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  • av Albert Gaudry
    172,-

    En 1853, au retour d'un voyage en Orient, je m'arrêtai dans la ville d'Athènes. Les Grecs d'aujourd'hui, avides de nouvelles comme au temps d'Alcibiade, s'entretenaient des animaux fossiles découverts près du mont Pentélique. Jusqu'au milieu du siècle dernier, ces êtres anciens auraient été rangés au nombre des victimes du déluge biblique. Il est maintenant reconnu que le grand cataclysme dont parlent nos livres saints fut étranger à l'enfouissement de la plupart des animaux ou des plantes que nous trouvons dans le sein de la terre. Les fossiles sont les restes de ces générations de plantes et d'animaux qui apparurent et disparurent successivement pendant la durée des âges antérieurs à la création de l'homme...

  • av Voltaire
    184,-

    Candide oder der Optimismus (französisch Candide ou l'optimisme) ist eine 1759 unter dem Pseudonym Docteur Ralph erschienene satirische Novelle des französischen Philosophen Voltaire. Im Jahr 1776 erschien eine deutsche Übersetzung unter dem Titel Candide oder die beste aller Welten.

  • av Vladimir Vernadsky
    220,-

    ... La face de la Terre révèle la surface de notre planète, sa biosphère, ses régions externes, régions qui la séparent du milieu cosmique. Cette face terrestre devient visible grâce aux rayons lumineux des astres célestes qui la pénètrent, du Soleil en premier lieu. Elle reçoit de tous les points des espaces célestes un nombre infini de rayonnements divers, dont les rayonnements lumineux visibles pour nous ne forment qu'une part insignifiante. Nous ne connaissons jusqu'à présent qu'un petit nombre des rayonnements invisibles. Nous commençons à peine à nous rendre compte de leur variété, à comprendre combien nos représentations du monde de ces rayonnements qui nous environnent, nous pénètrent dans la biosphère, sont défectueuses et incomplètes, à nous rendre compte de leur importance fondamentale dans les processus ambiants, importance presque insaisissable pour notre esprit habitué à d'autres tableaux de l'Univers...

  • av Hippolyte Mettais
    251,-

    Le héros est un historien, résident de la civilisée république de Caucasie, qui voyage à la recherche de la mythique ville de Paris. En 5865, beaucoup de connaissances se sont perdues au fil du temps, de la dérive des continents, des changements climatiques et des multiples guerres qui ont transformé la géographie et les zones d'influence sur la Terre...

  • av Herman Melville
    245,-

    ¿ Mehr als drei Jahre sind verflossen, seitdem sich die Ereignisse zugetragen, die ich in diesen Bänden erzähle. Die Zwischenzeit mit Ausnahme der letzten paar Monate habe ich meist auf dem weiten schwankenden Meere zugebracht. Seeleute sind heutzutage die einzigen Menschen, die irgend abenteuerliche Dinge erleben; und Vieles, was Ofenhockern fremdartig und romantisch erscheinen würde, ist ihnen so alltäglich, wie ein Loch am Ärmel. Aber, trotz der Vertrautheit der Seeleute mit jeder Art von Abenteuer, haben die nachstehenden Erzählungen, wenn sie ¿als Garn gesponnen" wurden, nicht nur manche langweilige Nachtwache verkürzt, sondern auch das lebhafteste Interesse bei des Verfassers Schiffsgenossen erregt. Dies hat ihn veranlaßt, das vorliegende Buch zu schreiben, weil er annehmen darf, daß es die Leser, die weniger mit Abenteuern vertraut sind, als der Seemann, noch mehr unterhalten wird..."

  • av Georges Rodenbach
    184,-

    Hugues, veuf inconsolable, a gardé comme des souvenirs tout ce qui peut lui rappeler son épouse Geneviève, en particulier ses vêtements et sa chevelure. Il a cru la retrouver en Jane, une actrice dont il a fait sa maîtresse. Mais ce mirage va le pousser au crime...

  • av H. J. Magog
    208,-

    L'étoile Myrrha fonce droit sur la terre. Pour la communauté scientifique du monde entier, il y a peu de doutes: il sera impossible d'esquiver le choc et ce sera la fin de la Terre. Certains gardent toutefois espoir, comme l'illustre savant Marius Trigone. Celui-ci décide ce vivre l'événement depuis les airs. Accompagné de sa petite-fille Miette,...

  • av H. J. Magog
    208,-

    James Oldsilver, jeune milliardaire fou amoureux de Miss Perle, décide de faire du cinéma pour se rapprocher de sa belle. Ils tournent de nombreux films ensemble, mais miss Perle ne tombe pas amoureuse de lui et se moque même de son empressement. Un jour, dépité, il rentre à la maison et reçoit un coup de fil énigmatique l'appelant au secours. À partir de là tout va s'enchaîner...

