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Ce nouveau livre, L'évolutionnisme théiste. Ses racines et ses conséquences, aborde l'évolution sous un angle autre que ne le fait l'Introduction apologétique au premier commandement. L'idole de notre temps : la science quantitative moderne, ouvrage, qui s'attaquait aux aberrations logiques et scientifiques d'une macroévolution à la fois naturaliste, matérialiste et athée.Le livre entre vos mains cherche par contre à réfuter un évolutionnisme religieux qui se prétendrait théiste ; cette théorie prouvant l'évolution du monde par l'action divine elle-même. Pour ce faire l'auteur remonte aux sources médiévales du nominalisme de Guillaume d'Occam - son rejet des universaux - qui, en détruisant les bases conceptuelles de l'ordre de l'univers, refuse toute stabilité à la réalité, en particulier aux espèces.Il débute par une suite d'aphorismes traitant des racines et des conséquences d'une évolution revêtant un masque religieux d'origine divine . Le lecteur est ainsi ramené à la source évolutionniste lointaine de bien des erreurs actuelles, théologiques, philosophiques et scientifiques.De telles aberrations religieuses proviennent de l'héritage volontariste, subjectif et idéaliste d'Occam. Elles aboutissent à une mystique vitaliste, autocréatrice, celle de cette évolution créatrice au c¿ur de la philosophie de Henri Bergson. C'est ainsi que l'évolutionnisme théiste en vient à refuser tout ordre à la création, aboutissant alors à une déstabilisation générale, dont celle d'une intelligence apte à comprendre le monde. La suite de l'ouvrage reproduit le débat de J.-M. Berthoud avec Henri Blocher et réfute, pour terminer, les positions contradictoires d'Alvin Plantinga qui, tout en rejetant le naturalisme scientiste, en vient à remplacer la Parole divine, en tant qu'ordonnatrice du réel, par le fantôme d'une évolution imaginaire.
L'auteur commence son ouvrage par rappeler un sujet important, plus que jamais sous attaque : l'autorité première de la Bible. En effet, il développera la défense du thème qui l'intéresse se basant premièrement sur cette autorité ultime (extérieure à la sienne propre), la Parole de Dieu. Ceci à l'exemple du Christ qui, lors de son séjour parmi nous, déclarait que si ce qu'il affirmait n'avait pour unique source que sa seule personne, ses paroles n'avaient pas de valeur absolue. C'est pour cela qu'Il proclama à de nombreuses reprises que son enseignement lui avait été transmis par son Père céleste (Jean 8). Il est Lui-même la Parole de Dieu envoyée par Dieu sur terre. Jean-Marc Berthoud cite ici Thomas d'Aquin qui affirma : De tous les arguments, celui qui se base sur la Bible est le plus fort, parce qu'il s'appuie sur Celui qui se trouve être, en sa Personne divine, l'autorité ultime, suprême et infaillible, qui ne saurait ni mentir ni se tromper. Après cette démonstration, l'auteur présente de nombreux passages de la Bible, pour défendre le thème de ce livre : la terre ne se meut pas .Dans son troisième point, il relèvera le fait que la science la plus pointue ne parvient pas à prouver la mobilité de la terre. Puis il mettra en lumière les enjeux théologiques et métaphysiques du débat entre le géo¬centrisme et l'héliocentrisme dont - selon l'astronome Gerardus Bouw - le moteur, son principe et son modèle conceptuel a été d'exclure Dieu de sa propre création [...] , donc de la science elle aussi.Dans les Annexes, Berthoud reproduit des textes d'auteurs divers, dont des scientifiques chevronnés et des philosophes, allant dans ce sens. Ils nous font comprendre l'importance de cette question qui à la longue en vint à bannir Dieu et sa Parole de toute notre culture.
