Gjør som tusenvis av andre bokelskere
Abonner på vårt nyhetsbrev og få rabatter og inspirasjon til din neste leseopplevelse.
Ved å abonnere godtar du vår personvernerklæring.Du kan når som helst melde deg av våre nyhetsbrev.
Notions préliminairesLOGIQUELogique formelle : le terme - la proposition - l'argumentationLogique matérielle : logique préliminaire - l'universel - la démonstration - l'argumentation dialectique - le sophismePHILOSOPHIE DE LA NATURECosmologie : l'être mobile en soi - les propriétés de l'être mobilePsychologie : la vie en général - la vie sensitive - la vie intellective - la volonté humaine - l'âme raisonnable - l'origine de l'hommeMETAPHYSIQUEL'être en général - le problème critique - l'être fini - l'être infini
MONASTIQUEla fin dernière de l'homme - le volontaire et l'involontaire - la moralité - les sources de la moralité - les conséquences de la moralité - la loi et la conscience - les vertus (en générale, la prudence, la justice, la force, la tempérance, l'amitié)ECONOMIQUELa société en générale - la société conjugale - la société paternelle - la société hérilePOLITIQUEla fin et l'origine de la société civile - la cause matérielle de la société civile (personne, famille, société, la propriété privée, l'association professionnelle, - l'autorité civile - la société internationale - la société civile et l'Eglise.
Le propos du présent travail est d'établir que la personnalité n'a pas raison de fin pour la nature humaine, et que le personnalisme est une trahison de la vraie dignité de la personne, parce que la personne dit la subjectivité, et que la trahison de la dignité de la subjectivité est le subjectivisme auquel, par essence, dispose le personnalisme. Ce n'est pas le sujet psychologique, couramment désigné par le Moi conscientiel, qui a raison de fondement des attributs essentiels par lesquels on le qualifie ou définit, comme s'il était leur cause. C'est bien plutôt l'essence ou nature humaine, principe de l'identité du Moi et de son intelligibilité, qui est le sujet premier de l'acte par lequel l'essence se constitue en un existant singulier concret, dans la forme de la personnalité. Pour le personnaliste, on n'est pas personne pour faire se réaliser une nature (humaine); on est doté ¿ accessoirement ¿ d'une nature pour être une personne. Le personnaliste se reconnaît éventuellement une nature au titre d'idéal kantien de la raison pure, par définition inaccessible, mais une telle nature, loin d'avoir raison de fin de celui qui tend vers elle, aura raison de moyen de se parfaire selon une progression infinie ; ce qui est recherché ne sera pas la fin comme telle ou le repos dans la fin, mais l'acte même d'exercer un progrès indéfini en et par lequel s'exalte celui qui progresse et qui, de ce fait, en viendra, selon une pente existentialiste inévitable, à décider de la nature qu'il consent à se reconnaître. Cela dit, le personnalisme est riche d'une vérité captive précieuse que la tradition thomiste n'a peut-être pas toujours développée à la mesure de sa valeur spéculative et morale. Est "personne" cette substance rationnelle qui, capable d'avoir ce qu'elle est, est mesurée par une nature en forme de victoire gagnée sur le risque d'une antinature, matière sacrificielle de la vraie liberté.
Charles de Koninck est probablement le philosophe qui a le mieux parlé du bien commun parmi les thomistes, en ce sens qu'il a montré que le bien commun est le meilleur du bien particulier, en tant même qu'il est commun, à savoir en tant qu'il est aussi le bien d'un autre. Il a raison de cause finale, il appelle d'être aimé comme commun parce que sa communicabilité est indissociable de sa perfection. Mais de Koninck et les catholiques traditionalistes en général ¿ dont le Père Garrigou-Lagrange, qui subordonnait la société à la personne ¿ ne comprennent pas qu'un bien puisse avoir raison de cause finale sans être cause finale ultime.Il n'est qu'une manière cohérente de soutenir la supériorité intrinsèque du bien commun sur le bien particulier, et de conserver à celui-là, en tant que politique le privilège du statut de cause finale ; c'est d'établir que ¿ à la manière dont, analogiquement, un mobile est tout entier quoique non totalement dans chacun des moments intermédiaires de son mouvement ¿ la personne est tout entière quoique non totalement ordonnée au bien commun terrestre comme à sa fin, tout entière et totalement ordonnée au Souverain Bien qu'est la béatitude comme à sa fin ultime.Ce fascicule est un tiré à part de l'Annexe du livre Doctrine du Fascisme Catholique, en abrégé.
