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DES QUERELLES ENTRE THOMISTES SUR LE BIEN COMMUN

Om DES QUERELLES ENTRE THOMISTES SUR LE BIEN COMMUN

Charles de Koninck est probablement le philosophe qui a le mieux parlé du bien commun parmi les thomistes, en ce sens qu'il a montré que le bien commun est le meilleur du bien particulier, en tant même qu'il est commun, à savoir en tant qu'il est aussi le bien d'un autre. Il a raison de cause finale, il appelle d'être aimé comme commun parce que sa communicabilité est indissociable de sa perfection. Mais de Koninck et les catholiques traditionalistes en général ¿ dont le Père Garrigou-Lagrange, qui subordonnait la société à la personne ¿ ne comprennent pas qu'un bien puisse avoir raison de cause finale sans être cause finale ultime. Il n'est qu'une manière cohérente de soutenir la supériorité intrinsèque du bien commun sur le bien particulier, et de conserver à celui-là, en tant que politique le privilège du statut de cause finale ; c'est d'établir que ¿ à la manière dont, analogiquement, un mobile est tout entier quoique non totalement dans chacun des moments intermédiaires de son mouvement ¿ la personne est tout entière quoique non totalement ordonnée au bien commun terrestre comme à sa fin, tout entière et totalement ordonnée au Souverain Bien qu'est la béatitude comme à sa fin ultime. Ce fascicule est un tiré à part de l'Annexe du livre Doctrine du Fascisme Catholique, en abrégé.

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  • Språk:
  • Fransk
  • ISBN:
  • 9782487104006
  • Bindende:
  • Paperback
  • Sider:
  • 66
  • Utgitt:
  • 12. juli 2023
  • Dimensjoner:
  • 127x5x203 mm.
  • Vekt:
  • 82 g.
  • BLACK NOVEMBER
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Beskrivelse av DES QUERELLES ENTRE THOMISTES SUR LE BIEN COMMUN

Charles de Koninck est probablement le philosophe qui a le mieux parlé du bien commun parmi les thomistes, en ce sens qu'il a montré que le bien commun est le meilleur du bien particulier, en tant même qu'il est commun, à savoir en tant qu'il est aussi le bien d'un autre. Il a raison de cause finale, il appelle d'être aimé comme commun parce que sa communicabilité est indissociable de sa perfection. Mais de Koninck et les catholiques traditionalistes en général ¿ dont le Père Garrigou-Lagrange, qui subordonnait la société à la personne ¿ ne comprennent pas qu'un bien puisse avoir raison de cause finale sans être cause finale ultime.
Il n'est qu'une manière cohérente de soutenir la supériorité intrinsèque du bien commun sur le bien particulier, et de conserver à celui-là, en tant que politique le privilège du statut de cause finale ; c'est d'établir que ¿ à la manière dont, analogiquement, un mobile est tout entier quoique non totalement dans chacun des moments intermédiaires de son mouvement ¿ la personne est tout entière quoique non totalement ordonnée au bien commun terrestre comme à sa fin, tout entière et totalement ordonnée au Souverain Bien qu'est la béatitude comme à sa fin ultime.
Ce fascicule est un tiré à part de l'Annexe du livre Doctrine du Fascisme Catholique, en abrégé.

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