Trois formes de relâchement peuvent conduire au déclin et à la disparition des Églises : la tolérance des erreurs théologiques ; celle du péché moral ; et ce fléau, souvent ignoré car méconnu, la culture inconsciente de l'impureté.Si le péché moral et l'erreur hérétique constituent des maux bien distincts, il n'en va pas de même de l'impureté qui, comme la médiocrité, est une habitude, qui à la longue, étouffe toute vérité et toute vertu. Pourtant la Bible parle souvent de l'impureté, tant dans l'Ancien que dans le Nouveau Testament. L'impureté concerne des écarts par rapport aux lois bibliques sur les désordres de l'ordre créationnel, surtout en ce qui concerne la nourriture, la sexualité et, ce désordre ultime : la mort.Il ne s'agit pas de péchés explicites, tel un meurtre, un vol ou la fornication qui connaissent leur châtiment approprié, mais du contact avec ce qui rend impur. Tout contact avec le monde diabolique rend impur. Il en va de même pour la pornographie (forcer des enfants à contempler, puis à pratiquer des actes pervers propres à l'éducation sexuelle). Il en est ainsi de tout contact avec des cadavres, même lors de l'autopsie. Cette impureté médicale cautérise la conscience de bien des médecins les rendant insensibles au meurtre d'embryons qu'ils pratiquent par avortement.Car le propre de toute impureté est de brouiller nos rapports avec Dieu, nous rendant insensibles au mal. L'homme pécheur est alors désarmé devant ces influences nocives. L'union du croyant au Christ, c'est-à-dire à sa pureté, le protège de l'impureté.Pour conclure, écoutons la Bible :Or, tout ce que Dieu a créé est bon, et rien n'est à rejeter, pourvu qu'on le prenne avec actions de grâces, car tout est sanctifié [rendu pur] par la parole de Dieu et par la prière.(I Timothée 4 : 4-5)
Cette Introduction aux Dix commandements sous la forme de prédications suivies est le complément du livre de Jean-Marc Berthoud consacré à la Loi de Dieu : Apologie pour la Loi de Dieu, paru pour la première fois en 1996 aux Éditons L'Âge d'Homme à Lausanne. Depuis, il a été traduit en brésilien et en anglais. Il s'agissait d'une introduction progressive à la Loi divine, suivie d'une série d'études apologétiques contre l'antinomisme protestant.Il n'en va pas de même pour cet ouvrage qui vient compléter le premier essai de notre auteur. En onze petits chapitres - prédications données en 2001-2002 -, il traite de diverses réponses théologiques et éthiques élaborées au cours des siècles pour rendre mieux compte du rôle de la loi de Dieu dans le dessein créateur, providentiel et rédempteur de Dieu. Les premiers quatre chapitres étudient de près le don au Sinaï de la loi à Israël. C'est par cette grâce divine que ce peuple devint une nation. Le livre de l'Exode décrit le caractère allianciel de la rencontre de Dieu avec son peuple.Les chapitres suivants évoquent des questions théologiques devenues classiques : les quatre aspects de la loi : éternelle, naturelle, humaine, révélée (ch. 5) ; les trois modalités de la loi : la théonomie, l'antinomie, l'autonomie (ch. 6) ; la portée actuelle de la loi judiciaire (ch. 7) ; les trois usages de la loi divine : politique, comme norme ultime du droit ; pédagogique, conduisant le pécheur au Christ ; didactique, comme lumière sur le sentier du fidèle (ch. 8). Puis nous découvrons l'ordre suprême : Aimer Dieu de tout son c¿ur et son prochain comme soi-même . Cet amour débouche sur la question : De qui suis-je donc le prochain ? (ch. 9 et 10). Enfin est évoqué (au ch. 11) ce dispensationalisme , sommet théologique de l'antinomie, du rejet par l'homme de toute loi divine. Ces structures légales donnent forme aux rapports de la loi à Jésus-Christ, le Législateur et Rédempteur de la nation d'Israël et à l'ordre de la création. Ce livre complète admirablement l'Apologie pour la Loi de Dieu et ouvre le chemin aux Volumes consacrés à l'étude du Décalogue à la lumière de toute l'Écriture afin de nourrir l'intelligence et l'action du peuple de Dieu en ce monde.