  • av Simone Weil
    184,-

    La période présente est de celles où tout ce qui semble normalement constituer une raison de vivre s'évanouit, où l'on doit, sous peine de sombrer dans le désarroi ou l'inconscience, tout remettre en question. Que le triomphe des mouvements autoritaires et nationalistes ruine un peu partout l'espoir que de braves gens avaient mis dans la démocratie et dans le pacifisme, ce n'est qu'une partie du mal dont nous souffrons ; il est bien plus profond et bien plus étendu...

  • av Simone Weil
    245,-

    ... Il y a dans le travail des mains et en général dans le travail d'exécution, qui est le travail proprement dit, un élément irréductible de servitude que même une parfaite équité sociale n'effacerait pas. C'est le fait qu'il est gouverné par la nécessité, non par la finalité. On l'exécute à cause d'un besoin, non en vue d'un bien ; parce qu'on a besoin de gagner sa vie , comme disent ceux qui y passent leur existence. On fournit un effort au terme duquel, à tous égards, on n'aura pas autre chose que ce qu'on a. Sans cet effort, on perdrait ce qu'on a...

  • av Simone Weil
    233,-

    La notion d'obligation prime celle de droit, qui lui est subordonnée et relative. Un droit n'est pas efficace par lui-même, mais seulement par l'obligation à laquelle il correspond ; l'accomplissement effectif d'un droit provient non pas de celui qui le possède, mais des autres hommes qui se reconnaissent obligés à quelque chose envers lui. L'obligation est efficace dès qu'elle est reconnue. Une obligation ne serait-elle reconnue par personne, elle ne perd rien de la plénitude de son être. Un droit qui n'est reconnu par personne n'est pas grand'chose...

  • av Simone Weil
    184,-

    L'humanité a commencé, comme chaque homme commence, par ne posséder aucune connaissance, hors la conscience de soi et la perception du monde. Cela lui suffisait, comme cela suffit encore aux peuples sauvages, ou, parmi nous, aux travailleurs ignorants, pour savoir se diriger dans la nature et parmi les hommes autant qu'il était nécessaire pour vivre. Pourquoi désirer plus ? Il semble que l'humanité n'aurait jamais dû sortir de cette heureuse ignorance, ni, pour citer Jean-Jacques, se dépraver au point de se mettre à méditer...

  • av Jacques D'Icy
    220,-

    ... Elle est merveilleuse ! Quels beaux seins ! Elle me les fait tâter, ils sont durs comme des oranges, dont ils ne dépassent pas la grosseur. Son ventre est jeune comme le mien. Mais le triangle dont le sien s'orne en bas est noir, noir comme du jais.Elle se tourne, me fait voir sa croupe. Elle veut que j'y touche... Un marbre ! Elle en a des fesses !On reste à s'admirer dans la glace. Elle m'enlace, on prend des poses. Vrai, ce qu'on est bien faites, toutes les deux.

  • av Renée Dunan
    196,-

    Aurélia Marcia, épouse de Caïus Julius César, descendit lentement de sa litière. Lourde et boursouflée, elle tendait, dans une démarche hautaine, son ventre proéminent. Un Grec dépenaillé qui la regardait, toucha aussitôt, devant le mauvais présage de cette grossesse, l'amulette phallique suspendue à son cou, puis se précipita parmi la foule ahanante qui assiégeait les portes du Cirque Maxime. Aurélia Marcia, autour de qui fluait un peuple sans élégance, vit l'outrage et sentit plus lourde à ses flancs la vie qu'elle portait en elle. Un instant lui vint le regret du caprice qui la menait en ce lieu, pour assister aux courses de chars. Qu'elle serait mieux, allongée sur son lit, dans l'ombre fraîche de sa chambre, derrière la paisible Palatin que ses esclaves venaient de gravir et de redescendre !...

  • av Jose Moselli
    159,-

    Deux savants danois, le géologue Ottar Wallens et l'astronome Olaf Densmold, partent explorer le pôle Sud. Au cours de leur périple, ils rencontrent un habitant de la planète Mercure échoué avec son vaisseau dans l'Antarctique. Les trois individus tentent alors avec grande difficulté d'établir une communication.