L'idée d'un drapeau national portant l'image du Sacré-C¿ur ne me semble pas même une idée acceptable en soi, pour la bonne raison que le drapeau national n'est pas seulement un drapeau de paix, mais qu'il est aussi un drapeau de guerre. Et pourquoi les Allemands, par exemple, ne se croiraient-ils pas en droit de mettre sur leur drapeau ce que nous mettons sur le nôtre ? Et voilà ce c¿ur adorable où tous les hommes doivent s'unir dans l'étreinte d'une commune charité, conduisant les Français à l'égorgement des Allemands, et les Allemands à l'égorgement des Français ; est-ce convenable ?Nous dirons encore un mot des promesses. J'ai crié gare à je ne sais quelle nouvelle forme de millénarisme sur la pente duquel nous mettent ces assurances de triomphe sur nos ennemis et sur ceux de la Sainte Église, ce pouvoir d'abattre à nos pieds ces têtes superbes et orgueilleuses des grands, ces abondantes bénédictions sur toutes nos entreprises, etc. En vérité, ce n'est pas ce que semblent nous promettre les leçons du passé. Ce n'est pas ce que le Sacré-C¿ur réservait à Louis XVI, à Garcia Moreno, aux héroïques Vendéens de la Rochejacquelin, de Charette, de Lescure, d'Elbée, de Cathelineau. Enfin, nous ne sommes plus des Juifs d'ancien Testament. Chimères ! chimères ! chimères qui ont le grand tort de donner le change sur une dévotion admirable, tout entière orientée vers l'acquisition et l'union des vertus surnaturelles et vitam venturi sæculi. (Cardinal Billot, 1918)Ce fascicule est un tiré à part des chapitres 6 à 8 du livre Doctrine du Fascisme Catholique, en abrégé.
Il est des moments où quelques groupes, dans les peuples ayant renoncé à eux-mêmes, perdent confiance dans les institutions démocratiques solidaires de l'organisation capitaliste ou libérale de la société. Dans un climat de doute et de désenchantement, ils comprennent vite qu'un retour en arrière est impossible. C'est alors que prend forme une sourde volonté de puissance dirigée contre les auteurs de l'atomisme social générateur de décadence spirituelle et de servitude, entretenue par une aspiration à la grandeur désintéressée libérant l'homme de l'esclavage consumériste et de la haine de soi qu'il induit. La conjonction de ces deux états d'âme - doute et remise en cause radicale d'un présent décadent, soif agressive de santé morale - produit le fascisme. Le fascisme est révolutionnaire parce qu'il a compris que l'esprit réactionnaire qui l'anime est en demeure de réinventer le passé. La négation fasciste du présent se fait par une transfiguration formatrice d'avenir de l'inspiration venue du passé. Nous voudrions dans le présent travail examiner les chances de reviviscence du fascisme aujourd'hui, mais d'un fascisme d'aujourd'hui, ayant gardé mémoire - en en tirant les leçons - de ses prouesses et de ses échecs passés, et se sachant destiné à surgir dans un monde nouveau beaucoup plus perverti que celui qui l'avait vu naître en sa première peau. Un tel examen suppose que soit défini le fascisme, lequel a tenté de se définir en se construisant. Ayant été abattu avant d'achever de s'engendrer, il n'est pas parvenu à accéder au concept adéquat de lui-même. S'interroger sur l'essence du fascisme pour évaluer la pertinence du souhait de son retour, c'est donc le réinventer pour notre temps.