Ce petit livre sur un sujet d'une grande importance eut son origine lors de la participation de l'auteur à une conférence internationale de philosophes calvinistes au début des années 1980 à Zeist aux Pays-Bas. On lui offrit alors un livre d'entretiens de Jacques Ellul avec une journaliste, ouvrage traitant très librement et avec une grande franchise du cheminement personnel et intellectuel de ce remarquable penseur français de conviction protestante d'une renommée internationale. Le but était d'en faire une ample recension. Il en est sorti la première partie de ce livre, un compte-rendu d'abord publié dans La revue réformée, texte où l'on décrit le parcours intellectuel de Jacques Ellul. On y voit les paramètres personnels qui ont conduit Ellul à devenir l'un des auteurs protestants francophones les plus prolifiques et souvent les plus perspicaces de sa génération. Il fut d'abord marqué par une expérience religieuse très forte qui le conduisit à étudier la pensée de Jean Calvin. Les circonstances très difficiles de sa jeunesse, où il fut appelé à subvenir aux besoins de ses parents, le mena à découvrir la pensée de Karl Marx. Ce dualisme de positions si contraires fut résolu pour lui par la découverte de la dialectique de Karl Barth, lui permettant pour un temps de résoudre le conflit si violent au c¿ur de sa pensée. Par la suite, son sociologisme marxisant eut le dessus et sa pensée chrétienne devint de plus en plus fantaisiste. Les deux dernières parties de ce livre examinent les effets désastreux qu'eut sur son éthique et son exégèse l'irrationalité de la dialectique barthienne. Elles eurent pour origine une demande faite à l'auteur de compléter son premier écrit biographique, cela pour un volume collectif consacré à l'¿uvre de Jacques Ellul. L'ampleur de ces études ne permit pas qu'elles soient publiées dans ce volume. L'influence de l'irrationalisme barthien rendit impossible pour lui de pratiquer une exégèse fidèle aux Écritures ainsi que la formulation d'une éthique conforme à la Loi de Dieu et à l'ordre stable de la création. Terminons par une citation tirée d'une lettre récente d'un pasteur américain, Joel Saint qui écrit : Votre texte fait comprendre au lecteur, non seulement que l'approche dualiste, pourrait-on dire, même schizophrène de Jacques Ellul, n'est pas seulement indéfendable par rapport à la Loi de Dieu mais est une source de danger mortel pour l'Église de Jésus-Christ.
Le troisième volume de ce commentaire de l'Apocalypse de Jésus-Christ, Les deux témoins, le dragon et ses deux bêtes. Les coupes de la colère de Dieu, nous fait entrer au c¿ur du combat gigantesque qui oppose Jésus-Christ et son Église, aux puissances du mal si actives dans l'histoire des hommes : le Dragon (ou le diable) et ses deux acolytes funestes, la première bête, un pouvoir totalitaire et la seconde une culture universelle animée par le mensonge sous toutes ses formes. Les deux premiers volumes donnent toute leur ampleur au cadre de ce commentaire. D'abord La Royauté du Christ sur son Église où nous avons d'abord la vision du Christ en gloire, puis les Sept lettres qu'il adresse aux Églises dont la sanctification et la victoire sont au c¿ur de ce livre.Le second volume, L'ouverture du ciel, les sceaux et les trompettes, par des visions grandioses, dresse le cadre de cette bataille, la relation du ciel et de la terre, combat prodigieux des puissances célestes aux forces de la terre. Ce troisième volume cherche à faire comprendre ce combat. Face aux deux témoins de l'Évangile de Jésus-Christ - l'esprit de la prophétie - se trouve le Dragon et ses deux alliés, la bête qui monte de la mer et qui domine les nations, et celle qui ayant l'aspect d'un agneau parle comme le Dragon. Il s'agit ici de l'esprit de mensonge répandu sur notre monde. Ce livre se termine avec les sept coupes de la colère de Dieu qui ouvre la voie à la destruction du mal, des méchants et la rédemption du peuple de Dieu. Cette multiplication de tableaux, aussi majestueux que terribles, aboutit avec les chapitres 15 et 16 au troisième et dernier septénaire. Sceaux, Trompettes sont suivis des sept derniers jugements, les coupes de la colère de Dieu contre le mal. La prophétie aboutit au jugement dernier, illustré par la chute de Babylone (ch. 17 et 18). Puis vient la victoire du Christ sur les deux bêtes et sur le Dragon lui-même (ch. 19 et 20). Le chapitre 20, (le millénium), donne l'ultime synthèse récapitulatrice de l'histoire de l'Église. L'Apocalypse de Jésus-Christ se termine par la disparition d'un cosmos irrécupérablement corrompu et la manifestation de la nouvelle Jérusalem, l'Église dans toute sa splendeur ainsi qu'une nouvelle terre et de nouveaux cieux où, enfin, la justice habitera. Cela sera l'objet, Dieu voulant, d'un quatrième volume.