  • av Renée Dunan
    172,-

    ... Rien ne serait plus beau que la lutte contre l'instinct sexuel, si celui-ci n'était pas la réalité même de l'être. Une pensée humaine ne doit pourtant pas chercher d'équilibre ailleurs que dans son propre domaine vital. Lutter contre la peur, contre les défaillances animales du corps, contre les emportements de la colère, de la haine, de la cupidité, ce sont là choses saines. Elles se résument dans un contrôle loyal des impulsions instinctives. On est un homme - ou une femme - de valeur morale supérieure lorsqu'on y atteint. Mais lutter contre l'amour, quelle absurdité !...

  • av Renée Dunan
    172,-

    ... Elle me dévisageait, le torse cambré, la croupe tordue, les mains ouvertes sur ses seins, avec une provocante attitude qui témoignait, chez cette fille de prince, en faveur d'excellentes dispositions prostibulaires. Cela me fit réfléchir. Je ne voulais pas que la fille du prince Arpad se fit enlever en pleine capitale par un quelconque rôdeur, et qui plus est, dans ma compagnie. Les femmes de mon pays ont une burlesque renommée de cuisses légères dont il me fallait garder méfiance. Renommée cocasse s'il en fut, surtout dans des pays comme l'Europe centrale, où, en dix minutes d'éloquence s'il est pauvre, en trente secondes s'il est riche, un homme qui n'est ni gibbeux, ni bancal, ni eczémateux, peut obtenir de lever n'importe quel jupon. Mais, sans nul doute, on m'accuserait d'avoir débauchée Ida...

  • av Rene Boylesve
    172,-

    ...J'avais tout juste mis les pieds dans cet endroit, qu'un certain air des visages acheva de m'enlever tout scrupule touchant ma façon de quitter le saint Concile. Et, ayant le goût de la morale, je me permis cette réflexion : Bien que j'aie lâché son vicaire, je serai plus près de Notre Seigneur ici, parmi des figures honnêtes. Dans l'instant même, j'aperçus celle d'une demoiselle de la meilleure tournure, qui me plut extrêmement, et, par malheur, ne fit pas dehors trois enjambées, qu'elle était déjà rentrée dans une maison de bonne apparence...

  • av Renée Dunan
    172,-

    ... Lorsque j'ai connu René Boylesve, il lui advint de me parler de son renom et de sa vente. Je reviendrai là-dessus. En tout cas, il pouvait rentrer dans la classe de ces auteurs qui, faute de savoir se montrer dangereux - car alors on vous respecte par crainte -, faute de savoir intriguer pour se faire rendre justice, et parce que les critiques notables les tiennent pour des artistes sans relief, restent dans l'ombre de leur vivant. Il est entendu au demeurant que l'ombre, en France, appartient de droit au talent. Victor Hugo eut un mal infini à percer, et l'Académie l'élut à sa cinquième candidature...

  • av H. J. Magog
    196 - 208,-

  • av Renée Dunan
    172,-

    ... La Belle-aux-seins-rouges était une femme jeune et de face ardente. Sa renommée allait loin sur la côte méditerranéenne, car elle portait bonheur à ses amants. Elle tenait son nom d'une large tache de sang - ce que les gens du commun nomment une envie - qui lui couvrait la moitié de la poitrine. Quand la Belle se moquait de quiconque, il devenait ridicule pour le reste de sa vie, à moins qu'il ne quittât Toulon ou pût tuer un des rieurs. Car la gaieté générale accompagnait toujours l'hilarité de la Belle-aux-seins-rouges...

  • av Renée Dunan
    172,-

    ... Elle était donc étalée dans son lit, pareille à une Danaé venant de recevoir la pluie d'or, et qui calculerait sa valeur marchande. Elle ressemblait encore, si vous voulez, à la belle O'Morphi, après que le roi Louis Quinzième lui avait fait... des amabilités. Ses seins droits avaient des sommets amarante. Ils affectaient la forme même de ces coupes élégantes où les empereurs romains buvaient le Cecube ou le Falerne - vins louables -. Sa taille mince s'évasait en un élargissement ample et majestueux, qui eut évoqué aux yeux de Jupiter, dieu lascif, cette Europe qu'il aima génisse, dit la mythologie. Ses jambes longues, bien cambrées au mollet, avec leurs cuisses robustes et musclées, auraient enfin séduit un sculpteur désireux de figurer cette Atalante qui fut une bonne coureuse, au même titre que nos aimables championnes de cross-country, et dont les poitrines plaisantes apprennent à s'agiter sur le rythme ternaire de l'amble pour premiers prix...

