Om Sophie
Sophie remise sa chemise qu'elle avaitdéfaite pour se couché un instant, ces manches et son colle fleurit, sur la droiture des boutons une broderie doré comme une veille peinture des temps ancien, la faisait ressemblé à un rossignol tout droit sortie d'un roman de Marcel PAGNOL. Il y avait en ces lieux comme une odeur de thym et de jasmin, familière des veilles battisses construites au siècle dernier.Femme fidèle, trois fois divorcé, elle cultivait dans ces cheveux les fleurs de sa jeunesse passé. Fidèle elle l'était, jamais plus d'un amant à la fois, elle avait atteint l'âge, selon elle, ou rien ne sert de se marié, les hommes vont et viennent, elle reste la même, une femme solide et désinvolte qui prends son plaisir comme il vient et sans formalité. De ces jambes élancés tel un échassier, elle sillonne la pièce avec une élégance de gazelle. Au dessus des ces collant noir qui épouses parfaitement ces jambes, une jupe pissé rouge lui arrivé au dessus des genoux, ou vient se posé tel un voile de caresses, son chemisier blanc. Elle travers la chambre sur ces talons perché, telle un héron ou un étalon en quête d'un hypothétique repas.
Vis mer