La vision biblique du monde n'est pas qu'individuelle, ni même uniquement communautaire. Une notion qui a rendu un grand service dans la discussion des relations de la foi chrétienne et de la société est celle des nombreux corps intermédiaires indépendants placés entre l'État et l'individu. Ces corps sont tous des institutions issues de l'ordre créationnel :- L'individu ne peut guère vivre de manière uniquement indépendante, car il appartient par sa nature même à une famille. Ce sont ces familles qui fondent les corps intermédiaires entre l'individu et l'État. En voici quelques-uns :- L'entreprise - une ferme, un commerce, une industrie, comme l'ensemble des institutions libres - sont des corps intermédiaires.- L'État se subdivise en État national, province ou canton. Les communes sont constituées de familles.- Il en va de même pour l'Église qui, d'une communauté nationale ou internationale se subdivise en corps régionaux et en églises ou paroisses locales.- Cette différenciation en diverses communautés est attestée par la Bible.- Cet ouvrage traite d'un aspect de la vie en société - celle des nations - dont la Bible parle souvent et de manière si bien articulée qu'il est possible d'en retirer une pensée théologique et sociale cohérente. Il s'agit de la réalité des nations et de leur place dans le plan de Dieu. D'où le titre de ce livre : La Bible et les nations. Et son sous-titre : Ébauche d'une théologie biblique des nations.- Pour vous donner une idée du contenu de cet ouvrage le mieux est de citer quelques-uns des thèmes qui y sont traités à partir de la Bible et de l'histoire des nations. 1) Dieu, le créateur des nations. 2) Origine des nations. 3) Constitution et caractère des nations. 4) Les nations tentées par la domination du monde : Babel et la bête ! 5) Israël et les nations. Qui sont les goyim ? 6) Le Nouveau Testament confirme l'identité et la permanence des nations. 7) Le rôle des nations dans la Providence divine. 8) Le rôle céleste des nations dans la restauration de toutes choses.À ces questions de fond s'ajoutent plusieurs annexes historiques et politiques, anciennes et contemporaines, illustrant par de nombreux documents la pertinence de la Bible pour une bonne compréhension du rôle des nations dans la vie du monde.Vous y trouverez un texte datant de l'an 2000 traitant aux États-Unis du thème suivant : Le caractère intrinsèquement anti-chrétien de la politique étrangère américaine : Inter-nazisme ou Inter-communisme ?
Ce petit livre de 120 pages est divisé en cinq chapitres. Il traite de l'enseignement de la Bible sur une institution capitale dans la vie d'Israël, la dîme, qui jouera au cours des siècles un rôle important, tant pour l'Église que dans la vie des nations chrétiennes. Il y est d'abord question, dans un premier chapitre, d'Abram, celui qui fut le père de la dîme en l'offrant, lors de sa victoire sur les rois maraudeurs venus d'Orient, au roi mystérieux de Jérusalem, Melchisédek. Divers passages de l'Ancien comme du Nouveau Testament (les Psaumes et la lettre aux Hébreux) laissent entendre que ce roi était le précurseur du Messie d'Israël, Jésus-Christ que la Bible appelle aussi : roi et prêtre selon Melchisédek. Puis il s'agit, dans un second chapitre, des trois dîmes principales de la Loi divine, celles que Jésus-Christ appelle ce qu'il y a de plus important 1) celle du droit (pour soutenir les prêtres en Israël) ; 2) celle de la miséricorde (due aux pauvres) ; et, enfin 3) la dîme de la fidélité (qui permettait de célébrer dignement les trois grandes fêtes annuelles lors de la montée en pèlerinage du peuple de Dieu au temple de Jérusalem). Il s'agissait donc pour les juifs de manifester par ces trois dîmes leur joie et leur reconnaissance envers Dieu pour son salut (en rendant possible le culte rendu par les prêtres à Dieu) ; le faire avec amour (en se souvenant des malheureux) ; et de se réjouir ensemble par ce pèlerinage de la montée, trois fois l'an, du peuple de Dieu à Jérusalem. La partie la plus originale de ce livre traite, dans un quatrième chapitre, de la manière dont l'Église des apôtres intégra ces trois dîmes dans sa vie communautaire. Pour terminer, il est question au chapitre cinq de considérer comment l'Église post-apostolique sut les appliquer et des leçons que nous pouvons tirer, tant pour l'Église actuelle que pour la vie publique de notre temps.