La guerre en Ukraine qui se déroule actuellement, et en laquelle d'aucuns discernent le début de la Troisième guerre mondiale, invite inévitablement les nations occidentales à prendre parti : celui des intérêts de l'Ukraine antirusse, celui de la Russie, ou celui de la neutralité. Un tel choix suppose la maîtrise d'informations, et la possession des talents d'homme politique et de stratège dont nous ne disposons pas. Contentons-nous ici de proposer quelques éléments de réflexion, sans trancher de manière assurée, en sachant cependant que vient souvent un jour où l'homme moyen est contraint lui aussi de se déterminer dans le doute et l'expectative, quand les grandes affaires du monde en viennent à le mobiliser plus ou moins directement. Il doit choisir, sans la ressource de se réfugier dans l'indifférence ou l'attentisme, et il est souvent imprudent d'être trop prudent. Mais un tel choix se fait dans l'incertitude, se sait révisable, ne relève pas de la seule raison déductive. Au mieux peut-on ici énoncer quelques principes d'action solidaires des résultats théoriques que nous avons obtenus.Tiré à part : Ce fascicule est composé du chapitre 9 de Doctrine du fascisme catholique, en abrégé., et de l'article POUTINE de L'Abécédaire Mal-Pensant.
Il n'est rien de ce travail qui n'ait été déjà abordé par nous ailleurs, mais la présentation des idées et leur enchaînement, leur formulation aussi parfois, ont peut-être une configuration quelque peu renouvelée, afin de mettre en évidence de manière plus accusée et surtout plus simple ce qui fait la spécificité de notre vision de la chose politique. On s'est efforcé d'exposer ici les idées maîtresses de la doctrine du fascisme catholique en partant du principe suivant : Toute crise génératrice de décadence est causée par l'incomplétude du système politique et du système de pensée de l'avant de la crise, de telle sorte que la subversion pose de bonnes questions (même si elle les pose mal) et impose de mauvaises réponses. Le salut consiste toujours à ne jamais revenir en arrière (il ne convient pas d'être antimoderne ), mais à prendre en compte les bonnes questions et à les résoudre selon les exigences des partisans de l'ordre qui est de nature intemporelle et, de ce fait, toujours actuel . Cette démarche revient à proposer comme vision du futur salvateur une réconciliation du passé avec lui-même par la médiation de principes et/ou de concepts qui n'appartiennent pas au passé mais qu'il faut aller puiser dans le présent, dans le monde de la décadence, riche de vérités captives ; ce passé devenu cohérent ne passe plus ( passer équivaut à confesser une imperfection, ainsi une contradiction), et n'est plus du passéOn doit, avant toute chose, comprendre pourquoi ce passé adorné par les bien-pensants n'est plus capable de susciter de désir : il n'a pas été réconcilié avec lui-même. Et le réconcilier avec lui-même, c'est ce qu'il faut commencer par faire, avant de songer à l'action, car c'est ce qui permet d'unifier les forces et de rendre appétible notre courant de pensée.