  • av Renée Dunan
    196,-

    Louise, fille du marquis de Bescé, découvre la sexualité, par un soir d'été, en surprenant un couple de paysans, puis son frère et sa maîtresse. Fuyant une expérience décevante avec son fiancé, elle s'enfuit à Paris. Mais s'ensuit alors une succession de petits boulots mal payés et le tribut en pratiques sexuelles exigé d'une jeune femme pour conserver son emploi. Alors autant se vendre, décide-t-elle ! Et être une hétaïre souverainement perverse, experte et célèbre ...jusqu'à son mariage où elle deviendra présidente de la Ligue pour la chasteté avant le mariage.

  • av John Ferguson
    196,-

    Le jeune Dr Abercromby, terminant ses études de médecine à Aberdeen et Paris, a décidé de passer quelques temps à Berlin pour comparer la thérapeutique allemande des maladies nerveuses avec celle de Paris. Au début des années 30, les Britanniques ne sont toutefois pas les bienvenus en Allemagne. Dans une brasserie Abercromby est moqué par les autres consommateurs mais ne s'en fait pas. Ce soir-là il se passe toutefois quelque chose d'insolite. Dans la salle du fond les conversations s'arrêtent net à son arrivée, un homme qui vient de rentrer le regarde intensément. Quand le nouveau venu sort accompagné par quelques personnes, Abercromby les suit. Une agression dans un parc, Abercombry intervient et se voit remettre un portefeuille par l'homme agressé...

  • av Antoine Bret
    184,-

    Le petit roman libertin que nous rééditons en ces pages eut, dès le jour de son apparition, un succès incontestable, quoique discret. Discret, car le livre ne méritait pas de retentissement, et que sans doute quelques contemporains, notoires dans les alcôves vénales, y étaient malignement égratignés. Incontestable, car de 1745 à 1803 il a reparu fréquemment sous des titres différents.

  • av Grand'Halte
    172,-

    " ... François Fard atteignait déjà le premier étage, lorsqu'il arriva sur le palier. Mais plus courageux que le jeune fiancé, il résolut de se vêtir sur-le-champ. Hélas, par la plus extravagante des fatalités, il possédait exactement sa veste, une robe en tissu éponge, une fine chemise de batiste, mais point de pantalon. Il demeura une minute atterré. Cependant, en honnête homme, il préféra descendre les cuisses au vent plutôt que de s'approprier une jupe ne lui appartenant pas. Il eut même l'attention de l'accrocher au bouton de la porte, où une voisine la chipa le lendemain matin..."

  • av Andréa de Nerciat
    263,-

    ... La jolie madame de Condoux, par une précaution contraire, et quoiqu'on ne la vît ni danser ni disparaître, donna beaucoup à penser à ceux qui remarquaient que dans une loge du haut, en dehors de laquelle on la voyait se pencher beaucoup, elle recevait coup sur coup des visites de gens appelés auxquels elle ne disait pourtant qu'un mot lorsqu'ils entraient, et presque rien quand ils faisaient retraite. Ce manége, qui n'avait peut-être au plus d'incivil que les apparences, avait duré toute la nuit...

  • av Andréa de Nerciat
    172,-

    Un valet d'auberge, chargé de jeter dans la boîte la première de ces lettres, et supposant, d'après le volume, qu'elle pouvait contenir quelque chose de mystérieux, la porta chez un jeune homme attaché, en sous ordre, à l'un des bureaux ministériels, et qui logeait dans l'hôtel. Ce commis, abusant de la circonstance, ouvrit le paquet ; mais au lieu de secrets d'État, il n'y trouva que des folies, qu'il transcrivit pour son amusement. Cette copie, qui a circulé, nous est parvenue, et c'est d'après elle que nous avons imprimé...

  • av Abbé Du Prat
    196,-

    " ... Elle alla frapper d'abord à la chambre de Pasithée, qui, faisant semblant de dormir, fut quelque temps à répondre. Enfin voyant qu'on continuait de frapper, et entendant la voix de madame, elle se leva promptement du lit et nous vint ouvrir la porte. L'abbesse lui dit d'un ton résolu qu'elle voulait faire à l'heure même une visite générale de tout le couvent, et qu'elle était assurée qu'il y avait un homme qui s'était caché en quelque part..."Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.

  • av Max Des Vignons
    196,-

    ... Il se complaisait à cette défloration morale, parce qu'il la trouvait jolie, avec ses petits seins ronds qui tendaient l'étoffe de la blouse, ses hanches dont la chair résistait sous la pression des doigts, ses cuisses fuselées qu'il se figurait tièdes et charnues. Quand il la serrait un peu plus fort, elle avait pour lui un regard languide qui disait tout son désarroi sensuel, toute sa rage effrénée de connaître entièrement le grand secret qui l'intriguait...

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