Ce livre de 530 pages est consacré au huitième commandement : Tu ne voleras pas. Cette parole du Décalogue est lue à travers l'enseignement de toute la Bible et appliquée à nos réalités. Ces vingt chapitres sont donc une lumière pour un temps de confusion - le nôtre - dans tous les domaines, dont celui de l'économie. On y découvre que la racine de nos maux est l'oubli de Dieu et de ses lois. L'oubli de la lumière divine - la Loi et l'Évangile - conduit les hommes et les nations au chaos révélateur de l'absence de Dieu et à son jugement. Comme le disait le Cardinal Pie : Si le Seigneur ne gouverne pas par Sa présence, Il gouvernera par Son absence . Cette absence se voit partout dans la vie sociale, mais surtout en ce qui concerne l'argent et l'économie, là où règne une confusion sans nom. À l'absence de Dieu, à ce néant conceptuel et pratique, peut répondre le renouveau d'un retour au Seigneur Dieu, à Jésus-Christ et à l'obéissance à ses lois : retour à un ordre qui rend la vie.
De quoi s'agit-il dans ce livre ? Ce livre, Apologie pour la Loi de Dieu, a comme sous-titre : Introduction aux Dix Commandements, c'est-à-dire aux volumes que nous consacrons à l'étude détaillée des dix paroles du Décalogue. Il fut pourtant rédigé au cours des années 1980 et 1990 et publié en février 1996 aux Éditions L'Âge d'Homme à Lausanne. Il s'agit d'une série d'ouvrages en voie de publication dont celui consacré au huitième commandement est disponible. Ces études furent en premier lieu prononcées comme prédications mensuelles à l'Assemblée évangélique de Sion, cela au cours de douze années et demie, du 11 février 2001 au 16 juin 2013. Nous remercions le pasteur André Rentmeister pour la confiance avec laquelle il accorda si longtemps à l'auteur l'hospitalité de la chaire dont il était responsable. Une première partie, comprenant une douzaine de chapitres relativement courts, présente la Loi divine de manière simple afin de mieux en faire comprendre la portée véritable. Ils montrent, contrairement à des opinions erronées largement répandues, que la Loi divine résumée par les dix paroles du Décalogue n'est d'aucune manière opposée à une conception, tout à la fois chrétienne et raisonnable, de l'amour, de la liberté, du salut, de la grâce, de cette loi naturelle qui est l'ordre stable de la création, de la conscience humaine, de l'alliance divine avec les hommes, de l'ordre législatif juste. Nous y montrons également que cette bonne, sainte et juste Loi n'est autre qu'une figure de Celui qui est le Juste par excellence, notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ que nous confessons être, en une seule Personne divine, le Fils éternel de Dieu, incarné en Jésus de Nazareth. La suite du livre, en des chapitres plus amples, en vient d'abord à décrire le caractère de cette Loi - distincte, mais inséparable de la Grâce de Dieu -, son rôle et sa signification au c¿ur de toute la théologie chrétienne, cela tant pour l'Ancien que pour le Nouveau Testament. Finalement, par une série d'études ponctuelles, il évoque la nature des adversaires innombrables de la Loi de Dieu qui, aujourd'hui comme par le passé, cela au sein comme hors du Christianisme, cherchent à en falsifier la nature et à en détruire l'influence. Cet ouvrage sert donc - mieux que son auteur ne l'imaginait lors de sa première publication - à ouvrir toute grande la porte aux volumes qui étudient les Dix Paroles du Décalogue et dont il fut, il y a vingt-cinq ans, les prémices !