TABLE DES MATIERESChapitre I : Le sol, l'habitant - Le relief, l'espagne et la mer, les fleuves, le climat, la race espagnoleChapitre II : L'Histoire, le Passé - L'Espagne des invasions, l'Espagne de l'Islam, l'Espagne de la Reconquète, l'Espagne des siècles d'or, l'Espagne des BourbonsChapitre III : L'Histoire, le Présent - La Royauté, le Dictature, la RépubliqueChapitre IV : Le National-syndicalisme et José Antonio Primo de Rivera - Le National-syndicalisme et la Phalange, la fusion, l'ascension de la Phalange, José Antonio Primo de Rivera chef national de la Phalange, les "Catacombes"Chapitre V : Le Caudillo et le Soulèvement National - Les forces en présence, les premières journées du Soulèvement National, la bataille des communications, l'Alcazar de Tolède, les interventions étrangères, les évènements du front nord, les évènements du front sud, les batailles de Madrid, la guerre à l'arrière, la marche à la mer, l'offensive contre la Catalogne, l'entrée à Madrid.Chapitre VI : La doctrine national-Syndicaliste - La conception National-syndicaliste de la vie, la conception historique, la liberté, l'ordre, la justice sociale, la propriété, l'Etat.Chapitre VII : Les fondements de l'Etat national-syndicaliste - Le Caudillo, le conseil des ministres, le Parti Unique Espagnol, les Cortès, la Charte du Travail, l'organisation national-syndicaliste, le Magistrature du Travail, le Front des Jeunesses, l'assisstance et la prévoyance sociale, les novations intellectuelles.Chapitre VIII : Le Maroc espagnol,Chapitre IX : Les possessions et Colonies de l'Afrique occidentale,Chapitre X : L'Economie agricoleChapitre XI : L'Economie industrielle,Chapitre XII : L'appoint colonial et les relations entre la Mère- Patrie, les Possessions et les Colonies,Chapitre XIII : Le commerce et les relations économiques,Chapitre XIV : L'Espagne et l'Asie, Chapitre XV : L'Espagne et l'Amérique,Chapitre XVI : L'Espagne et l'Europe - L'Espagne et le Saint-Siège, l'Espagne et le Portugal, l'Espagne et les démocraties; les relations avec la France et l'Angleterre, la question de Tanger, la question de Gibraltar, l'Espagne et l'Axe.L'HISPANITEANNEXES : Les finances publiques ; Les 27 points de la Phalange espagnole Traditionaliste et des J.O.N.S. ; La Charte du Travail.
L'auteur ne sait pas s'exprimer en aphorismes. C'est là pourtant un mode d'expression fort séduisant, d'abord parce qu'il plaît aux lecteurs qu'indisposent les démonstrations indigestes ; et sous ce rapport il se révèle bien utile dans le souci d'inviter autrui à retenir certaines idées chères aux auteurs, et à les rendre aisément communicables ; ensuite parce que l'aphorisme contraint l'auteur à dire l'essentiel en un minimum de mots tout en préservant les vertus et les charmes de l'évidence, c'est-à-dire le pouvoir d'emporter l'adhésion. Ce sont là des prouesses d'écriture dont nous sommes incapable, et c'est pourquoi nous rendons hommage aux auteurs de tels aphorismes dont nous faisons ici mémoire en les commentant.Le subjectivisme est la racine de la décadence, de l'individualisme actualisé dans l'esprit libéral comme dans l'esprit égalitaire, et enfin du mondialisme communiste consommant les virtualités de l'idée démocratique. Il est cette pathologie que dénonce et combat la lucidité des Réactionnaires.Pourtant, les milieux réactionnaires sont infestés par les dégradantes crispations de ce genre, au point de paralyser tout ce qui leur reste de force pour conjurer le triomphe définitif de la subversion. Il convient de se demander pourquoi, dans la mesure où les causes psychologiques et morales de ce travers incapacitant ont elles-mêmes des causes ultimement doctrinales.A cette fin, et dans le prolongement du tome I de ces Fantaisies , est destiné le présent commentaire d'apophtegmes bien trempés. Le cheminement erratique de l'esprit bercé par de tels éclairs mais discrètement tenu en laisse par une raison grave et rusée, s'est achevé de manière incongrue sur une courte méditation en forme de dialogue entre l'Aquinate et saint Bonaventure.
