aimées et qui toujours m'enflammèrent le sang !- Non, chérie, je comprends ton goût pour de si riches trésors, et je m'associerais à ton hommage, si nous étions plus à l'aise qu'ici.- Tiens, tiens, vois ma fleur, baise-la, caresse ou becquette entre mes cuisses, unissez vos langues sur mon petit bouton et je croirai que tu m'aimes encore.- Si je t'aime, si je t'aime ! Ô la jolie fleur, la jolie fleur ! Ah, mon amie, sa languette qui se tend vers la mienne, en travers de tes cuisses, ah, je suis à bout, à bout.- Attends, attends encore un petit peu..."Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.

  • av Frederic Bastiat
    185,-

    " Je vois avec plaisir que tu étudies ardemment l'anglais, mon cher Félix. Dès que tu auras surmonté les premières difficultés, tu trouveras dans cette langue beaucoup de ressources, à cause de la quantité de bons ouvrages qu'elle possède. Applique-toi surtout à traduire et à remplir ton magasin de mots, le reste vient ensuite. Au collège, j'avais un cahier, j'en partageais les pages par un pli ; d'un côté j'écrivais tous les mots anglais que je ne savais pas, et de l'autre les mots français correspondants. Cette méthode me servit à graver beaucoup mieux les mots dans ma tête. Quand tu auras fini Paul et Virginie, je t'enverrai quelque autre chose ; en attendant je transcris ici quelques vers de Pope pour voir si tu sauras les traduire. Je t'avoue que j'en doute, parce qu'il m'a fallu longtemps avant d'en venir là..."

  • av Frederic Bastiat
    172,-

    Vous avez bien raison de conserver votre calme. Outre que nous en aurons tous besoin, il faudrait que la tempête fût bien furieuse pour qu'elle se fît ressentir a Mugron. Jusqu'ici Paris jouit de la tranquillité la plus parfaite, et ce spectacle est, à mes yeux, bien autrement imposant que celui du courage dans la lutte. Nous venons d'assister à la cérémonie funèbre. Il me semble que tout l'univers était sur les boulevards. Je n'ai jamais vu tant de monde. Je dois dire que la population m'a paru sympathique mais froide. On ne peut lui arracher des cris d'enthousiasme. Cela vaut peut-être mieux, et semble prouver que le temps et l'expérience nous ont mûris. Les manifestations emportées ne sont-elles pas plutôt un obstacle à la bonne direction des affaires ? ...

  • av Apulée
    172,-

    Florides est un recueil de passages des discours d'Apulée en quatre livres. On n'en a conservé qu'une version fortement résumée par un écrivain de l'Antiquité. Elle consiste en 23 extraits de textes de longueurs variées. La version résumée pouvait sans doute servir aux besoins de sujets pour l'enseignement de la rhétorique. Son auteur était peut-être le maître de rhétorique de la fin de l'Antiquité, Crispus Salustius, qui a été actif à la fin du IVe siècle.

  • av Apulée
    160,-

    " Il y a des divinités intermédiaires qui habitent entre les hauteurs du ciel et l'élément terrestre, dans ce milieu qu'occupe l'air, et qui transmettent aux dieux nos désirs et les mérites de nos actions: les Grecs les appellent démons. Messagers de prières et de bienfaits entre les hommes et les dieux, ces démons portent et reportent des uns aux autres, d'un côté les demandes, de l'autre les secours ; interprètes auprès des uns, génies secourables auprès des autres, comme le pense Platon dans son Banquet, ils président aussi aux révélations, aux enchantements des magiciens, à tous les présages. Chacun d'eux a ses attributions particulières. Ils composent les songes, découpent les victimes, règlent le volet le chant des oiseaux, inspirent les devins, lancent la foudre, font briller les éclairs, et s'occupent enfin de tout ce qui nous révèle l'avenir : toutes choses que nous devons croire commandées par la volonté, la providence et les ordres des dieux, et accomplies par le soin, l'obéissance et le ministère des démons."

  • av Edmond About
    246,-

  • av Edmond About
    234,-

  • av Frederic Bastiat
    185,-

  • av Henri Murger
    209,-

  • av Frederic Bastiat
    172,-

  • av Frederic Bastiat
    172,-

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