La grande attention portée sur l'individu et son vécu que l'on observe dans nos sociétés modernes dites avancées n'est pas sans influencer la théologie. Alors que d'innombrables ouvrages traitant de la quête spirituelle individuelle paraissent chaque année, les livres relatifs à des sujets moins directement centrés sur l'individu et ses besoins se raréfient. L'Alliance de Dieu va à l'encontre de cette tendance. S'il n'est pas sans toucher à la manière dont la spiritualité personnelle est vécue, cet ouvrage part d'un point de vue plus objectif : la manière dont le Dieu infini et personnel se révèle à sa création. Car tel est l'enjeu principal de la théologie de l'Alliance : comment le Dieu trinitaire qui transcende totalement sa création, s'approche-t-il de celle-ci - et plus particulièrement des hommes - pour s'y révéler ?Sans être un livre de théologie systématique - puisqu'il s'agit d'une série de prédications -, l'Alliance de Dieu aborde avec clarté et vigueur les principaux aspects de son sujet. L'auteur de cet ouvrage manifeste également un souci constant de compréhension historique des textes étudiés et d'application des vérités révélées aux réalités présentes. Le lecteur n'a donc jamais l'impression d'évoluer dans des sphères trop abstraites.Au fil des chapitres, le lecteur découvrira la richesse du sujet et sera conduit à réfléchir notamment aux trois thèmes suivants : 1. La nature et la structure de l'Alliance de Dieu (quelles personnes met-elle en présence, quelles en sont les caractéristiques principales, quels éléments la composent invariablement, etc.) 2. L'articulation entre l'Ancienne et la Nouvelle Alliance (assiste-t-on à une rupture radicale ou à une progression ? quels sont les enjeux liés à la manière dont on articule les deux Testaments ?)3. La question du baptême considérée comme sacrement de l'Alliance (avec les conséquences que cela a sur sa signification et son administration).
Le livre que vous consultez et le premier tome d'un Commentaire sur l'Apocalypse de Jésus-Christ en plusieurs volumes. Il s'intitule : La royauté du Christ sur son Église et traite des chapitres 1 à 3 de la Révélation reçue par Jean.Il s'agit de lire l'Apocalypse non seulement comme l'ultime Révélation de l'Écriture sainte, mais comme le dernier mot de Dieu à son Église et au monde.Il se veut être une lecture de l'Apocalypse à la lumière de la révélation biblique dont elle s'inspire dans toutes ses parties. En cela l'auteur suit la méthode des textes prophétiques bibliques eux-mêmes.Il s'agit partout - même dans ses aspects numériques - d'un symbolisme dont la source se trouve non seulement dans la Bible elle-même, mais aussi (comme toute l'Écriture) au sein d'un univers dont les sens multiples expriment l'ordre stable de la création et en manifestent l'intelligence inhérente.Car le sens de l'univers, créé et ordonné par Dieu, n'est pas, comme on le pense presque partout aujourd'hui, ni d'abord ni uniquement quantitatif - celui d'une mesure numérique univoque -, mais aussi (et partout) qualitatif. Car presque tous les aspects de ce monde portent en eux-mêmes un sens symbolique, à la fois réaliste et profondément rationnel, sens donné par le Créateur à toutes ses ¿uvres.Ceci est évident là où la Bible use d'images et de paraboles, langage symbolique qui - contrairement au symbolisme mathématique et ésotérique - est toujours intimement lié au sens intelligible premier du texte biblique, lu selon sa lettre, sens sémantique et grammatical. Une telle richesse de sens, une profondeur d'intelligence pareille ne pourra être trouvée dans les sciences quantitatives modernes, omnivores de tout sens et qui forment la pâture essentielle, mortelle et universelle des hommes instruits.Le sens du temps dans l'Écriture - et par-dessus tout dans son dernier livre, l'Apocalypse - n'est donc pas simplement linéaire, mais a un caractère récapitulatif, progressant de manière cyclique vers un contenu de sens complet.Enfin, si nous avons consacré autant de temps à l'étude des trois premiers chapitres de l'Apocalypse, c'est qu'ils nous présentent un Christ triomphant et son Église combattante, deux éléments qui forment l'arrière-plan de tout ce livre.Il nous reste à vous souhaiter une lecture éclairante qui fut pour son auteur un pèlerinage intellectuel et spirituel lumineux.
Notre temps est celui de la déperdition des religions classiques et, tout particulièrement en Occident, du Christianisme. Ce dernier, sous ses formes diverses, voit sa substance doctrinale et spirituelle se dissoudre, cela en faveur d'idéologies où, le plus souvent, c'est l'homme qui lui-même cherche à se substituer au Dieu véritable, Créateur et Sauveur. Un de ces cultes factices si répandus de nos jours n'est autre que la religion sans Dieu qui fait l'objet de ce petit livre : le culte des droits de l'homme. Nous y voyons l'homme s'arroger bien imprudemment un rôle, à proprement parler transhumain , se comportant tout à la fois comme créateur et comme sauveur, illusion qui n'est décidément pas à la hauteur de sa nature ! C'est bien le caractère parfaitement incompatible d'une pareille fausse religion humanitariste d'avec le Christianisme véritable que l'on cherche à démontrer ici. Nous vous souhaitons une lecture aussi réconfortante qu'éclairante.