Pour bien écrire, il faut sauter les idées intermédiaires, assez pour n'être pas ennuyeux, pas trop de peur de n'être pas entendu (Montesquieu, Mes Pensées).Voilà un art que l'auteur du présent travail a la pénible conscience de ne pas maîtriser, après avoir rédigé et publié vingt-cinq livres. C'est par souci d'être entendu, ainsi compris, qu'il a toujours répugné à faire sauter les idées intermédiaires, de sorte que sa crainte de se rendre ennuyeux l'a disposé, cette fois-ci, à tenter de faire sourire ceux qui le liraient, au lieu de se contenter de les inviter à une austère réflexion supposant un effort rébarbatif. D'où la présence de quelques passages burlesques, farfelus, frisant la provocation. Il a fait, dans le choix de ce compromis, ce qu'il a pu.Depuis que le monde tourne à l'envers, c'est-à-dire depuis 1789, les progrès du mal se manifestent selon un mouvement uniformément accéléré. Il en est ainsi au point que les dépositaires résiduels du bon combat sont confinés dans des ghettos psychologiques et sociaux.Ce dont il est aisé de s'apercevoir, c'est que les Réactionnaires, ceux qui ne veulent pas de cet égout collecteur de toutes les transgressions morales et politiques qu'est le mondialisme, érigent en principe fondamental de leur vision du monde le devoir de se subordonner à une cause qui les transcende.Cette tendance à se sacrifier pour une cause, à tenir l'hédonisme pour le fond de l'abjection, fait plébisciter par ceux qui y obéissent le sens du sacrifice de soi, et relativise, tend même naturellement à exténuer les pulsions égoïstes, les mesquineries, les haines médiocres issues des querelles d'ego. Le subjectivisme est la racine de la décadence, de l'individualisme actualisé dans l'esprit libéral comme dans l'esprit égalitaire, et enfin du mondialisme communiste consommant les virtualités de l'idée démocratique. Il est cette pathologie que dénonce et combat la lucidité des Réactionnaires.Pourtant, les milieux réactionnaires sont infestés par les dégradantes crispations de ce genre, au point de paralyser tout ce qui leur reste de force pour conjurer le triomphe définitif de la subversion. Il convient de se demander pourquoi, dans la mesure où les causes psychologiques et morales de ce travers incapacitant ont des causes ultimement doctrinales.
La philosophie moderne est née dans le terreau de la Scolastique dont elle fut le prolongement et la trahison. Pour expliquer que la philosophie moderne ait nié ce dont elle se nourrissait, on peut convoquer diverses explications unilatérales ou bien il n'y aurait eu de trahison qu'apparente et la philosophie moderne serait ce dans quoi la Scolastique aurait vocation à reconnaître sa vérité immanente; ou bien il n'y eut de conservation que de surface et la philosophie moderne, révolutionnaire dans son principe, serait étrangère à la Scolastique qu'elle aurait supplantée.Il est plus rationnel d'accepter l'idée selon laquelle la Scolastique fut tourmentée par des tensions internes qu'elle ne parvint pas à dépasser dans son propre élément, de telle sorte que la philosophie moderne, en se retournant contre ce dont elle procédait, ne fit qu'accomplir le destin de la Scolastique déjà en partie insurgée contre elle-même. Ainsi en est-il du thomisme lui-même développé tantôt dans la ligne d'un réalisme de l'acte d'être, tantôt dans celle ─ rationaliste et essentialiste ─ d'un réalisme de l'essence en acte. Ce qui est ici proposé, c'est d'abord la mise en évidence au moins de certaines des tensions intérieures au thomisme. C'est ensuite, par l'intromission d'un concept qui n'est pas thomiste mais fruit de la philosophie moderne en son acmé rationaliste, l'exposé d'une tentative de conciliation rationnelle des deux grands courants directeurs déployés dans et par l'Ecole thomiste. Parce que la philosophie moderne est fille infidèle de la Scolastique, contribuer à faire se réconcilier le thomisme avec lui-même est peut-être aussi contribuer à révéler le thomisme ainsi repensé telle la vérité de la philosophie moderne elle-même, son avenir et son accomplissement.
Abonner på vårt nyhetsbrev og få rabatter og inspirasjon til din neste leseopplevelse.
Ved å abonnere godtar du vår personvernerklæring.