Ce troisième tome de l'Histoire alliancielle de l'Église dans le monde conduit le récit de Jean-Marc Berthoud de l'époque glorieuse de Jean Calvin au déclin de la Réforme dû aux séductions des Lumières sans Dieu. Après Calvin, la période française mène l'auteur à présenter les figures attachantes de Théodore de Bèze, puis de Bénédict Pictet, ici le seul genevois de souche. Le XVIIe siècle fut marqué par des figures italiennes, Jean Diodati et la famille des Turrettini, Bénédict, son fils le grand François et le petit-fils, Jean-Alphonse, qui ¿uvra à défaire ce bel héritage. Les figures de Claude Brousson et d'Antoine Court témoignent de la diffusion de ce renouveau spirituel dans la France voisine, sous les feux de la persécution. Le livre se termine avec deux figures plus sombres : Pierre de La Ramée qui, par sa méthode binaire, sema les poisons d'une raison sans Dieu dans l'héritage de la Réforme, puis Comenius, héraut des utopies d'une Modernité révolutionnaire meurtrière.
Jean-Marc Berthoud, né en 1939 en Afrique du Sud, vit à Lausanne (Suisse). Auteur de nombreux articles et de plusieurs ouvrages, il est historien et défenseur de la foi chrétienne. Il a étudié l'histoire à Johannesburg, à la Sorbonne et à l'Université de Londres et fut, ayant exercé divers travaux manuels, libraire et directeur de collection à L'Âge d'Homme. Ce livre, L'Église au pied du mur. Le diagnostic toujours actuel d'Ésaïe, est constitué de onze prédications anciennes et d'une introduction nouvelle. L'examen minutieux des textes d'Ésaïe, prophète d'Israël d'il y a plus de 2800 ans, jette une lumière d'une clarté morale et spirituelle, politique et sociale prodigieuse sur notre temps. Mais plus que d'un simple diagnostic, nous y trouvons la voie d'une guérison : celle du retour aux anciens sentiers de la loi divine et à la bonne nouvelle du salut qu'Ésaïe annonçait avec tant de clarté, qu'on appelle son livre à la fois l'Évangile de l'Ancien Testament et son Apocalypse.
Jean-Marc Berthoud, né en 1939 en Afrique du Sud, vit à Lausanne (Suisse). Auteur de nombreux articles et de plusieurs livres, il est historien et défenseur de la foi chrétienne. Il a étudié l'histoire à Johannesburg, à la Sorbonne et à l'Université de Londres et fut libraire et directeur de collection à L'Âge d'Homme. Ce livre, L'aboutissement Thomiste, l'automne du Moyen Âge, le renouveau de la Réforme , est le deuxième de cinq volumes d'une Histoire de l'Église vue à travers les dures crises qu'elle dut subir au cours des âges. La croissance victorieuse de l'Église de Dieu est décrite à travers ces luttes. Il est écrit dans une langue simple et claire, a un caractère rigoureusement historique, mais aussi théologique et philosophique. Il s'agit d'un seul combat, toujours actuel : la défense du christianisme contre ses adversaires. Chaque chapitre peut être lu comme un récit indépendant qui s'insère cependant harmonieusement dans la trame d'une unique histoire.
Jean-Marc Berthoud, né en 1939 en Afrique du Sud, vit à Lausanne (Suisse). Auteur de nombreux articles et de plusieurs livres il est historien et défenseur de la foi chrétienne. Il a étudié l'histoire à Johannesburg, à la Sorbonne et à l'Université de Londres et fut libraire et directeur de collection à L'Âge d'Homme. Ce livre, Le temps des Pères et l'âge de la Foi, est le premier de cinq volumes d'une Histoire de l'Église vue à travers les dures crises qu'elle dut subir au cours des âges. La croissance victorieuse de l'Église de Dieu est décrite à travers ces luttes. Il est écrit dans une langue simple et claire, a un caractère rigoureusement historique, mais aussi théologique et philosophique. Il s'agit d'un seul combat, toujours actuel : la défense du christianisme contre ses adversaires. Chaque chapitre traite d'un moment particulier de cette immense bataille et peut donc être lu comme un récit indépendant qui s'insère cependant harmonieusement dans la trame d'une unique histoire.
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